Oiselle livre 2 chapitre 1

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Oiselle livre 2 chapitre 1
Oiselle livre 2 chapitre 1

Elle était dans son bain qu'il lui avait préparé avec des bougies. Après leur départ, il l'avait prise dans ses bras caressée et embrassée fougueusement enflammé de désir pour la femme qu'il aimait.
Cela lui faisait un bien incroyable après ce qu'elle avait subit la veille, cette nuit et toute cette journée de vendredi.
Après, toutes ces humiliations, ils lui avaient décerné son diplôme de pré apprentie de viande à jouir.
Rêveusement elle se répétait "viande à jouir", quelle horreur que ce terme... mais elle en avait fini avec, puisqu'apparemment maintenant elle devait faire son préapprentissage d'esclave sexuelle.
Jeudi matin il lui avait dit de ne porter qu'un corset, des bas, et talons vertigineux et de l'accueillir en position d'attente dés son arrivée.
C’est ce qu'elle fit quand il ouvrit la porte elle était là accroupie, les jambes bien écartée les mains derrière la nuque.
Elle eut un moment de panique quand il ouvrit la porte: un couple était derrière lui. Il y avait cette femme qu’ils avaient rencontré au super marché et l'homme était un des deux qui avait participé à cette punition de chienne y'a quelques mois.
Voyant qu'elle était stupéfaite et ne réagissait pas, Il la prit par sa crinière et la poussa à terre pour qu'elle se prosterne.
Cela faisait si longtemps qu'il avait utilisé de la force sur elle.
En guise de bienvenue, Ils caressaient sa tête avec leur chaussures. Cela donnait l'impression qu'il s'en servait comme d'un paillasson.
Elle haïssait ce couple déjà. Surtout elle.
Restant dans cette position, elle les entendait rire discuter, Il leur proposait l'apéritif.
Ils avaient déposé des plats de traiteur sur la table et mettait la table eux mêmes.
Ils allaient trinquer quand Il demandait de se joindre à eux.
Elle se levait et marchait vers la table.
Ils étaient tout les trois assis à un bout de table avec les couverts mis et les paquets traiteur devant leurs assiettes.
Cela laissait plein de place libre pour les deux tiers restant de la table... elle ne comprenait pas jusqu'à ce qu'elle vit quelques un de ses jouets à l'autre bout de la table.
Il la fit monter sur la table, lui ordonnant de se mettre à genoux, le plus gros, le plus dur de ses godes dans l'anus. Il lui menottait les poignets derrière la nuque.
Il retourna s'assoir avec ses convives, et lui demandait de répondre à toutes question que ses invités lui poseront. Qu’ils étaient là pour juger son pré apprentissage de viande à jouir.
La première question posée par la femme était au sujet de ses pratiques avant de rencontrer celui que maintenant elle adorait.
Elle répondit que maintenant, elle voyait bien qu'elle était une salope déjà mais qu'elle l'ignorait. La femme insatisfaite de la réponse lui posa une pince sous un bras... et vociféra je veux des détails et aucune hésitation.
Alors elle commençait à débiter ses masturbations, ses rencontres furtives ou à long termes dans tous les détails.
La femme fit un sourire complice à l'homme, qui l'interrompit aussitôt en lui disant "en effet tu es une belle salope, alors comment tu as rencontré ton Maitre des plaisirs?"
Il la regardait d'un air amusé, elle avait l'impression qu'Il l'attendait au tournant. Elle ne savait pas par quoi commencer...
L'homme se leva et lui posa trois pinces supplémentaires, une sous l'autre bras, l'autre à l'intérieur de chacune de ses cuisses.
Il sortit ses seins du corset qu'il empoignait durement en disant qu'il voulait une réponse sans hésitation, détaillée et longue.
Il regardait l'homme la malmenait et il la regardait avec des yeux rieurs mais de façon appuyée. Il s'amusait et Il voulait que cela se passe ainsi.
