Ode à la vulve
Bonjour à toutes et à tousIl ne s'agit pas d'une de mes compositions, ni d'une histoire érotique, mais d'un poème d'une poétesse galloise du 15ème siècle !
Le poème n'est pas en entier, car il est très long. Elle y reproche aux poètes de toujours chanter les louanges de toutes les parties du corps de la femme, SAUF, de la vulve.
Désolée pour la traduction, dur dur de traduire un poème
"Car ils [les poètes] laissent le milieu des femmes sans éloge,
Ce lieu où l'on élève les enfants,
La vulve chaude et lumineuse qui jamais n'est louée,
Ce tendre, dodu, palpitant et asymétrique anneau,
C'est l'endroit que j'aime, l'endroit que je bénis,
La vulve cachée sous la robe.
Toi, corps féminin, tu es forte et juste,
Une cour parfaite, charnue et ornée de poils.
Je déclare que la vulve est belle,
Cercle de lèvres aux larges bords divins,
C'est une vallée, plus longue qu'une cuillère ou une main,
Une vulve pour tenir un pénis fort et grand ;
Deux lignes rouge à acclamer en chanson."
Si vous souhaitez lire le poème en entier et en anglais, voici un site où je l'ai trouvé.
Pour celles et ceux qui parlent anglais, c'est bien plus agréable à lire que ma petite traduction rapide qui perd le charme du poème.
https://fromtroublesofthisworld.wordpress.com/2015/08/09/to-the-vagina-by-gwerful-mechain/