rdv cinéma
Elle se préparait pour son rendez-vous :Il avait dit collant ouvert ou bas sans dessous.
Il avait demandé un sexe lisse.
Une jupe ou une robe, haut décolleté.
Une grande veste, des hauts talons, cheveux relevés, maquillée.
Elle se regardait dans la glace une dernière fois et partit à pied au lieu de rendez-vous.
En marchant, ses lèvres intime frottaient l’une contre l’autre et roulaient son si sensible clito.
Là bas sur le parking, elle reconnut sa voiture et marcha plus rapidement vers lui qui était encore au volant.
Elle frappa à sa vitre il l’ouvrit et lui demandât de venir s’asseoir devant à coté de lui.
Elle s’asseyait sur la place passagère de devant, tout en gardant les jambes écartées.
Il déboutonnait sa veste et disait : « bien tu as le ruban/dentelle autour du cou, symbole de ton collier. »
Il glissait une main dans le décolleté de son corsage et souriait quand il tournait entre ses doigts ses tétons déjà si durs.
Sa seconde main glissait vers le haut de sa cuisse en soulevant sa jupe et ses doigts jouaient avec ses lèvres intimes, puis son clito, et entre ses lèvres er ressortirent trempés. Elle dut les sucer pour les nettoyer.
« Bien Ma chienne en chaleur, tu es prête pour la séance ciné maintenant.
Et félicitation pour avoir suivi mes ordres. »
Le cinéma était à deux pas. Ils entraient et déjà il y avait une longue file d’attente pour chaque salle.
Il la prit par la main et il regardait les affiches. Sa main se faisait très caressante sur ses fesses et cela la gênait autant que cela l’excitait.
Finalement il se décidait pour un film et ils se placèrent dans la file la plus longue.
Sa main remontait sa veste et caressait ses fesses de plus belle.
Elle mouillait tellement. Elle était si gênée. Il souriait en la regardant.
Il mit quelque chose dans sa poche et lui demandait d’aller l’insérer dans les toilettes.
Elle poussa la porte des toilettes et vit deux femmes en train de se bécoter déjà.
Elle fermait la porte du WC et prit ce qui était dans sa poche.
Oups 4 boule de geisha sur un seul cordon. Elle écartait ses jambes se pencha pour les enfiler.
Les boules retombaient dès qu’elle se relevait.
Elle aurait presque pleuré de rage et haïssait son Lui.
Elle persistait et finalement les 4 boules tenaient dans son intimité.
Elle sortit des WC, les lesbiennes n’étaient plus là. Elle tirait la porte et se retrouvait dans le hall d’entrée. Elle cherchait sa silhouette et son regard : il achetait de pop corn avec du caramel liquide.
Elle le rejoignit et ils se dirigèrent vers une salle. Il tendit les billets à l’entrée et se dirigeait vers le troisième dernier rang et s’asseyait au milieu du rang. Les billes bougeaient en elle.
Brouhaha, publicité, les gens s’asseyaient. A sa droite un monsieur s’asseyait à 4 fauteuils de lui. A ma gauche, à deux fauteuil d’elle: le couple de lesbienne. Elles lui souriaient.
Enfin la lumière s’éteignait. Le son était vraiment fort : tant mieux on l’entendrait pas au cas où.
Et il lui murmurait dans l’oreille « tu es Ma salope, Ma chienne et j’apprécie que tu sois en chaleur, Ma salope nympho »
En entendant ces mots, son souffle s’accélérât. Sa main fouillait son entre-jambe. Il tirait sur le cordon trempé de sa mouille et sorti une balle, … puis une deuxième. Il caressait si vite son clito qu’elle se mordait les lèvres pour ne pas gémir. Puis il reprenait sa main et la laissait regarder l’écran en paix tout en lui disant qu’elle devrait être capable de lui raconter l’histoire du film quand ils seront sortis.
Il mit son bras autour de son cou et glissait sa main dans son décolleté, roulait, pinçait, tordait ses tétons la faisant gémir et l’excitait encore plus. Elle ne pouvait pas se concentrer sur le film. Elle ne savait même pas de quoi il parlait. Elle était en feu. Sa tête pensait sexe et excitation, son corps tremblait d’excitation et elle mouillait son fauteuil.
La lumière revint à un moment, probablement l’entre acte. Il tirait vite les deux boules restantes et lui dit :
« Dans ce sac un gode connecté, tu mettras les boules dans ton anus et le gode dans ton autre trou de salope. Elle rougit espérant que personne n’avait entendu ses mots.
De retour dans les toilettes elle lubrifiait les boules dans sa bouche avant de se les enfiler dans son anus : plus facile que dans mon intimité pensa-t-elle.
Maintenant le gode qui rentrait tout seul tellement ergonomique.
Sans trop de problème elle regagnait sa place. Lumière éteinte le film redémarre.
Elle devait faire un effort pour suivre le film. Son excitation dominait tout. Elle devait supplier pour jouir mais elle ne se voyait pas faire cela dans la salle de cinéma au milieu des gens.
Soudain une vibration intense dans son intimité : cela la faisait trembler de tout son corps. Quelques secondes intense d’excitation puis plus rien. Une minute et hop vibration qui la faisait trembler et mouiller mille fois plus.
Il avait une main dans son décolleté et l’autre sur sa propre cuisse. Oh ! Le salaud c’est un gode connecté.et cela continuait jusqu’à la sortie du cinéma. Elle était rouge, dans un état second, elle ne pensait qu’à jouir. Elle ne pensait plus, incapable de se souvenir quoique ce soit du film.
Sa main sur ses fesses lui rappelait où et avec qui elle était. Mais le brouillard persistait dans sa tête. Le couple de lesbienne vinrent vers lui et lui dirent : « voici le téléphone pour le gode connecté, nous avons eu beaucoup de plaisir à jouer avec et de la voir ne plus contrôler son corps. »
« Merci », dit-il
Vous pouvez nous joindre dans la voiture si vous voulez.
Il faisait noir maintenant, la nuit était tombée.
Il lui mit ses mains sur le toit de sa voiture et la fit se pencher en avant tout en ayant ses jambes bien écartées
Un des femmes l’embrassait goulument dans la bouche, l’autre luis caressait les seins, il lui enlevait les 4 boules et la sodomisait avec force.
Il lui demandât si doucement : « est-ce que tu es prête à jouir ? »
« -ouiiiiiiiiiii »
Alors avant il faut que tu me suces salope !
Allonge-toi sur les deux sièges et mets ta tête penchée en arrière dans le vide. Elle s’exécutait immédiatement, ne pouvant refuser cette condition pour jouir dans l’état où elle était.
Les deux femmes s’occupaient de son sexe la doigtant furieusement. Il lui enfonçait son pénis dans la bouche et baisait sa bouche comme il l’avait fait avec son anus. Elle gémissait. Il devait jouir si elle-même voulait jouir
Elle s’appliquait donc à se concentrer sur ce sexe dans sa bouche. Les doigts experts des deux femmes la mettait toujours plus prêt de l’orgasme. Il se retirait brutalement et lui éjaculait dans ses cheveux. Elle jouit plusieurs fois maintenant elle pouvait profiter des lesbiennes.
Il lui défendit de se nettoyer et la raccompagnait chez elle toute souillée.
Dans une porte cochère il la caressait sous sa jupe tout en lui murmurant « tu vas penser à moi en étant excitée sans jouir Ma salope. » en effet il la stimulait tellement qu’elle en gémissait à nouveau.
Il arrêta d’un coup et la prit par la main jusqu’à sa porte, l’embrassa et lui dit bonne nuit chienne en chaleur. Puis se retournât et parti.