Alors, elle commençait par dire qu'elle était en vacances, qu'il lavait approché progressivement, l'excitant sournoisement. Puis un jour il avait commencé à lui faire l'amour mais aussi beaucoup de plaisir pur sexe de plus en plus souvent. puis elle avait accepté qu'il soit Maitre de ses plaisirs... puis comment la faisant jouir un nombre incalculable de fois Elle avait été amenée à demandé grâce, ce qui lui avait valu d'être une chienne à la dure pendant un long week-end qui s'était terminé par la punition dont l'homme avait été témoin et acteur.
"Bah! dit l'homme Elle ne connait pas l'histoire racontes lui!"
Alors Elle racontait ses souffrances ces jours là, puis la punition finale.
La femme lui demandait ce qu'il s'était passé ensuite et comment elle en était arrivée à la rencontrer au super marché.
Elle avait un sourire presque sadique en disant cela. Cela lui fit monter les larmes aux yeux. Elle se rappelait sa honte et sa révolte. Mais elle n'hésitait pas cette fois à tout dire. Les désirs de sexe qui la tenaillait alors qu'Il la traitait en femme respectable, comment un soir assoiffée de sexe elle s'était prosternée en écartant ses fesses pour avoir du sexe et les premiers jours de viande à jouir. "Bien dit la femme, cela donne du sens à ton parcours, maintenant je veux tous les détails du quotidiens de ces deux mois de préapprentissages, viande à jouir!"
Elle allait l'humilier jusqu'au bout la garce!
Mais sans hésiter Elle racontait le rituel du lever, elle se levait avant lui buvait un jus d'orange et mangeait un yaourt, se douchait rapidement, préparait son petit déjeuner et allait à genoux le réveiller avec sa bouche, puis les exercices qu'elle faisait pendant son petit déjeuner. Au début il avait utilisé les poids pour transformer ses tétons mais comme cela devenait intenable il n'utilisait que les pompes au bout d'une semaine.
Elle détaillait chacun des exercices, et les lectures qu'elle devait faire pour améliorer ses pratiques sexuelles.
Elle détaillait aussi les confessions matinales qui étaient devenues une manière d'écrire son journal de viande à jouir.
Elle détaillait ses journée où excitée, elle avait du mal à remplir ses devoirs de maitresse de maison.
Et enfin le retour attendu le soir en position d'attente dans la tenue qu'il avait ordonné.
Elle racontait les repas qui devenaient un moment où elle prouvait son nom de chienne à jouir, les nombreuses fellations, la nourriture saucée dans le jus de son excitation, ou lui servant d'assiette...
Elle racontait aussi comment elle rampait pour supplier de jouir... et qu'au bout du compte il ne lui permettait de jouir uniquement de façon humiliante avec tout ce qui ce trouvait à porter de main, ustensiles de cuisine, pieds de chaise, décoration de pieds de lit, balais, autres outils comme le manche d'un marteau, légumes ou fruits, bouteilles divers... Elle avait finit par comprendre qu'elle était une viande à jouir et que de demander à jouir était une chose qu'elle ne devait pas faire. Une viande à jouir se réserve à faire jouir les autres, et donc devrait supplier à faire jouir ceux ou celles qu'Il désire qu'elle s'occupe. Malgré cela, elle continuait parfois à ramper pour supplier de jouir.
Sauf les deux dernières semaines. En punition de ne plus être suffisamment excitée après avoir joui, Il lui avait imposé une interdiction d'orgasme. Une interdiction totale de vouloir jouir et donc de supplier. Elle devait se contenter de ses exercices matinaux et de donner du plaisir. Elle en aurait pleuré de rage mais elle avait fini par trouver cela juste comme punition.
Cependant, au moindre de ses écarts, il la faisait se masturber sans se faire jouir. Menaçant que la punition pourrait durer des mois des années.
Bien dit la femme, elle a mérité qu'on lui pose toutes ces pinces à linge... L'homme et la femme posèrent des pinces sur tous les endroits sensibles de son corps sans qu'il y en ait sur son sexe ou sur ses seins... il devait y en avoir des centaines...
