Jeu d'écriture

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*********imait Femme
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Jeu d'écriture
Bonjour à tous !

Je suis Léa Celle qui aimait, écrivaine érotique, et aujourd’hui j’aimerai vous proposer un petit jeu d’écriture !

Le but du jeu est d’écrire un court récit érotique en respectant les contraintes suivantes :

Le texte doit commencer par : « Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain… »

Le texte doit finir par le mot : « Noël »

J’espère que vous serez tentés de relever le défi ! J’adore écrire des histoires érotiques, mais j’adore aussi de les lire donc j’ai hâte de voir ce que vous allez écrire !
*******men Homme
111 Contribution
Nous sommes le 24 décembre, je regarde sa neige tomber sur mes seins quand soudain, une lueur magique illumine le ciel. Intrigué, je m'approche et découvre une étoile filante brillant d'une lueur particulière. Elle trace un chemin céleste, me guidant à travers la nuit, et les draps 😇

Suivant cette étoile, je me retrouve dans un lieu enchanté, où des sapins scintillants bordent un chemin enneigé. Des rires joyeux résonnent, et je réalise que je suis au cœur du village du Père Noël. Les elfes s'affairent aux derniers préparatifs, prêt à me jaillir dessus, les rennes baisent paisiblement, et une douce musique emplit l'air, et fait vibrer mon entrejambe.

Dans cette atmosphère féerique, je rencontre le Père Noël lui-même, assis près d'un feu crépitant. Il me tend son paquet magnifiquement emballé en disant : "C'est pour toi, car chaque voyageur mérite un peu de magie à Noël." Empli de gratitude, je déballe le cadeau pour découvrir son énorme sucre d'orge éclatant qui semble exaucer tous les vœux. Goulument je m'en suis emparer le gosier pour exaucer immédiatement tout mes vœux. Le père Noël bien vidé de son énergie vitale me laissa poursuivre les réjouissances en compagnie de sa horde de lutins.

Alors que je remercie le Père Noël et m'apprête à partir, il me lance un clin d'œil en disant : "Joyeux Noël, où que tu sois dans le monde." Retournant chez moi, émerveillé, je réalise que la magie de Noël transcende les frontières, unissant tous les cœurs autour de la joie et de l'amour. Qu'est-ce ce que c'est beau la magie de Noël.
*****ref Femme
108 Contribution
Merci @*********imait pour cette invitation à écrire. *tipp*
Je te tutoie comme une française employant le you anglais qui différencie peu le tu/vous. *gruebel* J'espère que tu seras à l'aise avec ça. *zwinker*

Je te suis sur Instagram et je me retiens d'acheter tes livres car je suis certaine que je les dévorerai et qu'une fois ces ouvrages finis, je serai en manque et j'attendrais que la dealeuse de mots que tu aies, me fournisse une dose. *autsch*
En attendant, quelle savoureuse découverte ce que tu offres. *juhu*
Et tes idées qui filent sans cesse à offrir encore et encore... entre téléphone rose et les sessions photos.. je fonds encore et encore...

J'ai fait un audio inspirée par ton jeu et par le téléphone rose.
Je vais essayer de le mettre à l'écrit.
Si l'audio t'intéresse... mp possible.

Encore merci d'être.... toi! *love4*
*****eIV Femme
3 Contribution
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre, quand soudain, je sens ses mains fraîches sur mes hanches dénudées. J'étais en train de me changer lorsque les premiers flocons sont tombés, je n'ai pu m'empêcher de m'arrêter pour les admirer. Le trottoir, en contrebas, blanchit. Il est tard, la ville est déserte.
Dans le salon, la lumière est tamisée. Je n'ai allumé que la guirlande du sapin, d'une jolie lumière dorée.
Je sens son souffle sous mon oreille, ce string lui a toujours fait de l'effet, malgré sa simplicité. Puis, sa voix. "Habille-toi mon ange, ou tu vas être en retard."
Je jette un coup d'œil à la pendule, 23h24.
"Je commence à minuit, j'ai de la marge..
• Justement."
Je comprends alors que ses mains ne vont pas quitter mon corps avant de m'avoir fait jouir.

Des hanches, ses mains glissent doucement sous mon polo, caressent mon ventre, mes côtes, puis prennent mes seins en coupe.
Je laisse ma tête retomber sur son épaule. De ma main gauche, je caresse ses avants-bras. De ma main droite, je caresse sa fesse à travers son pantalon. Je l'ai toujours adoré, il lui fait un très joli postérieur.
Il soupire sous mon oreille, son souffle me donne des frissons. Je bouge légèrement mon bassin pour frotter mes fesses contre lui. Il pose ses mains sur mes hanches, sa poigne se raffermi. Continuant mon manège, il ne faut pas bien longtemps avant que je sente sa verge s'éveiller.
Il me retourne et m'embrasse durement. Je sens déjà que l'excitation a atteint mon entre-jambes. Je le pousse jusqu'au canapé, deux mètres plus loin. Il se laisse tomber dessus lorsqu'il sent l'assise contre ses mollets.
Je reste debout face à lui et l'admire. Il est beau, j'ai flashé sur lui dès que je l'ai vu. Ses mains prennent mes poignets et il me tire contre lui. Je m'assois sur ses cuisses, mon entre-jambes contre la sienne. Il prend mes fesses à pleine main et les malaxe. Il en profite pour m'attirer plus près de lui, il sait que j'adore ça. Je soupire lorsque je sens sa verge contre ma vulve.
Je déboutonne son pantalon, mes genoux de part et d'autre de ses cuisses. Il relève les fesses le temps que je le fasse glisser sur ses cuisses. On se contorsionne pour le dégager complètement. Je m'installe de nouveau contre son bassin. Je frotte ma vulve contre sa verge, nos seuls sous-vêtements nous séparent, il m'embrasse dans le cou. Je glisse mes mains sous son tee-shirt pour sentir sa peau. Il aime que je le caresse avec mes ongles, alors j'en profite.
"Enlève ton string. Maintenant." Je me relève et m'exécute. Il en profite pour enlever son caleçon. J'y ai laissé une trace humide, ma cyprine coule d'anticipation.
Il ne me laisse pas le temps de m'asseoir et glisse sa main entre mes cuisses. Il sent mon humidité et sourit tendrement.
"J'en étais sûr.. viens là.."
Il retire sa main et m'incite à m'asseoir dos à lui, entre ses jambes. Il s'installe contre le dossier et passe son bras autour de ma poitrine pour me tenir contre lui. Je sens sa verge logée contre mon pli fessier, ça m'excite. Je caresse son bras et pose ma main dans ses cheveux. Il raffole des papouilles.
Il glisse sa main libre sur mon ventre, mon souffle s'accélère quand je la sens descendre. Je suis excitée au possible, il m'en faudra peu. Il passe son index et son majeur de part et d'autre du capuchon de mon clitoris, mon corps se tend contre lui. Je soupire lorsqu'il commence à faire des mouvements circulaires.
"Détends-toi, profite.."
Ses doigts récupèrent un peu de cyprine pour lubrifier mon clitoris, il accélère. Je ne vais pas résister longtemps à ce rythme, il le sait. Je laisse échapper quelques gémissements. Il malaxe un de mes seins avec son autre main et joue avec mon téton. Je sens la pression monter et halète. J'ai envie de lui rendre la pareille. Je tente de passer ma main droite dans mon dos, il m'arrête : "après."
Il accélère encore les mouvements de ses mains, je gémis, soupire, mon corps se tend. J'agrippe ses avants-bras et m'y accroche. Je sens son souffle haletant contre mon cou, c'est la goûte de trop. Je tombe dans le précipice.

