Ôiselle (chap 1, 1ére partie)
elle était là, accroupie par force de menottes aux chevilles reliées par des chaînettes à son corset seins ouverts... les mains pendantes presque sous le menton car menottée à son collier...Cela faisait depuis vendredi qu'elle vivait dans cette niche d'1m50 de cotés avec un matelas sur son sol... 3 jours qu'elle mangeait et buvait dans des gamelles à même le sol... 3 jours qu'elle faisait ses besoin dans une litière ou dans le carré d'ortie du jardin...3 jours qu'elle était savonnée rigoureusement avec des gants de massages et rincée au jet d'eau... 3 jours qu'elle était obligée d'aboyer pour se faire comprendre.. 3 jours qu'elle ne connait que les caresses de la chaussure de son Maître sur sa chatte comme marque d'affection...
3 jours... vendredi...samedi... dimanche... et aujourd'hui lundi, cela continue et se durcit.
aujourd'hui lundi la voilà en train de faire la belle avec des pinces à poids sur les tétons... soit disant qu'ils ne pointent pas assez... il a aussi resserré le corset... être accroupie avec des escarpins talons aiguilles très haut est très pénible pour les pieds... je préfère quand je suis à 4 pattes cela est moins pénible...
Comment en était - elle arrivé là?
il lui avait fait l'amour souvent ... elle était très demandeuse... alors pour la combler il la masturbait la fistait... puis lui avait demandé si elle voulait qu'il soit Maître de ses plaisirs... Elle avait accepté volontiers... et alors elle connu une frénésie sexuelle: à toute heure du jour ou de la nuit, elle devait se masturber se goder, se faire sodomiser, pénétrer, sucer, masturber... Elle ne comptait plus le nombre de fois par jour... au bout de plusieurs semaines à ce rythme, elle devenait saturée au point qu'elle a refusé de se masturber une fois de plus...
C'est alors qu'il lui demandât si elle ne désirait plus avoir de sexe... elle répondit qu'en effet elle prendrait bien du repos à ce sujet.
Il accepta.
le lendemain au réveil il la caressa tendrement , puis lui prépare un bain et la lava.
puis il l’habillât:
il sortit lui mit des sous-vêtements rigide qu'il fermait avec des cadenas... et il lui murmurait au creux de l'oreille tu voulais faire une pause sexuelle, tu vois j'accomplis ton désir... et il partit pour la journée de travail...
à son arrivée le soir, elle était au bord des larmes.
la voyant dans tous ses états, il lui demandait ce qu'il se passait.
Elle fondit en larmes et dit j'ai trop envie et j'ai trop mal à ne pas pouvoir me satisfaire...
Ce que tu me dis est qu'en fait tu es une chienne en chaleur... n'est-ce pas?
oui dit-elle
Alors dis le moi de façon haut et claire
Je suis une chienne en chaleur
encore
je suis une chienne en chaleur
bien
il lui donna un baiser fougueux, ce qui calmât ses larmes.
attends moi ici lui dit-il
il revint avec un immense cube avec un toit et un sac emplit...
il fixa la niche au mur avec des vis.
y mis un matelas dedans.
il vint vers elle lui enlèves les sous vêtements rigides et cadenassés, lui mis un collier, une chaîne en guise de laisse, des menottes aux poignet et aux chevilles... lui fit enfiler un corset et des bas... lui fait mettre des escarpin à talons aiguilles très haut... il cadenassât les menottes de ses poignets à son collier, la fit se mettre à 4 pattes et cadenassa la chaîne des menottes des chevilles au corset... et lui dit d'avancer... il l'amener à la niche à laquelle il cadenassât sa laisse.
Il sortit du sac deux gamelles qu'il remplit d'eau et de biscuits respectivement... il prit une grande litière en plastique qu'il remplit de sciure de bois...et lui dit:
bien jusqu'à nouvel ordre c'est ta vie...
Elle commença à protester... il se pencha sur elle et lui dit une chienne ne parle pas elle aboie... si un autre son qu'un aboiement sort de ta bouche tu aura un bâillon et une punition... alors elle aboyât en signe d'assentiment et de résignation.
bien ma chienne...
et la voilà trois jours après en train de faire la belle avec des tétons qui se déforment sous les poids.
Cela faisait au moins un quart d'heure qu'elle était là, faisant la belle avec ces poids qui l'empêchait de penser...
Elle sentit ses doigts passer sur son sexe. Elle ne l'avait pas entendu venir perdue dans ses pensées qu'elle était.
Premier geste tendre depuis 3 jours.
geste lent mais bref... il mit sa main devant son visage et lui ordonna de la regarder et la gifla tellement fort qu'elle fut déséquilibrée, tomba à la renverse et cria "aille ! cela va la tête!"
Alors il la pris par les cheveux pour qu'elle fasse la belle,, les poids se balançant amplifiait la douleur.
une fois qu'elle fut en position, en train de faire la belle, il prit un bâillon boule et le lui mit, très vite sa bave dégoulinait sur ses seins.
Ses premiers mots résonnèrent comme un coup de fouet: "je t'avais prévenue, tu sera bâillonnée et punie.
il avait en main ce martinet avec de longue lanière en cuir. c'est la première fois depuis qu'elle le connait qu'il la châtie physiquement. jusque là il avait plutôt joué avec des privation d'orgasmes et des mises au coin dans des positions difficile à tenir.
les lanière caressaient son corps doucement, presque tendrement. honte à elle, elle sent son excitation monter...
Le premier coup la surprit la déstabilisant presque.il lui fit venir les larmes aux yeux.
les coup se multiplièrent en nombre et en force: tour à tour les seins, les fesses, le sexe les cuisses...
Elle les supportait, elle commençait à aimer cette sensation brève de chacun des coups... cela l'excitait presque. Il s'arrêta net.
sans un mot il enlevait ses menottes et son bâillon.
"à 4 pattes chienne, et remercies ton Maître par deux aboiements à chaque coup."
Elle aurait tant aimé pouvoir se dégourdir, elle était presque ankylosée et pouvait difficilement changer de position. Il la pris par les cheveux pour qu'elle se mette plus vite à 4 pattes.
il caressât son corps longuement, son excitation devenait de plus en plus intense. et le premier coup tombât, cela la surprit tellement qu'elle en oubliât d'aboyer.
le verdict tomba comme un couperet: " chaque aboiement manqué double la punition!"
wouaf! wouaf!
smash!
wouaf! wouaf!
Finalement les coups s’arrêtèrent. Elle n'en pouvait plus. Elle a compris la leçon.
Elle sentit quelque chose s’enfoncer dans son anus et lui caresser l’arrière de ses cuisses. Il caressa ses fesses en lui disant:
"Bien une vrai chienne a une queue qu'elle remue quand elle est contente, j’espère qu'à partir de maintenant tu vas te comporter en vrai chienne sans faillir.
-wouaf! wouaf!" et remuât ses fesses pour remuer sa queue de contentement.
Elle se promit d'être la meilleure chienne qu'il puisse avoir car c'était ce qu'il désirait.
Il caressait ses seins. il enlevait les pinces de ses tétons et les caressait longuement... presque rêveusement.