Quand ils eurent finit, Il la regardait amusé. Il souriait de la voir ainsi. Ah il est haïssable quand il la regarde ainsi. Pour la première fois du repas, elle entendit sa voix.
" Pendant le café, va sous la table et satisfait Madame en premier puis Monsieur avec ta bouche."
Personne ne l'aidait à se relever. Les mains menottées derrière la tête, elle avait du mal à garder l'équilibre. Le gode restait dans son anus ... mais très vite il glissait et tombait sur la table avec les excrément qui y était attaché.
Finalement elle put descendre de la table sous leurs regards amusés. Elle se glissa tant bien que mal sous la table, rampait plus ou moins vers la jupe.
Sous le jupe y'avais des bas.... ouf. Oh sa langue rencontrait du tissus sur son sexe. Avec les dents et la langue, elle dut l'écarter pour aller à son centre de jouissance. Quand elle commençait à le titiller de la langue elle refermait ses cuisses sur sa tête lui intimant de la faire jouir aussi longtemps qu'elle le désirait.
Elle fouillait avec sa langue pour trouver son clito l'aspirer le lécher le sucer... rentrait sa langue dans son vagin aussi profond et dure qu'elle pouvait revenait au clito... elle sentait qu'elle se cabrait mais ne desserrait pas ses jambes... les pinces lui faisait mal, lés bras aussi sa langue aussi... finalement elle eut un spasme incontrôlé, un cri rauque s'échappait du dessus de la table, les cuisses se relâchait.
Une main la tirait par les cheveux de dessous la table. Elle se trouvait à genou, la tête au niveau de sa ceinture et fit jaillir un sexe sur son visage... Alors elle commençait à activer sa bouche sur son membre déjà raidit.il prenait sa tête pour la faire activer, il voulait que sa bouche serve de viande à jouir.
Il regardait cela, s'amusait. Puis Pendant la fellation caressait son sexe et ses seins tendrement. Puis le reste de son corps faisant sauter une par une les pinces à linge. Elle haïssait ces moments là où il s'amusait de ses humiliations et en rajoutait.... mais elle ne pleurerait pas cette fois ci...
Chacune des pinces avait sautée mais il continuait à la caresser. Il prit le mini vibro et l'insérait alternativement dans l'anus et dans le vagin. Doucement au début puis de plus en plus rapidement, Elle était tellement excitée qu'elle devenait acharnée sur la fellation, Elle utilisait sa langue avec envie et goulûment... Elle n'aimait pas les fellation mais quand elle était excitée à ce point elle ne pouvait s'empêcher de vouloir sucer goulument.
Il continuait à l'exciter jusqu'à ce que l'homme la repoussa du pieds et lui éjaculait dessus. Elle était à terre souillée et excitée comme jamais. Tous les trois la caressait. La femme écartait ses cuisses, fait aller et venir ses doigts dans son anus. Viande à jouir montait vers l'orgasme... enfin depuis deux semaines... Elle ne put s'empêcher de crier, je vais jouir... la femme s'arrêta net titillant son clito avec sa langue. Elle remuait des hanches commençait à se cabrer, sentait venir l'orgasme à grand pas. La femme s'arrêta subitement.
Il continuait à la caresser, l’exciter, la frustrant de toute jouissance... non elle ne craquerait pas... Elle n'en pouvait plus, se sentait humiliée d'être si excitée, de se tordre de désir de jouir devant eux, frustrée d'un plaisir qu'elle méritait... non , elle ne céderait pas... mais ils continuait tour à tour... Elle était en sueur, elle sentait le sol trempé sous elle, elle se tortillait dans tous les sens... Elle rageait, elle les haïssait... et elle éclatait en sanglot de rage et de frustration les insultant... Il la regardait en souriant tous les trois: Ils avaient gagné. Alors elle éclatait en sanglot incontrôlable.
Il déversait de nourriture dans la flaque laissée par sa mouille et dit: bien tu peux manger maintenant.