Nous restons de longues secondes sans bouger, le temps que j'atterrisse. Il m'embrasse dans le cou, me laissant revenir à moi doucement.
Je me retourne face à lui et l'embrasse pour le remercier. Il repose négligemment ses mains sur mes hanches.
Je le regarde droit dans les yeux, enlève mon polo et dégrafe mon soutien-gorge, je les laisse tomber sur le canapé sans le quitter du regard. Il se mord la lèvre inférieure, il se retient. Je glisse mes doigts sous son tee-shirt et l'enlève.
Je dépose des baisers le long de sa clavicule droite et je remonte dans son cou, je vois les frissons que ça lui provoque. Je souris et mordille le lobe de son oreille. Il caresse mes hanches et me laisse continuer.
Je caresse son torse et descend petit à petit. Il se crispe d''anticipation sous mes doigts lorsque j'arrive au niveau de son bas ventre. J'aime prendre mon temps et sentir son impatience. Mais nous n'avons pas beaucoup de temps devant nous alors je vais à l'essentiel. Je glisse une main autour de sa verge et commence des mouvements de vas-et-viens. De l'autre, j'exerce une pression sous sa verge, entre ses testicules et ses fesses. Nous avons découvert cette zone ensemble il y a quelque temps, il l'aime bien. Il est dur sous mes doigts, l'exitation monte à nouveau. Il respire fort lorsque je colle ma poitrine contre son torse et m'embrasse. Il malaxe ma peau, s'accroche à mes hanches.
J'accélère mes mouvements, je commence à caresser son gland avec mon pouce lorsque ma main est au bout de sa verge. Le liquide pré-séminal commence à suinter, je m'en sers pour lubrifier son gland.
Il attrape un préservatif entre les coussins du canapé. C'était une merveilleuse idée d'en glisser là. La sienne, évidemment. Il me le tend. J'ouvre l'emballage et lui met le préservatif. Il m'attrape par les fesses et me fait descendre sur sa verge.
On ferme les yeux en gémissant, la première poussée a toujours été une sensation exquise.
Je reprends les vas-et-viens, il me dicte le rythme avec ses mains sur mes hanches. On accélère, je l'embrasse dans le cou. Il grogne, je gémis, on accélère. Il positionne sa main droite au niveau de mon pubis, le pouce sur mon clitoris, je tressaille. Il le caresse. Je contracte mon périnée en rythme, il laisse échapper un gémissement.
"Encore.."
Je continue, on accélère, je le sens proche. Je mordille le lobe de son oreille en soupirant et c'est l'extase. Il donne des coups de bassins puissants et se vide.
J'embrasse son cou sans bouger. Il finit par resserrer ses bras autour de moi en un câlin. Je respire son odeur.. il sent le musc et le sexe. Divin.

"C'est l'heure mon ange.."
Je jette un coup d'œil à la pendule, 23:59. L'adrénaline remplace l'ocytocine. J'attrape mon uniforme et je l'enfile en vitesse. Je cours à mes chaussures, glisse mes pieds dedans et les lace. Je regarde ma tête dans le miroir à côté de la porte, c'est bon. J'ai mis assez de gel, j'ai simplement besoin de réajuster les barrettes.
C'est bon, je peux y aller. L'avantage de vivre au boulot, c'est qu'en une minute je suis au bureau.
Ses mains se posent autour de ma taille, mon corps se détend. Je repose mon dos contre son corps un instant quand je l'entends susurrer à mon oreille "joyeux Noël".
Un noël surprenant
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre quand soudain mon téléphone vibre. Je suis en train de travailler sur mon ordinateur, mais je décide de mettre de côté mon travail pour prendre le message. Je reste bouche bée en découvrant que c'est Émilia, ma meilleure amie, qui m'écrit.

"Salut Nico, dis-moi, es-tu chez toi ? Je voulais faire la surprise à mes parents de venir les voir pour le réveillon, mais... ils ne sont pas là. Je peut passer te voir ?"

Je réponds immédiatement à son message. Je suis tellement heureux de la revoir. Je cours enfiler une tenue plus présentable que mon jogging pyjama et rejoins le salon où je l'attends.

Soudain, la sonnette retentit. Je me précipite à la porte et l'ouvre. Émilia se tient devant moi, resplendissante dans sa robe rouge et blanche. Elle est encore plus belle que je me souvenais.

Je ne sais pas pendant combien de temps je la fixe du regard, mais c'est suffisant pour qu'elle s'en amuse. Elle me fait un sourire moqueur et me dit : "Je peux entrer ou tu préfères me voir mourir gelée ?"

Je reviens à moi et la laisse entrer. Je lui tends une bière et en prends une moi-même. Nous nous asseyons sur le canapé et commençons à discuter.

"Alors, comment ça va ?" je lui demande.

"Ça va, ça va. Enfin bon, ce n'est pas comme ça que j'imaginais passer mon réveillon, je dois bien l'avouer..."

Je hoche la tête, un peu triste pour elle.

"Et toi, alors," commence-t-elle, "comment ça se fait que tu sois tout seul ?"

Je me fige. Évidemment, elle allait finir par demander. Je ne sais pas quoi lui répondre. Alors, je décide de jouer l'ironie.

"Eh bien, il fallait bien que je reste pour t'accueillir."

Elle ricane et je sens mon cœur battre plus vite. Pourtant, dans ses yeux, je vois une pointe de tristesse. Elle comprend que je suis seul, mais elle a la gentillesse de ne pas en parler.

Nous portons nos bières à nos lèvres et nos regards se croisent. Ses yeux sont d'un vert envoûtant, dans lesquels j'ai envie de me perdre.

"Je peux emprunter ta douche ?" elle me demande.

Je lui indique la direction de la salle de bain et elle s'y dirige.

Je suis seul dans le salon, mal à l'aise. Je dois absolument arrêter de la regarder comme ça. Elle est attirante, mais je ne veux pas la faire fuir.

Je me lève et finis ma bière d'une traite.

Quelques minutes plus tard, j'entends l'eau de la salle de bain se couper. Émilia en sort quelques instants plus tard, vêtue d'un pyjama confortable.

"Dit moi, ça te dérange si je dors ici ?" elle me demande.

"Non, pas du tout, fais comme chez toi."

Elle sourit et s'assoit à côté de moi.


Soudain, elle s'étend sur le canapé et pose ses jambes sur moi. Je suis surpris, mais je ne bouge pas.

Je pose une main sur son mollet et commence à le caresser. Sa peau est douce comme de la soie.

Je remonte ma main sur sa cuisse et elle ne s'oppose pas. Je continue à la caresser, de plus en plus intensément.

Elle gémit et je sens mon membre se durcir. Je suis excité, mais je ne veux pas la brusquer.

Soudain, elle se redresse brusquement. Je la lâche, terrifié. Je m'attends à ce qu'elle me claque ou me crie dessus.

Mais au lieu de ça, elle me saute dessus et m'embrasse.


Son baiser est passionné, brûlant. Je réponds à son baiser, tout entier possédé par le désir.

Sans réfléchir, je glisse mes mains sous son t-shirt et saisis ses hanches. Sa langue se glisse dans ma bouche et je l'y accueille avec un plaisir non dissimulé avant de déplacé ma bouche à son cou. Aussitôt, ses gémissements redoublent d'intensité et je prends plaisir à sentir son souffle chaud sur ma joue. Je sens ses ongles se planter dans mon dos et cela ne fait que m'exciter davantage.

D'un geste brusque, je lui retire son t-shirt et ma bouche continue son voyage vers sa poitrine cette fois-ci. Sa peau a l'odeur de mon savon au agrume et ça ne me rend pas indifférent.

Je commence d'ailleurs à me sentir un peu trop à l'étroit dans mon pantalon et il semble qu'elle s'en rende compte, car elle se décide à me le retirer. J'en profite pour enlever mon t-shirt et me retrouve en sous-vêtement face à elle. Pourtant, je ne suis même pas un tout petit peu gêné, je ne suis qu'exciter à sa vu, j'ai envie de plus. D'un geste, je la repousse sur le canapé pour l'allonger. La, je saisis son pantalon et le lui retire. Avant qu'elle ne puisse réagir et réfléchir à son prochain coup, je précipite ma bouche sur la sienne tandis que ma main se fraie un passage dans sa culotte. 


Je suis étonné d'y trouver sa vulve déjà particulièrement humide et je ne me fais pas prié pour y glisser deux doigts. Elle met notre baiser en pause pour gémir encore plus fort. Je sens un intense plaisir à voir s'abandonner à moi. Aussi, je décide de passer au niveau supérieur.

Lentement, méthodiquement, je pose mes lèvres à intervalle régulier sur son corps. Tous les cinq centimètres de sa bouche à son cou, de son cou à sa poitrine, de sa poitrine à son ventre avant de finalement atteindre son intimité. Pour autant je ne m'y précipite pas. J'ai envie de créer un peu de frustration alors je prend mon temps. Du bout des lèvres, je viens embrasser son corps tout autour de son vagin sans m'approcher de ses zones sensibles pour autant. Je sens ses gémissements ralentir et elle reprend le contrôle de son corps. De ses mains, elle commence à me caresser les cheveux. Cette petite scène ne dure qu'une petite minute, mais je suis satisfait du résultat. Je sens ses mains faire de petites pressions sur mon crâne comme pour m'inviter à enfin venir la déguster. Finalement, je décide de lui obéir et ma bouche vient enfin rejoindre son entrejambe. Tous ses mouvements s'arrêtent immédiatement. Comme si elle avait même arrêté de respirer. Heureusement elle reprend vite le contrôle de son corps et je sens ses jambes qui viennent s'enrouler autour de ma tête. Elle n'a pas l'intention de me laisser partir. J'adore ça. Jamais je n'ai été aussi exciter de ma vie.

