Oiselle livre 2 chapitre 1
Oiselle livre 2 chapitre 1Elle était dans son bain qu'il lui avait préparé avec des bougies. Après leur départ, il l'avait prise dans ses bras caressée et embrassée fougueusement enflammé de désir pour la femme qu'il aimait.
Cela lui faisait un bien incroyable après ce qu'elle avait subit la veille, cette nuit et toute cette journée de vendredi.
Après, toutes ces humiliations, ils lui avaient décerné son diplôme de pré apprentie de viande à jouir.
Rêveusement elle se répétait "viande à jouir", quelle horreur que ce terme... mais elle en avait fini avec, puisqu'apparemment maintenant elle devait faire son préapprentissage d'esclave sexuelle.
Jeudi matin il lui avait dit de ne porter qu'un corset, des bas, et talons vertigineux et de l'accueillir en position d'attente dés son arrivée.
C’est ce qu'elle fit quand il ouvrit la porte elle était là accroupie, les jambes bien écartée les mains derrière la nuque.
Elle eut un moment de panique quand il ouvrit la porte: un couple était derrière lui. Il y avait cette femme qu’ils avaient rencontré au super marché et l'homme était un des deux qui avait participé à cette punition de chienne y'a quelques mois.
Voyant qu'elle était stupéfaite et ne réagissait pas, Il la prit par sa crinière et la poussa à terre pour qu'elle se prosterne.
Cela faisait si longtemps qu'il avait utilisé de la force sur elle.
En guise de bienvenue, Ils caressaient sa tête avec leur chaussures. Cela donnait l'impression qu'il s'en servait comme d'un paillasson.
Elle haïssait ce couple déjà. Surtout elle.
Restant dans cette position, elle les entendait rire discuter, Il leur proposait l'apéritif.
Ils avaient déposé des plats de traiteur sur la table et mettait la table eux mêmes.
Ils allaient trinquer quand Il demandait de se joindre à eux.
Elle se levait et marchait vers la table.
Ils étaient tout les trois assis à un bout de table avec les couverts mis et les paquets traiteur devant leurs assiettes.
Cela laissait plein de place libre pour les deux tiers restant de la table... elle ne comprenait pas jusqu'à ce qu'elle vit quelques un de ses jouets à l'autre bout de la table.
Il la fit monter sur la table, lui ordonnant de se mettre à genoux, le plus gros, le plus dur de ses godes dans l'anus. Il lui menottait les poignets derrière la nuque.
Il retourna s'assoir avec ses convives, et lui demandait de répondre à toutes question que ses invités lui poseront. Qu’ils étaient là pour juger son pré apprentissage de viande à jouir.
La première question posée par la femme était au sujet de ses pratiques avant de rencontrer celui que maintenant elle adorait.
Elle répondit que maintenant, elle voyait bien qu'elle était une salope déjà mais qu'elle l'ignorait. La femme insatisfaite de la réponse lui posa une pince sous un bras... et vociféra je veux des détails et aucune hésitation.
Alors elle commençait à débiter ses masturbations, ses rencontres furtives ou à long termes dans tous les détails.
La femme fit un sourire complice à l'homme, qui l'interrompit aussitôt en lui disant "en effet tu es une belle salope, alors comment tu as rencontré ton Maitre des plaisirs?"
Il la regardait d'un air amusé, elle avait l'impression qu'Il l'attendait au tournant. Elle ne savait pas par quoi commencer...
L'homme se leva et lui posa trois pinces supplémentaires, une sous l'autre bras, l'autre à l'intérieur de chacune de ses cuisses.
Il sortit ses seins du corset qu'il empoignait durement en disant qu'il voulait une réponse sans hésitation, détaillée et longue.
Il regardait l'homme la malmenait et il la regardait avec des yeux rieurs mais de façon appuyée. Il s'amusait et Il voulait que cela se passe ainsi.