Ce qu'elle fit.
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Oiselle livre 2 chapitre 2

Elle rêvassait dans son bain qui tiédissait et dit à voix haute que son bain tiédissait et qu'elle aurait besoin de remettre de l'eau chaude...
Voyons son geste, il la prit par les épaules lui même rajoutait l'eau chaude en remuant l'eau pour que la chaleur devienne homogène. Il la regardait pensivement et se souvient combien Elle l'avait rempli de joie et de fierté quand elle avait craqué et pleuré de frustration d'orgasme. Son amour et sa tendresse s'était renforcé... Il avait choisi l'amour de sa vie et elle dépassait ses espérances... sa première barrière à la soumission avait volé en éclat. Elle avait abandonné tout contrôle sur son plaisir.
Il profitait de cette victoire, mais savait qu'elle devait franchir une autre barrière encore plus solide d'ici le départ du couple.
Oiselle était ravie de cette attention, cela lui permettait de penser et de se détendre...
Après la confession, elle avait mangé à même le sol... presque goulument sous leur regard... à ce moment là elle ignorait ce qui l'attendait... mais son séant souffrait de la confession, son corps était courbaturé par la position et elle était dégoulinante de désir de jouir et souillée de leur jouissance...
Quand elle eut finit, elle levait la tête et entendit cette femme dire et si on la faisait jouir? La femme renversa une chaise et mis un préservatif sur l'un des pieds... "Vas-y viande à jouir satisfais-toi"

La femme se blottit contre Monsieur et le caressait, et Il répondait à ses avances. Oiselle les voyait, cette garce voulait lui donner du plaisir et Lui en donnait... C'était son rôle à elle, viande à jouir! viande à jouir allait et venait un peu automatiquement sur le pied de chaise se perdant dans ses pensées, sa colère et sa frustration. Puis elle eut une furieuse envie de jouir et se déchainait sur le pied de chaise se donnant des orgasmes multiples.
L'homme introduit le manche d'un outil dans son anus et le faisait aller et venir, cela décupla son envie de jouir et viande à jouir bougeait don corps frénétiquement sur le pied de la chaise, sentant son anus jouir encore et encore, son vagin avoir des spasmes qui la faisait hurler de plaisir...
Elle ne savait plus trop si elle se faisait jouir par dépit de voir cette femme sucer Monsieur, SON Monsieur à viande à jouir, oui de Le voir la pénétrer et la faire jouir. Viande à jouir enrageait de n'avoir pas eu son pénis pour la faire jouir et voilà qu'une autre en profitait. Cette rage la faisait aller et venir et jouir encore et encore.
Finalement, un violant orgasme la satisfaisait et avait libéré toute sa rage... Elle se retira de la chaise et se mis en position d'attente.
Monsieur et la femme la regardaient en souriant, puis il embrassait le corps de cette femme descendant sa bouche entre ses cuisses et y restait un long moment jusqu'à ce qu'elle jouisse. Il lui donnait ce que viande à jouir avait droit. Elle se sentait pitoyable, il semblait qu'elle ne méritait pas son intérêt, qu'elle ne méritait pas de jouir de lui...
Monsieur libérait ses poignets qu'elle avait toujours menottés derrière la nuque.
La femme lui tendit un balai et lui dit: "ta dernière chance de jouir et ce sera qu'avec ton clito viande à jouir". Un peu automatiquement, viande à jouir chevauchait le manche à balai et remuait des hanches. Elle s'apercevait qu'elle était excitée et en avait envie, une envie animale... les voir jouir l'avait excitée? Elle n'eut pas le temps de trouver la réponse ses hanches se démenait sur le manche...Ils la regardaient se donner du plaisir en chaine, commentaient, mais viande à jouir ne les entendait pas, elle avait besoin de jouir. Le spasme final arrivait... elle était rassasiée... c'était trop tôt maintenant je n'ais plus le droit de jouir!
L'homme dit: " et bien j'ai envie d'avoir du plaisir moi aussi"
Il sorti son sexe et forçait la bouche de viande à jouir... Cette femme profitait de sortir celui de Monsieur, et de le masturber. viande à jouir aurait pu le faire, même en suçant, elle rageait et suçait d'autant plus ardemment le sexe de l'homme.
L’homme se retirait de sa bouche, reculait d'un pas et éjaculait sur ses seins. La femme fit éjaculer Monsieur dans ses cheveux. Elle était humiliée, viande à jouir n'avait pas causé les éjaculations mais les avait reçues...
Ils allaient s'assoir sur le sofa et Monsieur lui dit: " caresse toi debout devant nous viande à jouir, mais ne touches en aucune façon ton sexe!"
Debout, jambes écartée elle caressait son corps, étalant par la même occasion le sperme qu'ils avaient si généreusement donné.
Au début, elle se caressait pas obéissance, puis les sensations surgissant elle se caressait sensuellement pour se donner encore plus de sensations, plus de désirs. Elle prit même ses tétons en bouche, les léchant, les suçant, les mordillant... Elle commençait à dégouliner elle sentait l'humidité couler sur ses cuisses. Cela faisait un bien fou de sentir ses mains sur son corps... ah ses mains à Lui depuis combien de temps n'ont-elles été tendre avec elle?
La femme se leva presque brusquement en disant qu'elle prendrait bien un repos réparateur... les eux autres acquiescèrent. Et s'adressant à viande à jouir: " viande à jouir arrête sinon tu vas jouir, et d'ailleurs il faut que tu nettoies toutes les saloperies que tu as faite et après tu pourras te coucher.
Elle s'aperçut qu'il était bien tard, et que le désordre et la saleté était en effet innommable dans sa salle à manger si bien tenue d'habitude.
viande à jouir se mit à l'ouvrage.
Quand elle eu finit, elle allait dans la chambre conjugale, mais Monsieur lui dit que cette nuit viande à jouir dormirait dans la chambre d'amis.
Il la privait de lui! Elle entrait dans la chambre d'amis et se mis en position d'attente. Le couple était au lit. Lui montrait la porte du placard. Elle ouvrit la porte et vis sur le sol du placard un matelas une couette et un oreiller. Donc elle dormirait là. Elle s'allongeait et commençait à se détendre quand les portes se refermaient et elle entendit le déclic de la serrure.
Ils l'enfermaient! Puis elle entendit en sourdine un souffle court, des gémissements... c'était sa voix ... Il avait enregistré ses orgasmes et maintenant elle l'entendait en boucle. Réussira- t- elle à dormir...
Elle était épuisée, endolorie et s'endormit.
*****olo Couple
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*happy*
*********68_F Couple
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Vivement la suite... *g*
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Oiselle livre 2 chapitre 3