Ma langue ne cesse de faire des vas et viens sur son clitoris. Je décide ensuite de la surprendre en glissant ma langue à l'intérieur d'elle et il semble qu'elle apprécie particulièrement cela, au vu des tremblements qui se mettent à agiter ses jambes toujours enroulées autour de ma tête. 

Pendant un temps que je ne saurai pas estimer nous restons ainsi, mon visage blottit entre ses cuisses et ses gémissements comme seul repère. 

Il semblait qu'elle ait décidé de reprendre le contrôle. D'un coup, elle décide de me prendre à mon propre jeu en me repoussant. Allongé à mon tour, j'accepte de me retrouver dans cette position de vulnérabilité.

Je vois mon caleçon volé à travers la pièce et en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire, mon membre disparaît dans sa bouche.

C'est une sensation indescriptible. Je sens mon rythme cardiaque qui s'accélère tandis que les tremblements dans mon ventre redoublent d'intensité. Je l'observe, elle semble appliquer dans chacun de ses mouvements. Quand nos regards se croisent, je ne peux m'empêcher de lui sourire. Et quand finalement elle lâche mon regard, c'est sur ses très jolis pieds que mes yeux viennent se poser.

Finalement, sa bouche quitte mon pénis et c'est avec douceur qu'elle me saisit par les mains pour me redresser. J'en profite pour la saisir et l'embrasser avec passion. Après quoi, elle s'allonge à nouveau. Je me rapproche d'elle, saisis ses jambes pour les déposer sur mes épaules et, d'un geste doux, je glisse mon membre à l'intérieur d'elle. C'est à un gémissement parfaitement synchronisé qui s'échappe de nos bouches. Je commence à me mouvoir en elle. Alors que je sens ses jambes tremblantes, il n'y a qu'une chose qui me traverse l'esprit. N'en pouvant plus de seulement y penser, je décide de passer à l'action.

De ma main droite, je saisis sa jambe pour déposer son pied contre mon torse. Je ne cesse de l'observer tout en intensifiant mes coups de reins.

Elle semble remarquer ma fascination pour ses pieds, car, d'un coup, elle place ce dernier sur mon visage. Je prends ça comme une invitation et je commence à l'embrasser.

Jamais je ne me serai attendu à cela, mais je réalise alors qu'elle y réagit par des gémissement plus fort encore. Curieux, je glisse son gros orteil dans ma bouche et effectivement, son plaisir semble comme décuplé. Je n'hésite pas à le lécher tandis que je continue à augmenter le rythme de mes coups de reins en elle.

Nos souffles s'accélèrent, nos tremblements également. Pour finalement terminer sur une apothéose simultanée.

À bout de souffle, je m'allonge à ses côtés et nos regards se rejoignent. Nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, elle me dit alors de sa douce voix.

• Joyeux Noël. 
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain, quelqu’un toque violemment à la porte, et me sort de mes pensées. Encore un livreur, à cette heure ? Je déposais ma énième tasse de thé de la journée sur le plan de travail.
Boum, boum, boum !
Je souriais ce fracas ne pouvait être l’œuvre d’une seule personne.
Je rassemblais toutes mes forces, tentais d’effacer le sourire béat qui se dessinait sur mon visage et j’ouvrais la porte aussi violemment que possible !
« Quoi ?!, hurlais-je, Qu’est-ce que tu veux ?! », je voulais le mitrailler du regard.
Il me tendit une boite noire et me lança « Attrape ça ! J’en ai d’autres ».
Il repartit à sa voiture chercher de nouvelles boites.
« Tiens, tout va au frais ! » m’ordonna-t-il, « N’ouvre pas c’est une surprise ».
Mon regard s’était adoucit, le sien aussi.
« Je pensais que tu serais parti chez tes parents » dis-je.
« J’avais mieux à faire… » son regard bleu me pénétrait de toute part.
Cela faisait trois semaines que nous nous n’étions pas vus, et à part quelques messages, nous étions restés silencieux. S’il était trop affairé à travailler, je serai trop occupée pour penser à lui. J’avais pris la décision de mettre fin à ce jeu du chat et de la souris qui n’en finissait pas. Je ne m’attendais pas à une telle réaction de sa part. J’avais prévu un réveillon de Noël sans famille, sans les insupportables repas de Noël et voilà, que ce début de soirée prenait une tournure inattendue.
« T’es jolie ! »
« Qui ça, moi ? » mon regard cherchait une autre personne dans la pièce. J’avais passé la journée dans un combinaison licorne chaude, confortable, dénué de tout charme. En somme, j’avais l’air d’une enfant, qui s’était extasiée toute la journée devant un jardin couvert de neige, le crépitement des flammes, de délicieuses friandes à la cannelle et un bon chocolat chaud sous un plaid. Après tout, oui, le terme « jolie » était approprié.
Ses yeux plongeaient dans les miens, il me tira vers lui. Je me laissais faire. Il remonta la fermeture éclair d’une main sous ma gorge, pendant que l’autre caressait mes reins. Je m’extirpais avec un sourire carnassier.
Je tentais de reprendre mes esprits et l’observais attentivement : un pantalon de jogging, des baskets, un t-shirt en coton, un bonnet à pompon, les derniers flocons avaient fondus sur ses épaules.
Aucun de nous deux n’était habillé pour un réveillon de Noël, ni même pour une soirée romantique. La fatigue avait creusé ses rides, qui parcourait son front et surlignait ce sourire espiègle. Je le trouvais irrésistiblement beau. Je reculais pour m’appuyer sur la table de la salle à manger. Il fallait faire redescendre la température, résister le plus possible. Je me cramponnais à la table quelques secondes, je voulais me mordre la lèvre inférieure, descendre la fermeture éclair et lui jeter ma combinaison au visage, m’offrir à lui, tout mon corps le réclamer. Je résistais. Mes ongles claquaient sur la table. La pression redevenait supportable.
Le silence installé entre nous ces dernières semaines s’étaient mué en une frustration, dont l’explosion imminente embraserait nos corps en quarantaine.
Mes idées rassemblaient, je l’esquivais et montais prendre une douche. Je ne l’invitai pas. Il déciderait de lui-même si l’attente devait ou non perdurer.