Alors, elle commençait par dire qu'elle était en vacances, qu'il lavait approché progressivement, l'excitant sournoisement. Puis un jour il avait commencé à lui faire l'amour mais aussi beaucoup de plaisir pur sexe de plus en plus souvent. puis elle avait accepté qu'il soit Maitre de ses plaisirs... puis comment la faisant jouir un nombre incalculable de fois Elle avait été amenée à demandé grâce, ce qui lui avait valu d'être une chienne à la dure pendant un long week-end qui s'était terminé par la punition dont l'homme avait été témoin et acteur.
"Bah! dit l'homme Elle ne connait pas l'histoire racontes lui!"
Alors Elle racontait ses souffrances ces jours là, puis la punition finale.
La femme lui demandait ce qu'il s'était passé ensuite et comment elle en était arrivée à la rencontrer au super marché.
Elle avait un sourire presque sadique en disant cela. Cela lui fit monter les larmes aux yeux. Elle se rappelait sa honte et sa révolte. Mais elle n'hésitait pas cette fois à tout dire. Les désirs de sexe qui la tenaillait alors qu'Il la traitait en femme respectable, comment un soir assoiffée de sexe elle s'était prosternée en écartant ses fesses pour avoir du sexe et les premiers jours de viande à jouir. "Bien dit la femme, cela donne du sens à ton parcours, maintenant je veux tous les détails du quotidiens de ces deux mois de préapprentissages, viande à jouir!"
Elle allait l'humilier jusqu'au bout la garce!
Mais sans hésiter Elle racontait le rituel du lever, elle se levait avant lui buvait un jus d'orange et mangeait un yaourt, se douchait rapidement, préparait son petit déjeuner et allait à genoux le réveiller avec sa bouche, puis les exercices qu'elle faisait pendant son petit déjeuner. Au début il avait utilisé les poids pour transformer ses tétons mais comme cela devenait intenable il n'utilisait que les pompes au bout d'une semaine.
Elle détaillait chacun des exercices, et les lectures qu'elle devait faire pour améliorer ses pratiques sexuelles.
Elle détaillait aussi les confessions matinales qui étaient devenues une manière d'écrire son journal de viande à jouir.
Elle détaillait ses journée où excitée, elle avait du mal à remplir ses devoirs de maitresse de maison.
Et enfin le retour attendu le soir en position d'attente dans la tenue qu'il avait ordonné.
Elle racontait les repas qui devenaient un moment où elle prouvait son nom de chienne à jouir, les nombreuses fellations, la nourriture saucée dans le jus de son excitation, ou lui servant d'assiette...
Elle racontait aussi comment elle rampait pour supplier de jouir... et qu'au bout du compte il ne lui permettait de jouir uniquement de façon humiliante avec tout ce qui ce trouvait à porter de main, ustensiles de cuisine, pieds de chaise, décoration de pieds de lit, balais, autres outils comme le manche d'un marteau, légumes ou fruits, bouteilles divers... Elle avait finit par comprendre qu'elle était une viande à jouir et que de demander à jouir était une chose qu'elle ne devait pas faire. Une viande à jouir se réserve à faire jouir les autres, et donc devrait supplier à faire jouir ceux ou celles qu'Il désire qu'elle s'occupe. Malgré cela, elle continuait parfois à ramper pour supplier de jouir.
Sauf les deux dernières semaines. En punition de ne plus être suffisamment excitée après avoir joui, Il lui avait imposé une interdiction d'orgasme. Une interdiction totale de vouloir jouir et donc de supplier. Elle devait se contenter de ses exercices matinaux et de donner du plaisir. Elle en aurait pleuré de rage mais elle avait fini par trouver cela juste comme punition.
Cependant, au moindre de ses écarts, il la faisait se masturber sans se faire jouir. Menaçant que la punition pourrait durer des mois des années.
Bien dit la femme, elle a mérité qu'on lui pose toutes ces pinces à linge... L'homme et la femme posèrent des pinces sur tous les endroits sensibles de son corps sans qu'il y en ait sur son sexe ou sur ses seins... il devait y en avoir des centaines...