La nuit fut difficile: elle se réveillait, s'entendait jouir indéfiniment son intimité trempée. L'écoute de son propre orgasme l'excitait au plus haut point, lui donnait envie de jouir. Puis elle se concentrait sur son besoin de dormir... c'était épuisant cotonneux... un déclic de serrure, un peu de lumière, c'était elle.
La femme l'attirait un peut en dehors du placard, s'agenouillait au dessus d'elle au niveau du buste et dit: "fist-moi viande à jouir!"

Viande à jouir vit son intimité ruisselante et son clitoris qui ressortait. Elle mit un doigt entre les lèvres de la femme et le fit remonter vers le clito. Elle enfonçait soigneusement 3 doigts dans son vagin qu'elle faisait aller et venir rapidement tout en caressant le clito de l'autre. La femme montait rapidement, elle profitait d'y mettre un 4éme doigt ce qui la fit se cabrer et jouir. Les muscles avait une telle force qu’il faillit éjecter ses doigts mais viande à jouir les maintenait fortement à l'intérieur.
Elle continuait à caresser le clito, le vagin se relâchait, elle en profitait pour faire quelques aller et retour puis ajoutait son pouce faisant des petit aller et retour rapide. La femme montait rapidement encore et viande à jouir essayai d'écarter un peu ses doigts pour l'ouvrir et qu'au moment de son orgasme elle puisse enfoncer un peu plus sa main.
L'orgasme vint la main entrait presque mais le poignet ne pouvait pas encore être enserré par son vagin. Elle laissait la femme jouir tout en laissant sa main qui subissait les pressions de son orgasme.
Enfin la femme relâchait ses muscles, Viande à jouir tournait légèrement son poing de droite à gauche, travaillant toujours le clito pour la lubrification naturelle. Les muscle se relâchait elle sentit la femme pousser comme un appel à être rempli alors elle enfonçait sa main jusqu'au poignet: son poing était en elle, elle le tournait, le faisait aller et venir sans le sortir et dés que la femme jouissait elle le maintenait bien à l'entrée du vagin pour qu'il reste ouvert.
Finalement son poing entrait en sortait, il était trempée, sa peau commençait à rider. Elle fit venir très rapidement la main la sortant, la rentrant et au moment de la montait d'orgasme l'enfonçait profondément, La femme compressait ses muscles à lui casser le poignet, une force telle que la main sortit d'elle même et qu'un liquide sortit en jet avec sa main.