Je semais ma combinaison sur le palier, le top blanc indiquant le chemin à prendre, puis ma dentelle sur le seuil de la salle de bain. Je claquai la porte. La vapeur d’eau chaude commençait à envahir la pièce.
Il toqua, cette fois-ci, doucement : « je peux entrer » me demanda-t-il. Je réfléchis, je laissais passer quelques secondes… « Oui, viens ! »
L’eau coulait le long de mon visage, je m’avançais afin de le regarder : « Tu veux bien te déshabiller ? »
Il soutint mon regard, puis sourit à nouveau. Il se débarrassa de ses chaussures, debout face à moi, toujours en me regardant, son t-shirt enlevé, je m’attardais sur ces cicatrices, puis son pantalon… Il serait bientôt nu, mais son boxer trahissait l’état d’ébullition dans lequel lui et moi nous trouvions. Je l’arrêtais « Attends ».
Je prenais quelques gouttes de savon dans les mains. Une odeur d’ilang-ilang inondait la pièce. Je laissais la mousse courir le long de mes seins, puis mes hanches, mes cuisses, jusqu’à mes pieds. Je m’assurais qu’il n’en perde pas une miette.
Il jouait avec l’élastique de son boxer. Il me provoquait, alors il attendrait. J’avais hâte qu’il se libère et vienne me retrouver. Sous la douche, je le tenais en respect. Je me refusais de céder à mes pulsions, même si tout mon corps ne désirait qu’une seule chose : lui.
J’arrêtais l’eau. J’attrapai une serviette et me collais contre lui. Je me demandais combien de temps pourrait-il encore tenir. Je sentais son cœur cogner contre sa poitrine. Son sexe dur. Je l’invitai à me suivre et me jetais sur le lit.
« Tu peux finir de te déshabiller » lui intimais-je. Il s’exécuta me laissant découvrir sa queue fièrement dressée.
Il s’avançait à pas de loup. Je me redressais sur les genoux face à lui. Il m’attrapait par la taille. Ses doigts glissaient le long de mes hanches, remontaient le long de mes seins, mes clavicules, mon cou, puis ma bouche. Je les mordillais dès qu’il les laissait glisser le long de mes lèvres.
Quant à mes mains, elles couraient le long de son cul vers son pubis. À chaque fois qu’elles se rapprochaient de sa verge, il me collait plus fort contre lui. Je le sentais se tendre. Pendant que de sa main gauche, il jouait avec un de mes mamelons, la droite caressait mes fesses. Il irait bientôt jouer avec le gland de mon clito.
Je l’attrapais à pleine main. Mon pouce sur son gland.
Je m’allongeai sur le dos, lui laissant toutes les possibilités. Chaque effleurement, chaque baiser, chaque pénétration, chaque gémissement nous rapprochait de l’embrasement. Je refusais de lâcher prise trop tôt, trop vite.
Sa langue habile découvrait mon corps. Il me goûtait à pleine bouche. Il dévorait mon intimité. Les vas-et-viens de sa langue, son souffle, son menton, ses mains agrippant mes seins, chacun de ses mouvements amorçaient un tsunami.
Il releva la tête. Mon regard le suppliait de ne pas stopper. Il me tira et roula sur le dos. Je me retrouvais à le chevaucher. Je sentais nos glands l’un contre l’autre. Ma cyprine mêlée à ses écumes se muaient en un parfait fluide. Ma vulve glissait contre lui. Je nous retenais encore un peu. Sa main attrapa sa queue : « Je veux venir en toi ». Je le laissais entrer, quelques coups de bassins et nous lâchions prise. Nous étions seuls au monde face à cette déferlante.
Nous ne pouvions rêver plus parfait Réveillon de Noël.
*******d39 Femme
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Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain tu sonnes à ma porte. Du haut de ma rêverie, je sursaute, mon cœur palpite, je n'attends personne. Tirée brutalement de ma contemplation, je me dirige frustrée pour venir t'ouvrir. C'est toi : tu es là, comme dans mes désirs les plus profonds, comme je l'avais imaginé maintes fois lors des nuits sombres dans mon lit. A peine ai je le temps de réaliser que tu entres, presque chez toi, tu imposes ta présence de ce charisme irrésistible qui ne t'a pas quitté malgré le temps. Tu es là et moi troublée comme au premier jour de notre rencontre, je reste paralysée de te voir.
"Je t'ai manqué ?"
Tu ne veux pas me laisser le temps de répondre et tu viens m'embrasser de ces baisers si envoûtants que j'en chavire. Oui c'est tout ce que j'arrive à balbutier dans le murmure de mon souffle coupé de te revoir. Corps et esprit sont enflammés des désirs du premier jour. Tu souris. Tu sais. Tu as compris. Plaquée alors entre ton corps et la porte qui s'est refermée, tu me regardes avec cet air altier, tu fais remonter ta mains entre mes cuisses et tu m'invites à me soumettre. C'est donc ça ? Tu es revenu tester mon allégeance ? Que me ferais tu si jamais je décidai de me dérober à ton corps ? Ne m'as tu pas abandonnée trop longtemps pour que je t'obeisse ? Tu gardes ce petit sourire, tu attends le faux pas. C'est tentant de jouer à se dérober. Je passe ma tête sous ton bras, ta main entre mes cuisses lâche sa proie, je m'enfuis de ton emprise me retourne et je te vois avoir perdu ton sourire , te pincer les lèvres.
"Retourne toi" le ton est si catégorique qu'aussitot j'obtempere. La vitre derrière laquelle les flocons tombent encore reflètent nos silhouettes. Je te vois mettre la main sur ma nuque pour me pencher, je sens ton autre main remonter ma jupe, ton regard croise le mien dans la vitre et le couperet tombe, ta main de maître s'est abbatue sur mes fesses, je le pressentais mais un cri s'échappe quand même.
"En silence"
Je mords mes lèvres et me contraint quand la seconde fessée s'abat. Allez je ne t'en veux pas, je l'ai méritée.
Mais si maintenant tu remettais ta main entre mes cuisses, tu sentirais à quel point je suis mouillée, promesse d'une nuit torride de Noël.
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*********imait Femme
19 Contribution
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Citation de *******men:
Nous sommes le 24 décembre, je regarde sa neige tomber sur mes seins quand soudain, une lueur magique illumine le ciel. Intrigué, je m'approche et découvre une étoile filante brillant d'une lueur particulière. Elle trace un chemin céleste, me guidant à travers la nuit, et les draps 😇

Suivant cette étoile, je me retrouve dans un lieu enchanté, où des sapins scintillants bordent un chemin enneigé. Des rires joyeux résonnent, et je réalise que je suis au cœur du village du Père Noël. Les elfes s'affairent aux derniers préparatifs, prêt à me jaillir dessus, les rennes baisent paisiblement, et une douce musique emplit l'air, et fait vibrer mon entrejambe.

Dans cette atmosphère féerique, je rencontre le Père Noël lui-même, assis près d'un feu crépitant. Il me tend son paquet magnifiquement emballé en disant : "C'est pour toi, car chaque voyageur mérite un peu de magie à Noël." Empli de gratitude, je déballe le cadeau pour découvrir son énorme sucre d'orge éclatant qui semble exaucer tous les vœux. Goulument je m'en suis emparer le gosier pour exaucer immédiatement tout mes vœux. Le père Noël bien vidé de son énergie vitale me laissa poursuivre les réjouissances en compagnie de sa horde de lutins.

Alors que je remercie le Père Noël et m'apprête à partir, il me lance un clin d'œil en disant : "Joyeux Noël, où que tu sois dans le monde." Retournant chez moi, émerveillé, je réalise que la magie de Noël transcende les frontières, unissant tous les cœurs autour de la joie et de l'amour. Qu'est-ce ce que c'est beau la magie de Noël.

Bravo et merci pour ta participation ! On est dans l'ambiance noël pas de doute.
Personnellement j'aime quand le récit comporte des scènes érotiques explicites, ça me manque un peu ici *zwinker*
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*********imait Femme
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Citation de *****ref:
Merci @*********imait pour cette invitation à écrire. *tipp*
Je te tutoie comme une française employant le you anglais qui différencie peu le tu/vous. *gruebel* J'espère que tu seras à l'aise avec ça. *zwinker*

Je te suis sur Instagram et je me retiens d'acheter tes livres car je suis certaine que je les dévorerai et qu'une fois ces ouvrages finis, je serai en manque et j'attendrais que la dealeuse de mots que tu aies, me fournisse une dose. *autsch*
En attendant, quelle savoureuse découverte ce que tu offres. *juhu*
Et tes idées qui filent sans cesse à offrir encore et encore... entre téléphone rose et les sessions photos.. je fonds encore et encore...

J'ai fait un audio inspirée par ton jeu et par le téléphone rose.
Je vais essayer de le mettre à l'écrit.
Si l'audio t'intéresse... mp possible.

Encore merci d'être.... toi! *love4*

Tu peux me tutoyer sans problème *happy*
Merci pour ce joli message qui me rempli de joie ! Merci de me lire et d'apprécier autant mon contenu, ça me touche *herz2*
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*********imait Femme
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Citation de *****eIV:
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre, quand soudain, je sens ses mains fraîches sur mes hanches dénudées. J'étais en train de me changer lorsque les premiers flocons sont tombés, je n'ai pu m'empêcher de m'arrêter pour les admirer. Le trottoir, en contrebas, blanchit. Il est tard, la ville est déserte. [...]
C'est bon, je peux y aller. L'avantage de vivre au boulot, c'est qu'en une minute je suis au bureau.
Ses mains se posent autour de ma taille, mon corps se détend. Je repose mon dos contre son corps un instant quand je l'entends susurrer à mon oreille "joyeux Noël".

Bravo et merci pour ta participation *g*
Un peu de mystère, la magie de Noël, et c'est trèèèèèèèès ... HOT !!!
Petit conseil pour s'améliorer : le plus dur dans l'écriture de récits érotiques c'est de ne pas tomber dans un texte 100% descriptif ou on ne parle que des gestes ("Il me touche la, je le lèche ici, il se mets comme ci, je l'embrasse la...) cela peut créer des longueur et de l'ennuie chez le lecteur. Varier un petit peu plus le récit le rendrai plus dynamique et plus attractif *zwinker*
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*********imait Femme
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Citation de ****Osv:
Un noël surprenant
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre quand soudain mon téléphone vibre. Je suis en train de travailler sur mon ordinateur, mais je décide de mettre de côté mon travail pour prendre le message. Je reste bouche bée en découvrant que c'est Émilia, ma meilleure amie, qui m'écrit.