Quand ils eurent finit, Il la regardait amusé. Il souriait de la voir ainsi. Ah il est haïssable quand il la regarde ainsi. Pour la première fois du repas, elle entendit sa voix.
" Pendant le café, va sous la table et satisfait Madame en premier puis Monsieur avec ta bouche."
Personne ne l'aidait à se relever. Les mains menottées derrière la tête, elle avait du mal à garder l'équilibre. Le gode restait dans son anus ... mais très vite il glissait et tombait sur la table avec les excrément qui y était attaché.
Finalement elle put descendre de la table sous leurs regards amusés. Elle se glissa tant bien que mal sous la table, rampait plus ou moins vers la jupe.
Sous le jupe y'avais des bas.... ouf. Oh sa langue rencontrait du tissus sur son sexe. Avec les dents et la langue, elle dut l'écarter pour aller à son centre de jouissance. Quand elle commençait à le titiller de la langue elle refermait ses cuisses sur sa tête lui intimant de la faire jouir aussi longtemps qu'elle le désirait.
Elle fouillait avec sa langue pour trouver son clito l'aspirer le lécher le sucer... rentrait sa langue dans son vagin aussi profond et dure qu'elle pouvait revenait au clito... elle sentait qu'elle se cabrait mais ne desserrait pas ses jambes... les pinces lui faisait mal, lés bras aussi sa langue aussi... finalement elle eut un spasme incontrôlé, un cri rauque s'échappait du dessus de la table, les cuisses se relâchait.
Une main la tirait par les cheveux de dessous la table. Elle se trouvait à genou, la tête au niveau de sa ceinture et fit jaillir un sexe sur son visage... Alors elle commençait à activer sa bouche sur son membre déjà raidit.il prenait sa tête pour la faire activer, il voulait que sa bouche serve de viande à jouir.
Il regardait cela, s'amusait. Puis Pendant la fellation caressait son sexe et ses seins tendrement. Puis le reste de son corps faisant sauter une par une les pinces à linge. Elle haïssait ces moments là où il s'amusait de ses humiliations et en rajoutait.... mais elle ne pleurerait pas cette fois ci...
Chacune des pinces avait sautée mais il continuait à la caresser. Il prit le mini vibro et l'insérait alternativement dans l'anus et dans le vagin. Doucement au début puis de plus en plus rapidement, Elle était tellement excitée qu'elle devenait acharnée sur la fellation, Elle utilisait sa langue avec envie et goulûment... Elle n'aimait pas les fellation mais quand elle était excitée à ce point elle ne pouvait s'empêcher de vouloir sucer goulument.
Il continuait à l'exciter jusqu'à ce que l'homme la repoussa du pieds et lui éjaculait dessus. Elle était à terre souillée et excitée comme jamais. Tous les trois la caressait. La femme écartait ses cuisses, fait aller et venir ses doigts dans son anus. Viande à jouir montait vers l'orgasme... enfin depuis deux semaines... Elle ne put s'empêcher de crier, je vais jouir... la femme s'arrêta net titillant son clito avec sa langue. Elle remuait des hanches commençait à se cabrer, sentait venir l'orgasme à grand pas. La femme s'arrêta subitement.
Il continuait à la caresser, l’exciter, la frustrant de toute jouissance... non elle ne craquerait pas... Elle n'en pouvait plus, se sentait humiliée d'être si excitée, de se tordre de désir de jouir devant eux, frustrée d'un plaisir qu'elle méritait... non , elle ne céderait pas... mais ils continuait tour à tour... Elle était en sueur, elle sentait le sol trempé sous elle, elle se tortillait dans tous les sens... Elle rageait, elle les haïssait... et elle éclatait en sanglot de rage et de frustration les insultant... Il la regardait en souriant tous les trois: Ils avaient gagné. Alors elle éclatait en sanglot incontrôlable.
Il déversait de nourriture dans la flaque laissée par sa mouille et dit: bien tu peux manger maintenant.
Ce qu'elle fit.