La femme se relavait en disant:" bien tu peux te rendormir maintenant."
Viande à jouir avait été inondée, elle eut du mal à s'endormir dans cette humidité.

Un autre déclic se fit entendre bien plus tard... Elle se sentait souillée... Elle n'avait pas pensée à se doucher hier... L'homme lui intima de le suivre, il faisait déjà jour. Il la conduit dans la salle de bain. La douchait à l'eau tiède presque froide et sans qu'elle se sèche lui demandait de la suivre.
Il la conduisit dans sa propre chambre. Il ouvrit la porte, la femme était nue sur le lit avec Monsieur, l'homme les rejoignit. Monsieur avait les yeux rieurs en la regardant et dit " Excite ce couple, prépare les à jouir et me faire jouir.
Tour à tour, elle utilisait sa bouche et ses mains sur leur sexe et le reste du corps la femme commençait à se cabrait, elle repoussait viande à jouir du pied en disant: "Suffit viande à jouir, ce sont eux qui me font jouir! Toi tu nous regardes!"
La garce pensait viande à jouir.
La femme prit le sexe de Monsieur en bouche et l'homme la prit en levrette. Elle faisait jouir Monsieur, l'excitait et le faisait jouir encore et elle jouissait de lui. Elle en aurait pleuré, crier de rage. Cela faisait trop longtemps que Monsieur ne lui avait pas fait cet honneur et c'est elle qui en profitait.
viande à jouir en était là dans ses pensées quand elle réalisait que son bain était redevenu froid, elle se leva dans la baignoire pensive... Il vint vers elle, fit évacuer l'eau du bain, et la rinçait avec une douche d'eau bien chaude.
Cela lui rappelait le moment où il lui enlevé le corset après l'avoir démenotté.
Elle frissonnait à son contact. Il adorait ces moments où il sentait un abandon naissant... incontrôlé. Il avait apprécié d'autant plus cet instant jeudi soir, qu'elle venait de perdre tout contrôle sur ses désirs et ses plaisirs.
Il aimait sa femme, il était follement amoureux de la soumise qui se révélait en elle.
Il l'essuyait délicatement avec une serviette chaude et douce.
Il se rappelait son arrivée dans la chambre conjugale et son air effaré et sa rage contenue... Il avait espéré qu'elle craquerait à ce moment là mais non ce fut beaucoup plus tard... Si elle savait que la seule chose qui l'excitait et le faisait jouir c'était de voir son état et sa docilité à ce moment là. Non pas que la femme ne savait pas y faire mais ce n'est pas elle qu'il désirait, c'était sa soumise. Il savait que viande à jouir avait mal et il regrettait que cela lui fasse mal, mais fallait qu'elle passe par là pour lui appartenir et s'abandonner complètement. Lui même avait horreur de ce pluralisme sexuel, il préférait être seul avec elle qui était en train de se modeler soumise.

Elle sentait toute sa tendresse, tout son amour quand il l'essuyait, comme si il lui demandait pardon. Cela lui procurait une douce chaleur au cœur.
Il lui dit qu’ils iraient manger dans un grand restaurant luxueux, il la voulait magnifiquement femme. Donc elle allait se vêtir pour sortir en amoureux et être sa reine ce soir.
Elle cherchait dans sa penderie ce qu'il convenait de mettre quand elle se rappelait son réveil ce vendredi.

Après qu'elle eut finit de les regarder forniquer, ils lui demandèrent de préparer leur petit déjeuner et de se préparer pour des exercices et des examens approfondit. C’était l'homme et la femme qui le lui ordonnaient, Monsieur opinait du chef et avait toujours ce regard posé sur elle.
Elle préparait la table du petit déjeuner avec viennoiseries, jus de fruits pressés, yaourt et divers laitages, divers pains et céréales, les boissons chaudes étaient prête sur un réchauffe plat.
Elle se vêtit comme à son habitude et se mit en position d'attente pour les invités.
Ils arrivèrent juste quand elle se mettait en position, le gode dans l'anus.