[...]

À bout de souffle, je m'allonge à ses côtés et nos regards se rejoignent. Nos visages à quelques centimètres l'un de l'autre, elle me dit alors de sa douce voix.

• Joyeux Noël.

Bravo et merci pour ta participation *juhu*
Tu as bien posé le décors, tes deux personnages, on se projette bien ! Belle écriture, bravo, la petit touche fétichiste est cool !
Piste d'amélioration : ici ce qui rend la scène excitante c'est que se sont deux amis qui couchent ensemble pour la première fois. On a envie pendant la lecture de mieux connaitre les émotions de ton personnage face à cette nouveauté. Qu'est ce que ça lui fait de coucher avec sa meilleure amie ? Est-ce qu'il en rêvait depuis longtemps ? *happy*
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*********imait Femme
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Citation de *****moi:
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain, quelqu’un toque violemment à la porte, et me sort de mes pensées. Encore un livreur, à cette heure ? Je déposais ma énième tasse de thé de la journée sur le plan de travail.
Boum, boum, boum !
[...]
Nous ne pouvions rêver plus parfait Réveillon de Noël.

Bravo et merci pour ta participation *lach*
J'adore ton texte, il est fluide et on se laisse facilement embarquer. Continue d'écrire, c'est super !
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*********imait Femme
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Citation de *******d39:
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain tu sonnes à ma porte. Du haut de ma rêverie, je sursaute, mon cœur palpite, je n'attends personne. Tirée brutalement de ma contemplation, je me dirige frustrée pour venir t'ouvrir.
[...]
Mais si maintenant tu remettais ta main entre mes cuisses, tu sentirais à quel point je suis mouillée, promesse d'une nuit torride de Noël.

Bravo et merci pour ta participation *zwinker*
C'est chouette ! Un texte très court ça a l'air plus facile mais c'est en fait le plus compliqué. Ici tu as réussit en quelques lignes à nous faire plonger dans la vie de cette femme et de ces retrouvailles chaudes et musclées. On a envie de lire la suite et selon moi, c'est l'indicateur d'un texte réussi *herz2*
*******phe Homme
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Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain on sonne. Une lettre. Sans timbre.

Mon démon,

Deux jours, et je n'en peux déjà plus d'attendre. Tout me rappelle à toi : un tissu, une odeur, un regard… Ma peau crie d'avoir perdu la tienne. Mon corps ne sait plus dormir sans t'espérer. Les fêtes de fin d'année sont une torture qui nous tient loins l'un de l'autre. Les préparatifs semblent fades, tellement je n'ai le cœur à rien. Partager l'enthousiasme des enfants est un supplice. Je me perds dans le souvenir de notre dernier déjeuner. Tes mains sont presque là à caresser mon dos, mes reins. Ton regard m'emprisonne encore, de me laisser à la lisière. Je veux encore sentir tes lèvres aventureuses. Mais non, il faudrait être sages jusqu'à ce que le père Noël et la bonne année ne soient plus qu'un mauvais souvenir, un souvenir plat comme la campagne d'ici. Les étendues mornes me désolent, sous le ciel blafard qu'aucun soleil ne perce depuis notre dernière fois.

Je te revois encore dans ta robe bleue, tes boucles d'enfant sage. Diabolique maîtresse dès qu'elle a glissé à tes pieds. Tes cheveux de feu sur ta peau dorée. Ton air impitoyable devant ma frustration. Ton sourire vainqueur. Je t'imagine presque l'arborer de nouveau en lisant ces lignes, discrètement dans un coin de ton appartement. Je ne sais pas comment tu fais pour qu'il ne se doute de rien, démon. Me révèleras-tu un jour ton secret ? Tu as fait de la dissimulation un art qui me dépasse. Comment savoir ce qui se trame dans ton corps ?

Tu résistes, résistes toujours, conquérante, au-dessus de moi. Je te vois encore ton corps onduler. Tu me frôles de ta dentelle rouge, juste par jeu de me voir tendu vers toi, implorant. Tu caresses tes seins, par provocation, mais ton regard se perd, loin de moi. Je voudrais tellement te toucher, mais tu n'écoutes plus mon râle. J'adore te regarder quand tu es comme ça. Tu ne t'abandonnes jamais qu'à toi. Ta main descend le long de ta taille, puis glisse sur les reliefs de tes sous-vêtements. Tu te caresses. Le temps suspend son vol. Il ne reste pour tout battement que ta main entre tes cuisses. Combien de temps restes-tu ainsi ?

Plus rien n'existe, que la lente ascension de ton plaisir. Ne pas perdre le contrôle. Je tremble d'envie lorsque tu plantes ton regard dans le mien. Mais tu te mords la lèvre inférieure, de cet air effronté qui te vas si bien. La cruauté te rend belle. Ton va-et-vient s'intensifie. Tu réprimes un soupir lascif. Démon, tout s'ébranle en toi, mais tu ne laisses rien paraître. Tes doigts glissent sous le tissu. J'aimerais prendre leur place, ressentir le bonheur d'être en toi. Tu ne le permettras pas. Je reste offert, là entre tes genoux, mais ça ne t'intéresse plus. Tu t'enivres de me le laisser penser. Je vois ta main trempée. Je devine tes doigts qui se crispent, chaque fois un peu plus proche de l'extase. J'imagine ton cœur qui bat, la chaleur qui rayonne de ton ventre. Tout s'estompe autour de toi.

Je n'y tiens plus de te sentir si loin. Je voudrais te mordre le cou, te prendre avant qu'il ne soit trop tard. Sentir ton corps qui se contracte. Tu jouis de ma frustration, démon. Je le sais. Tu ne t'abandonnes qu'à toi. T'autoriseras-tu à gémir cette fois ?

Dépêche-toi, il t'appelle pour savoir qui a sonné.


Je suis trempée. Mes doigts tachent le papier que je fourre à toute vitesse dans l'enveloppe. Je n'ai que le temps de me retourner avant qu'il apparaisse dans l'embrasure de la porte. Je réprime un frisson. Satanée jupe courte. Je prie pour qu'il ne voit pas le filet chaud qui coule le long de ma jambe.

— Oh rien, c'est juste le concierge qui nous déposait sa carte de Noël.
*****o66 Homme
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Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain je vois son visage dans un reflet, à l’endroit où se reflétait le mien quelques instants plus tôt… Je vérifie mon verre de whisky, suspicieux … Un pur malt, 12 ans d’âge me donnerait des visions ?
Je me tourne alors de nouveau vers la vitre et Elle est là. Magnifique. Elle me sourit et viens vers moi, nonchalante.
J’ouvre la fenêtre, et à mon tour je lui souris et lui demande ce qu’elle fait là ? Elle me répond qu’elle avait envie de me voir, qu’elle avait envie de moi … Ce soir … c’est trop beau pour être vrai ! Elle … Ma collègue que je désire en secret depuis notre rencontre … Je la prends dans mes bras et la serre fort contre moi. Je sens la chaleur de son corps contre le mien au travers de nos vêtements. Sa poitrine contre la mienne et nos cœurs qui s’emballent pendant que nos lèvres se rejoignent dans un tendre baiser. Nos langues jouent ensemble … Je suis dans un état d’excitation tel qu’elle ne peut pas l’ignorer, nos bassins collés l’un contre l’autre … Mes mains sur ses hanches, ses fesses, les siennes qui m’enlacent et me caressent les cheveux.
Nous allons faire l’amour ! Enfin ! Et puis d’un seul coup, une voix résonne dans la pièce.
« - Tiens ? Tu as ouvert la fenêtre ? Tu es en chaleur ou bien !? ». S’en suit un éclat de rire familier qui me ramène à la réalité. Celui de mon frère.
« Oui, j’ai eu un coup de chaud » lui ai-je alors répondu …
Un sacré coup de chaud, même !
Et pendant un délicieux instant, j’ai vraiment cru au Père Noël …
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*********imait Femme
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Citation de *******phe:
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain on sonne. Une lettre. Sans timbre.

Mon démon,

Deux jours, et je n'en peux déjà plus d'attendre. Tout me rappelle à toi : un tissu, une odeur, un regard… Ma peau crie d'avoir perdu la tienne. Mon corps ne sait plus dormir sans t'espérer. Les fêtes de fin d'année sont une torture qui nous tient loins l'un de l'autre. Les préparatifs semblent fades, tellement je n'ai le cœur à rien. Partager l'enthousiasme des enfants est un supplice. Je me perds dans le souvenir de notre dernier déjeuner.
[...]

— Oh rien, c'est juste le concierge qui nous déposait sa carte de Noël.

Bravo et merci pour ta participation *love4*
C'est génial ! La mise en scène est originale, le texte est poétique et la chute nous fait sourire ! C'est très réussit. Encore bravo !
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*********imait Femme
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Citation de *****o66:
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tombée par la fenêtre quand soudain je vois son visage dans un reflet, à l’endroit où se reflétait le mien quelques instants plus tôt… Je vérifie mon verre de whisky, suspicieux … Un pur malt, 12 ans d’âge me donnerait des visions ?
Je me tourne alors de nouveau vers la vitre et Elle est là. Magnifique. Elle me sourit et viens vers moi, nonchalante.
[...]
Un sacré coup de chaud, même !
Et pendant un délicieux instant, j’ai vraiment cru au Père Noël …

Bravo et merci pour ta participation *smile*
La chute est excellente hihi !!! On aurait presque envie que le récit aille plus doucement avec plus de détails pour bien se projeter dans cette scène qui n'était en fait qu'un rêve... Bravo, c'est agréable à lire!
********sard Femme
1 Contribution
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre quand soudain, je me rappelle pourquoi je suis là. La tête à l’envers. Les mains attachées. Allongée sur le lit. Oui, je vois la neige, mais je ne vois pas le reste. En revanche, je ressens. Je sens ses mains sur mon corps. Je sens son poids sur moi. Je sens son souffle dans mon cou. Il sait que j’adore ça. Sentir son souffle. J’aimerais qu’il dépose ses lèvres sur ma peau. Qu’il en profite pour me croquer. J’aime être sa friandise.
Il fait froid. Je frisonne un peu. Il s’est éloigné de moi. Qu’est-il donc parti chercher ? Le fouet ? La bougie ? Un gode ? Rien ? Je l’entends s’approcher. Il me ramène au milieu du lit et met un coussin sous ma tête. Il en profite pour me faire un bisou sur le front. Je fonds.
Je sens qu’il me touche les pieds du bout des doigts. D’abord le droit, puis le gauche. Il remonte le long de mes jambes avec la pulpe à l’aller, avec les ongles au retour. De plus en plus intensément. Il va me laisser des marques. C’est que ça ne serait pas pour me déplaire... Montrer demain au diner à qui j’appartiens vraiment.
Je tressaute. Il a fait couler quelques gouttes de bougie sur mon ventre. Elle se transforme en huile. Elle est chaude et me réchauffe. Il en profite. Il fait des cercles avec sur mon ventre puis remonte sur mes seins. Il les presse entre ses mains. Il les malaxe. Il presse mes tétons entre ses doigts. Je me tords. Je résiste. Il continue. Il rapproche sa bouche de mon cou. Je sens son souffle vibrer sur ma peau. Il cède. Il m’embrasse tendrement, me lèche de la base des clavicules jusqu’aux oreilles.
Comment arrive-t-il à me faire partir comme ça ?
Je ferme les yeux. Je ne peux pas parler. Je ne peux même pas lui rendre la pareille. J’aimerais pourtant. Je me vengerais la prochaine fois. Il me susurre à l’oreille :
« Je t’aime ma Déesse ...
Tu sens comment je suis dur pour toi ...
je vais te la donner tout entière ...
Et tu vas aimer ça».
Je frémis. Il me caresse le visage puis me le tient à une main. Il voudrait m’embrasser mais ça voudrait dire me libérer. Et ça, il ne le veut pas. Il me caresse la chatte. Tout doucement. Il attend que je me détente. Il attend que ça s’ouvre seul. Il ne force pas. Il a le temps. Il caresse ma fente du bout du doigt. Encore et encore. Tout doucement. Il sent que j’écarte un peu plus les cuisses. Il sent que j’aimerais qu’il aille plus loin. Mais non. Il fait durer. Je gémis comme je peux.
Finalement, il se met en place. Il se place entre mes cuisses, à genou. Il en profite pour glisser un coussin sous mes fesses, pour me surélever légèrement. Il sait que comme ça, je sens mieux sa bite. Il met son gland juste à l’entrée de mon vagin. Il ne bouge pas. Puis il en profite pour me caresser sur toute la longueur. Il appuie son gland sur mon clitoris. Il revient à l’entrée de mon vagin. Il s’arrete. J’ai juste envie qu’il me pénètre maintenant. Il sent que je mouille. Il le sent non ? Je ne peux même pas me toucher pour savoir...
Il rentre. Tout doucement. Je le sens dans chaque parcelle de mon corps. Enfin, la sensation naît au cœur de mon vagin et remonte le long de ma colonne. Il est si dur. Il prend son temps pour que je le savoure. Il en profite pour aller tout au fond. Comme promis.
Il ne me touche pas. J’ai envie de le serrer dans mes bras. J’ai envie de le mordre et la seule chose que je peux mordre, c’est cette fichue boule en plastique. Je la mords fort. Il se met à accélérer. Il sait ce que j’aime. Je me contracte. Il ralentit. Il s’arrête. Il est juste au bord. « NON. S’il te plait, n’arrête pas» suis-je en train de penser . Il reprend. Lentement, encore une fois. Puis il s’arrête, encore. Il sait qu’il me rend folle mais qu’il joue à un jeu dangereux, car s’il s’arrête trop longtemps, toute mon excitation va retomber et on sera tous les deux frustrés. Je sais que son plus grand plaisir, c’est de me sentir vibrer autour de lui. Il continue de me pilonner comme il faut et j’aime ça. Il en profite pour me caresser les seins à nouveau. Il les serre fort. Je l’entends murmurer. J’aimerais lui dire plus fort. Il voit mon excitation dans mes yeux. Il sait ce que je veux. Il me caresse le clitoris comme il sait si bien le faire. Je ne résiste pas longtemps. Je pars...
Il sort de moi toujours aussi dur. Il me caresse le visage avec sa bite. Il se finit sur moi et me recouvre de son foutre. Il s’allonge sur moi, s’approche de mon visage et me dit « Ma Reine, Joyeux Noel ».
****35 Homme
2 Contribution
Nous sommes le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre quand soudain deux nuages s’écartent et laissent passer une raie de lumière dans cette atmosphère ouatée et immaculée. Cette lumière d’aurore vient t’habiller de ces couleurs dorées. Tu es là à mes côtés dans ce lit. Je te regarde dormir vêtue seulement de cette lumière. Il y a encore quelques heures, nous étions entre ami·e·s à fêter notre père Noël secret. Tu l’étais pour moi. Au moment de l’échange des cadeaux, tu t’es approchée de moi. Tu m’as chuchoté à l’oreille que tu serais mon cadeau, qu’on allait jouer ensemble. J’ai été agréablement surpris de cette envie assumée. Ton attitude lascive ne laissait aucun doute sur la nature de ce futur jeu à deux.

Cette lumière s’affine pour n’être plus qu’un rayon lumineux qui maquille ta bouche de ces belles couleurs. Les minutes défilent et ce rayon trace son chemin scintillant. Il quitte ta bouche pour descendre le long de ton cou. Il s’en va vagabonder sur les courbes de ta poitrine. Il poursuit sa course le long de ton ventre. Il finit sa route sur ton pubis et s’évapore à l’approche d’un nouveau nuage gonflé de neige.

La chaleur des rayons t’a fait sortir de ton hibernation. Tu te réveilles doucement. Tu vois que je t’observe.

- Depuis combien de temps, tu m’observes ?

- Le temps qu’il a fallu à un rayon de lumière pour parcourir ton corps.

Tu comprends mieux la chaleur ressentie sur ton corps. Tu t’assois et t’étires de façon féline. Tu bombes la poitrine tout en m’observant. Je sais à quel jeu, tu joues. Tu veux me provoquer, voir si je réagis. Mais tu le sais très bien, je ne peux résister à tes seins, à leurs voluptés. Tu te rallonges, bien contente de l’effet provoqué. Ton visage est affublé d’un sourire en coin.

- Peux-tu refaire le parcours de ce rayon ?

- Avec joie.