Ils lui posèrent des pinces à poids non seulement sur les tétons mais sur les lèvres intimes et ils lui demandaient de faire ses exercices physiques avec les godes en double pénétration pendant leur petit déjeuner... 120 était trop peu 300 aller et retour leur paraissait un chiffre raisonnable.
Ce matin tout était pénible et ces deux pervers en rajoutait, elle ne tenait presque pas de bout déjà, elle était très excitée mais trop épuisée pour avoir même envie de jouir et leur orgie commençait à la dégouter... elle fit les exercices en comptant à haute voix, elle n'avait pas à se retenir de jouir, elle n'en avait pas envie. Cela ne l'empêchait pas d'être frénétique sur les godes, elle ne comprenait pas ce phénomène.
Elle finissait les exercices qu'ils se levaient aussi, leur petit déjeuner était déjà finit.

Des mètres et des balances était sur la table des speculums aussi.
Ils mesuraient tout son poids sa hauteurs sa taille ses cuisses ses tétons, ses lèvres intimes, la profondeur de ses orifices le diamètre de ses orifices. Elle se retrouvait à quatre pattes sur la table avec un speculum anal et un vaginal. Et il les écartait ensemble jusqu'à ce qu'elle crie. Quand elle criait il dévissait juste un peu laissant les orifices ouverts béant se reposer puis continuait ainsi jusqu'à ce quelle hurlait grâce. Ils la manipulèrent comme une poupée et la mire en position de chandelle. Elle entendit un cliquetis et il lui enfilait une longue chaine avec de gros maillon dans son vagin, cela pesait et était très douloureux. Il ne s'arrêtait pas avant que le vagin soit rempli par la chaine. Quand ce fut fini ils dévissèrent le spéculum et l'ôtèrent.
L'anus écartelé, le vagin empli de chaines, elle devait marcher à quatre pattes ainsi
Elle sentait ses excrément s’échapper, la chaines pesait, les maillons bougeaient et pinçait la chair de son vagin... puis ils la faire ramper 20 mètres, ce que viande à jouir fit. Elle obéissait, il lui semblait qu'elle tombait de plus en plus bas, que plus rien ne valait son refus, Elle acceptait tout ce qui faisait d'elle une chose pire encore, innommable et sans nom.
Les 20 mètres parcourus ils l'autorisaient à aller se toiletter. Ce qu'elle fit avec soulagement même si c'était retrouver un peu de dignité, elle n'en avait que faire maintenant, tellement elle se sentait vaincue et un être négligeable
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Oiselle livre 2 chapitre 4

Oiselle était encore debout, tenant les portes de sa garde robe ouverte, regardant ses tenues mais ne les voyait pas.
Le bain lui avait fait un bien fou... sa tendresse semblait la purifier.
La douche qu'elle avait prise devant leur regards, n'avait rien effacé des souillures de la veille et de la nuit et du petit déjeuner...
Il lui semblait que se nettoyer, se frotter n'effaçait rien et qu'au contraire leur regards disaient frotte viande à jouir, mais c'est en toi... et son regard implacable à Lui, regard qu'elle avait du mal à décrypter à la fois moqueur et la scrutant au fond d'elle même...

Son corps était propre et elle dut vaquer aux taches ménagères et leur préparer le déjeuner.
Elle espérait pouvoir penser faire le point pendant ces activités dont elle connaissait les gestes.
Elle devait rester nue, et avant de commencer, la femme se jetait sur ses seins, les malaxait, les suçait, les tétait, les mordillait les étendait avec ses dents. La femme posait des pompes sur ses tétons qu'elle devrait garder jusqu'à nouvel ordre. La femme lui fit écarter les jambes et fit de même avec son clito, puis fit aller 4 doigts dans son intimité la portant au bord de l'orgasme... et considérant que viande à jouir maintenant était prête à faire ses taches quotidiennes, elle lui intimait de dégager et de s'atteler à la tache sans les déranger.

viande à jouir était à nouveau dans l'état second et faisait les gestes quotidiens comme si ce n'était pas elle qui les faisait... elle ne pensait plus elle essayait de reprendre le contrôle de son corps et de ses pensées mais n'y arrivait pas.
Quand elle passait au travers du salon, elle s'aperçut qu’ils regardaient des vidéos assis sur le canapé et faisait des commentaires salaces. Ce n'est qu'en préparant le repas dans la cuisine, que le son avait été monté et elle s'entendait, elle, viande à jouir: Il regardait les vidéos faites lors d’exercices, de geste intimes, de masturbations humiliantes... Elle entendait tout, les images de ses frasques surgissaient en masse... Un mélange de sentiments l'envahissait la colère , la honte, la rage, une envie de pleurer et un désir fou de se masturber de se faire jouir, de sucer... son excitation était portée à son comble.
Viande à jouir continuait à faire ce qu'elle devait faire. Leur séance vidéo continuait pendant le repas... quand elle servait les plat, elle s'apercevait sur l'écran... se voir ...s'entendre... l'excitait au plus haut point même si une honte l'envahissait ...