Tu as encore dans la tête la trace de chaleur laissée par son voyage. Je ne me fais pas prier pour m’approcher de toi. Je commence à redessiner de mes doigts ce trajet lumineux. Tu en profites pour mordiller mes doigts au départ de cette escapade. Ma bouche ne tarde pas à suivre le même chemin emprunté par mes doigts. C’est une joie de parcourir ce corps, de goûter sa douceur. Je commence à entendre ta respiration accélérer, je ne suis pas le seul à apprécier ce trajet.

Arrivé au niveau de ton pubis, je sens tes effluves m’enivrer. C’est un paradis olfactif, aphrodisiaque pour moi. Je te vois relever le bassin, je sais ce que tu veux. Je mets un coussin sous le bas de ton dos et me place entre tes jambes. Je commence par jouer avec tes cuisses, les caresse, les embrasse. Je veux te faire languir. Je me rapproche au fur et à mesure de ta vulve. Je continue mes jeux avec tes lèvres externes, je parcours leurs jolis galbes.

- Je ne tiens plus, lèche-moi.

En même temps que ces paroles, tu m’attrapes la tête pour la plaquer contre ton entrejambe. J’ai la bouche plaquée contre ton sexe. Je commence à titiller ton clitoris que je sens pulser de désir sous ma langue. Le rythme de ta respiration s’accélère encore. La chaleur qui monte dans la pièce contraste avec le climat enneigé extérieur.

- Mes doigts ont envie de t’explorer, je peux ?

- Putain oui, vas-y

J’insère un premier doigt. Je le mets en crochet, à la recherche de cette zone légèrement rugueuse. De mon autre main, j’appuie sur ton pubis. Je sens ton corps fébrile sous mes jeux de doigts et de langue. Un deuxième doigt rejoint le premier. Je sens ton vagin se contracter au rythme du plaisir qui te parcourt.

- Je vais jouir, continue. Ne t’arrête surtout pas.

Je suis tes ordres. Je sens ton corps se tendre, tu deviens silencieuse. Après cet apogée, tu t’écroules dans le lit repue de tant de plaisir. Je remonte à ton niveau et t’embrasse.

- J’ai faim.

Je m’apprête à me lever pour aller préparer le petit-déjeuner. Tu m’arrêtes. Tu te mets à rire.

- Ce n’est pas de cette faim que je parlais. J’ai faim de toi.

Je te rejoins dans cette hilarité. Tu me tires vers le lit et m’embrasses. Tes mains commencent à parcourir mon corps. Je ressens leurs chaleurs. Tes gestes sont délicats. Je ressens ton désir pour moi dans tes yeux. Tes mains se rapprochent de mon sexe déjà gonflé. Tu commences ton massage de tes doigts délicats. Tu enchaînes les va-et-vient. Je suis soumis à toi. Mon plaisir est entre tes mains. Ta bouche vient les rejoindre et tu embrasses ce gland turgescent. Ta langue danse sur mon sexe. Tu joues avec lui, à coups de langue. Tu le parcours de mille baisers.

- Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme.

À ces mots, tu accélères le rythme. Tu circlus ma verge de ta bouche. J’y ressens sa chaleur accueillante. Tu continues ton jeu de langue. Tu t’arrêtes un temps. Tu veux jouer avec ma frustration. Tu reprends lentement, très lentement. Je ressens tes lèvres parcourir chaque centimètre de ma verge. Tout en jouant de ta bouche, tes yeux accompagnent ce jeu. Ton regard en dit tellement sur le plaisir que tu prends à jouer avec moi. Je sens que je ne vais pas réussir à tenir longtemps. Tu es tellement douée.

- Je vais jouir.

Tu ne te retires pas. Tu continues. Tu veux que je jouisse dans ta bouche. Je ne me retiens plus et me laisse aller à cette jouissance. Je te vois te lécher les lèvres. Tu me regardes droit dans les yeux avec ce regard coquin que j’adore.

- Tu as été parfaite. Il n’y a pas meilleure que toi. C’est un plaisir de jouer avec toi.

Tu te loves contre moi et m’embrasses. Je te prends dans mes bras. Tu te serres contre moi pour te réchauffer auprès de moi. Je sens ton corps se détendre dans mes bras. Ta respiration ralentie. La redescente des hormones se fait sentir. La fraîcheur commence à se faire présente après ce moment très chaud. Je nous couvre d’un plaid douillet. Mes mains commencent leurs papouilles sur tes bras. Ces papouilles se transforment vite en caresses. Tu fermes les yeux pour profiter de l’instant présent, peau contre peau. Je veux profiter encore un peu de la douceur de ton corps. Après y avoir goutté, je ne pense plus pouvoir m’en passer. Cette mise en bouche n’est que les prémices de futurs moments intenses. Je pose ma tête sur ton cœur et l’entends encore agité du moment passé. Enlacés comme un seul corps, nous partons tous les deux dans un sommeil apaisant. La neige continue de tomber, imperturbable du spectacle qui s’est déroulé dans cette chambre. La magie de Noël a réalisé son office. Tu es mon plus beau cadeau de Noël.


Sora35 ⭕
*********quin Homme
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@*****moi j'en suis tout exciter merci
****419 Homme
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Le 24 décembre, je regarde la neige tomber par la fenêtre. Soudainement, une voiture bien connue se gare dans l'allée de ma maison. Cette voiture, je ne la connais que trop bien, elle me perturbe déjà. Une petite voiture noire, citadine, avec quelques options bien reconnaissables, comme un pare-brise étendu.
"Qu'est-ce qu'elle fait là ?" Je n'avais pas eu de contact avec elle depuis maintenant deux ans. Je continue de l’observer par la fenêtre, perdu entre nostalgie et torpeur. Une part de moi avait rêvé depuis tout ce temps d'un moment comme celui-ci, tandis qu'une autre n'avait qu'une envie, la repousser violemment. Pendant cette réflexion, une jeune femme sort de sa voiture, grande et élancée. Elle est étonnamment mal habillée, probablement partie sur un coup de tête, mal coiffée, portant un jogging noir avec des baskets et un fin tee-shirt malgré cette météo hivernale.
Malgré tout, elle reste sublime à mes yeux, bien que cela me fasse mal de l'avouer. Elle a probablement fait trois heures de route pour venir. Une interrogation fuse dans mon esprit; comment a-t-elle eu mon adresse? Seuls mes amis actuels la possèdent, mais pourtant, elle est bien là. Je dois déjà supporter ce réveillon seul, chez moi, loin de ma famille à cause de cette neige menaçante, en espérant partir demain matin. Quelques secondes passent et, sans surprise, on entend frapper à la porte. Dans un soupir, fraîchement sorti de ma douche, mes cheveux humides retombant encore sur mon front, je porte mon tee-shirt et mon short de basket datant déjà du lycée, il y a quatre ans, je me décide à aller ouvrir cette porte. Une fois face à elle, bien que encore séparés par une vitre, je sens que je perds contenance. Mes pensées et questionnements tournent en boucle dans ma tête, me disant à quel point je fais une connerie. Je suis dans la merde. Je lui ouvre finalement la porte, elle me fait pitié, dans son petit tee-shirt, les bras entourés autour d'elle-même et son regard suppliant.
À peine la porte ouverte, elle se presse contre moi, s'accrochant à mon cou. Je la laisse entrer, refermant la porte, agissant comme si elle était une parfaite inconnue. Un silence s'installe. Inclinant la tête pour la regarder, elle atteint presque ma taille, mes 1m80.
Je réprime un soupir et finis par demander :
-Qu'est-ce que tu fais là, Elisa ? Comment as-tu eu mon adresse et c'est quoi ces manières ? Ça fait deux ans que l'on ne s'est pas vus.
Secouée par mes paroles, elle retire ses bras, recule, et se dirige vers une source de chaleur pour se réchauffer, la tête basse et visiblement honteuse. Je suis conscient que l'accueil n’est pas celui auquel elle s’attendait. Elle pris la parole, d’une voix mal assurée :
-Bonsoir d'abord...

Elle parlait d'une voix à peine audible, les yeux fixés sur le sol.
-Je suis passée chez tes parents... Et avec un peu d'insistance de ma part, ils ont accepté de me donner ton adresse, puisque tu n'étais pas là. Ils m’ont d'abord proposé de t'attendre chez eux demain, mais je voulais te voir maintenant... J'en avais besoin.
Je recule, passant nerveusement ma main dans mes cheveux, m'asseyant sur l'escalier, l'observant de bas en haut. J'écoute attentivement chacune de ses paroles, nourrissant intérieurement une rage envers mes parents. Sans attendre la fin du discours d'Elisa, je leur envoie un SMS, avec un sarcastique "Merci du boulet", puis range mon téléphone.
Après quelques secondes de silence, elle se reprend et me fixe de son regard pénétrant. Un regard couleur tempête, bordé de cils blond. Mon océan de désespoir.
-J'ai enfin compris, Georges, et tu avais raison. Il m’a frappé, je n’ai pas voulu y croire. Ça me paraît tellement irréaliste, impossible que « je » fasse partie de ces femmes… c’est ce que je me suis toujours dis. Il en a fallu d'autres, mais je l'ai enfin quitté. Et… ça fait aujourd'hui deux mois que je l'ai quitté... Je peine encore à me reconstruire, j’ai mal, j’ai putain de mal. Et depuis tout ce temps, je réfléchis, je pense à beaucoup de choses, mais surtout à toi, Georges. Ce soir, sur un coup de tête, j'ai voulu te voir, laissant ma famille en plan pour venir TE voir... te voir toi et personne d’autre.

La jeune femme retenait ses larmes, fixant son ancien ami avec l'espoir d'obtenir quelconque réaction. Pendant un mois, il avait occupé ses pensées quotidiennes, devenant l'objet de ses rêves, anticipant le moment où elle le retrouverait enfin, sentirait sa présence, entendrait sa voix, et percevrait son odeur sur elle...
Georges soupira en entendant son ancienne amie lui avouer les violences infligées par son ex, ressentant du dégoût et une envie de vomir. Cet ex, qui fut son meilleur ami par le passé. Il ne lâchait pas son regard, et devait contenir certaines envies enfouies au plus profond de lui depuis qu'il avait enfin décidé de se débarrasser de ces personnes toxiques de sa vie. Toutes les barrières établies commençaient à se rompre, une à une. Lentement mais sûrement. Comme une boîte de Pandore.
Elisa, se rappelant comment son ami pouvait se comporter, comprit qu'une guerre était en train de se déchaîner en lui, et qu'elle avait le pouvoir de faire pencher la balance en sa faveur. Elle observait chacun de ses mouvements, sa poitrine se soulevant à chaque respiration, sa main droite passant dans ses cheveux pour les discipliner et tenter de s'apaiser. Un choix crucial s'imposait, un geste qui pourrait tout changer. Depuis un mois à penser à lui, elle n'avait pas décidé si elle voulait retrouver son ami, faire évoluer cette amitié ou simplement en tirer profit.

Ce qui n'aidait en rien, c’est que durant deux ans, Georges avait aussi évolué, et elle ne savait rien de lui. Elle avait entendu des ragots à son sujet, y compris quelques déboires sexuels, bien qu'elle n'en eût jamais cru un mot, allant même jusqu'à voir encore son ami comme « son petit puceau de Georges ».
Les deux jeunes gens étaient donc tous les deux pensifs, ne sachant pas ce qu'ils voulaient ni comment cette soirée de réveillon allait se poursuivre. D’une voix assurée, Georges prit la parole :
-Bon, premièrement, tu ne peux pas rester comme ça. Donc, tu vas aller te doucher, je vais te passer des fringues, et ensuite, tu iras te coucher dans la chambre d'amis. Ça te va ?
Elisa pouvait entendre dans chacun des mots de Georges une tension qui ne demandait qu'à être libérée, il attendait une réaction venant d'elle, et que le programme proposé n'était qu'une provocation afin d'obtenir la réponse à une question qu'il ne poserait pas.
Je la regardais attentivement, observant chacune de ses réactions pour voir si un rêve d'ado se réaliserait ce soir, bien que ma conscience ait allumé toutes les sirènes pour me ramener à la raison. Mais merde, je suis jeune, je n’ai qu’une vie, et tant pis, j’en souffrirai plus tard…
Elisa s'avança vers moi, son tee-shirt devenu presque transparent par l'humidité de la neige, dévoilant la fine volute de sa poitrine nu et ses tétons commençant à s'apercevoir. Sa respiration s'était légèrement accélérée, et elle vint se caler devant moi. Elle leva la main pour la poser sur ma joue et la caressa délicatement en me regardant toujours dans les yeux. Elle ouvrit la bouche pour parler dans un murmure qui était presque une supplique.
-Puis-je… puis-je t’embrasser ?

Il n'en fallait pas plus pour faire s'effondrer mes dernières barrières. Demander mon consentement était tout bonnement un catalyseur de désir, et à peine eus-je soufflé un "oui" que ses lèvres rencontrèrent les miennes. Cette sensation était tellement douce, fine, avide, au fur et à mesure de l'évolution du baiser, transmettant le désir de l'un et de l'autre par ce simple contact. Je ne pus retenir plus longtemps mes mains, mes bras entourant déjà sa taille, tandis que ma main droite se trouvait déjà sur ses fesses, les pressant plus fort que je ne l'aurais voulu, mon désir m'empêchant de garder le contrôle. Toutes ces années à imaginer ce moment sans avoir le droit de le vérifier s'échappent. Mes instincts les plus primaires se laissent aller.
Je l'attrape par les fesses, la soulève, et comme si nous avions toujours fait cela, ses jambes viennent entourer ma taille. Ensuite, je monte les escaliers pour nous glisser dans mon lit. Une fois sur ce dernier, je me tiens devant elle, la regardant droit dans les yeux.
-Tu en as envie ? Puis-je continuer ?
Elle me répond d'un souffle haletant.
-Oui, vas-y, je suis toute à toi.

Je ne me fis pas prier pour commencer à la déshabiller. À moitié sur elle afin de descendre cet immonde jogging, je pris ensuite du recule et vis qu'elle était partie sans prendre le temps de s'habiller, ne portant pas de culotte. Cette information la gêna au point de mettre une main devant sa féminité pour se cacher. Comprenant aussitôt, je remontai plutôt à sa hauteur pour la prendre dans mes bras et la câliner, chose pour laquelle elle ne se fit pas prier.
Le moment était silencieux, seule la tendresse comptait. Après quelques minutes, l'appétit de la demoiselle devint trop grand, elle vint au-dessus, en amazone pour me surplomber, et je souris à cela. Elle passa sa main sur mon torse en me souriant de manière enjôleuse.
-Trop de tissu, je vais devoir retirer ça.
Elle passa des gestes aux paroles et retira mon tee-shirt tellement vite que je ne compris qu'après que mon short était lui aussi parti, laissant apparaître une érection devant son visage. Elle se baissa vers celle-ci, commençant à la caresser du bout des doigts en me souriant.
-Puis-je ?
-Oui, fais-toi plaisir.

Un élan d'aplomb était apparu sans savoir d'où, et elle apprécia, puisqu'elle me prit aussitôt en bouche pour me sucer, affamée comme si faire cela la libérerait. Son expérience se sentit tout de suite, les sensations procurées étant divines. Je ne savais pas comment gérer cela, je sentais déjà le plaisir suprême prendre possession de moi, mais je ne voulais pas que ce moment se termine déjà. Je voulais que cela dure, je veux la faire jouir.
Elle s'arrêta subitement, un sourire angélique aux lèvres.
-Ne te retiens pas, jouis dans ma bouche, je veux te goûter...
Elle reprit aussitôt après avoir dit ces paroles des plus stimulantes. Il ne me fallut pas plus de cinq minutes pour jouir, me déversant tout entier dans sa bouche après une dernière gorge profonde.
Je partis aussitôt en transe alors qu'elle avalait, passant son index sur sa lèvre elle vint se réfugier dans mes bras. Je ne réussis qu'à refermer mes bras me reprenant durant de longues minutes.
Lorsque je revins à moi, je la vis sourire et elle vint m'embrasser, baiser auxquels je répondis en glissant une main en même temps entre ses cuisses pour la stimuler à son tour.
J'étais surpris, sa réaction fut tout autre, et elle serra légèrement ses cuisses en me regardant.
-S'il te plaît, pas tout de suite… plus tard… je n'ai pas besoin que tu me touches juste parce que je me suis occupé de toi...
Elle sourit toujours de la même façon.
-Maintenant que tu es calmé, nous pouvons parler… voir ce que nous voulons… et puis après, tu t'occuperas de moi, si tu en as toujours envie… tout est possible ce soir.
C’est vrai, nous sommes le soir du réveillon, j'ai tellement de choses à lui dire, à lui demander, tellement d’interrogations et de rêves revenant à la surface. Après tout… pourrions-nous pas rêver au miracle de Noël…
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