Par chance son rôle était d'être sous la table pour utiliser sa bouche sur le couple à tour de rôle...
Elle n'était plus que viande à jouir, elle le sentait dans tout son corps dans toutes ses tripes dans toute sa volonté... tout son corps tous ses désirs tendait à donner du plaisir et elle aimait cela, elle était faite pour cela... rien ne pourra plus effacer cela...
Son repas se passait entre servir les plats et sous la table... quelques bouchées donnée sous la nappe la sustentaient. Il lui semblait que Monsieur l'ignorait mais son regard disait autre chose...
Elle était vraiment troublée, se sentait abandonnée par Monsieur à qui elle sacrifiait tant... Elle ne l'avait pas fait jouir depuis l'arrivée de ce couple, il n'a désiré aucune de ses jouissances...
Cela faisait mal, la révoltait.

Le repas finit, viande à jouir servit de table basse pour le café et ensuite de repose pied.
Elle était étendue sur le sol un peu comme un paillasson ou un tapis, leur pieds la caressait parfois... La femme utilisait la pointe de sa chaussure pour caresser son clito pénétrer entre ses lèvres...
"Qui es-tu viande à jouir?
Je suis de la viande à jouir
Répète le sans t'arrêter et plus fort que cela!"
Du bout de la chaussure elle continuait de stimuler viande qui commençait à onduler, gémir en criant "je suis de la viande à jouir». Elle le faisait avec conviction avec envie, avec désir...
La femme s'asseyait en disant "arrête de crier, on a compris."

Et la femme commençait à tripoter le sexe de Monsieur et Monsieur la caressait... viande à jouir enrageait et comme un cri du cœur, elle suppliait:
"Monsieur, laissez moi la préparer et vous préparer pour que vous jouissiez ensemble, pitié Monsieur, permettait le moi!"
Monsieur eut un sourire et opinât du chef.
Sa main, sa langue allait avidement d'un sexe à l'autre, s'un corps à l'autre. Quand Monsieur pénétrait la femme, elle continuait à stimuler l'envie... la femme la repoussa gentiment, elle vit Monsieur la regarder, son regard était heureux, tendre presque amoureux et il jouit.
À ce moment là une chaleur et un bien être envahit le corps de viande à jouir, un feu d'artifice dans ses yeux et dans sa tête, une immense joie, une satisfaction intense.

Devant son armoire oiselle sentait encore ce bien être, se le rappeler était si bon... ce qui suivit fut étonnant , elle dut donner du sexe oral à tout les trois , l'homme l'avait sodomisé et éjaculé sur les fesses , la femme lui claque les fesses et lui dit: "Bravo tu as mérité ton diplôme de viande à jouir!"
Elle avait mis un papier sur le sperme de l'homme et le papier restait collé jusqu'à leur départ.
Les dernières 24 heures avait été très dures mais cette sensation avait tout effacé lui avait tout redonné...
Finalement, oiselle choisit un tailleur en cuir avec des dessous rouges, un petit haut en soie rouge et s'habillait.
Il la contemplait s'habiller, il admirait cette femme. L'instant magique qui avait eu lieu avant la remise du diplôme était incroyable. Elle n'avait pas pleuré pas geint pas de colère... Tout son être avait demandé de servir ses plaisirs, et tout son être s'était illuminé de sa jouissance. Et son amour pour elle avait pris une autre dimension et leur amour avait pris une autre dimension
*****olo Couple
11 Contribution
Une belle fin
Faudrait qu’elle devienne dominatrice envers lui pour la suite 😌
*****exe Femme
40 Contribution
Auteurs de sujet 
en fait la fin est différente dans le livre 4
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