Ôiselle (chap 1, 1ére partie)

*****exe Femme
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Ôiselle (chap 1, 1ére partie)
elle était là, accroupie par force de menottes aux chevilles reliées par des chaînettes à son corset seins ouverts... les mains pendantes presque sous le menton car menottée à son collier...
Cela faisait depuis vendredi qu'elle vivait dans cette niche d'1m50 de cotés avec un matelas sur son sol... 3 jours qu'elle mangeait et buvait dans des gamelles à même le sol... 3 jours qu'elle faisait ses besoin dans une litière ou dans le carré d'ortie du jardin...3 jours qu'elle était savonnée rigoureusement avec des gants de massages et rincée au jet d'eau... 3 jours qu'elle était obligée d'aboyer pour se faire comprendre.. 3 jours qu'elle ne connait que les caresses de la chaussure de son Maître sur sa chatte comme marque d'affection...
3 jours... vendredi...samedi... dimanche... et aujourd'hui lundi, cela continue et se durcit.
aujourd'hui lundi la voilà en train de faire la belle avec des pinces à poids sur les tétons... soit disant qu'ils ne pointent pas assez... il a aussi resserré le corset... être accroupie avec des escarpins talons aiguilles très haut est très pénible pour les pieds... je préfère quand je suis à 4 pattes cela est moins pénible...

Comment en était - elle arrivé là?

il lui avait fait l'amour souvent ... elle était très demandeuse... alors pour la combler il la masturbait la fistait... puis lui avait demandé si elle voulait qu'il soit Maître de ses plaisirs... Elle avait accepté volontiers... et alors elle connu une frénésie sexuelle: à toute heure du jour ou de la nuit, elle devait se masturber se goder, se faire sodomiser, pénétrer, sucer, masturber... Elle ne comptait plus le nombre de fois par jour... au bout de plusieurs semaines à ce rythme, elle devenait saturée au point qu'elle a refusé de se masturber une fois de plus...
C'est alors qu'il lui demandât si elle ne désirait plus avoir de sexe... elle répondit qu'en effet elle prendrait bien du repos à ce sujet.
Il accepta.
le lendemain au réveil il la caressa tendrement , puis lui prépare un bain et la lava.
puis il l’habillât:
il sortit lui mit des sous-vêtements rigide qu'il fermait avec des cadenas... et il lui murmurait au creux de l'oreille tu voulais faire une pause sexuelle, tu vois j'accomplis ton désir... et il partit pour la journée de travail...
à son arrivée le soir, elle était au bord des larmes.
la voyant dans tous ses états, il lui demandait ce qu'il se passait.
Elle fondit en larmes et dit j'ai trop envie et j'ai trop mal à ne pas pouvoir me satisfaire...
Ce que tu me dis est qu'en fait tu es une chienne en chaleur... n'est-ce pas?
oui dit-elle
Alors dis le moi de façon haut et claire
Je suis une chienne en chaleur
encore
je suis une chienne en chaleur
bien
il lui donna un baiser fougueux, ce qui calmât ses larmes.
attends moi ici lui dit-il
il revint avec un immense cube avec un toit et un sac emplit...
il fixa la niche au mur avec des vis.
y mis un matelas dedans.
il vint vers elle lui enlèves les sous vêtements rigides et cadenassés, lui mis un collier, une chaîne en guise de laisse, des menottes aux poignet et aux chevilles... lui fit enfiler un corset et des bas... lui fait mettre des escarpin à talons aiguilles très haut... il cadenassât les menottes de ses poignets à son collier, la fit se mettre à 4 pattes et cadenassa la chaîne des menottes des chevilles au corset... et lui dit d'avancer... il l'amener à la niche à laquelle il cadenassât sa laisse.
Il sortit du sac deux gamelles qu'il remplit d'eau et de biscuits respectivement... il prit une grande litière en plastique qu'il remplit de sciure de bois...et lui dit:
bien jusqu'à nouvel ordre c'est ta vie...
Elle commença à protester... il se pencha sur elle et lui dit une chienne ne parle pas elle aboie... si un autre son qu'un aboiement sort de ta bouche tu aura un bâillon et une punition... alors elle aboyât en signe d'assentiment et de résignation.

bien ma chienne...
et la voilà trois jours après en train de faire la belle avec des tétons qui se déforment sous les poids.
Cela faisait au moins un quart d'heure qu'elle était là, faisant la belle avec ces poids qui l'empêchait de penser...

Elle sentit ses doigts passer sur son sexe. Elle ne l'avait pas entendu venir perdue dans ses pensées qu'elle était.
Premier geste tendre depuis 3 jours.
geste lent mais bref... il mit sa main devant son visage et lui ordonna de la regarder et la gifla tellement fort qu'elle fut déséquilibrée, tomba à la renverse et cria "aille ! cela va la tête!"
Alors il la pris par les cheveux pour qu'elle fasse la belle,, les poids se balançant amplifiait la douleur.
une fois qu'elle fut en position, en train de faire la belle, il prit un bâillon boule et le lui mit, très vite sa bave dégoulinait sur ses seins.
Ses premiers mots résonnèrent comme un coup de fouet: "je t'avais prévenue, tu sera bâillonnée et punie.
il avait en main ce martinet avec de longue lanière en cuir. c'est la première fois depuis qu'elle le connait qu'il la châtie physiquement. jusque là il avait plutôt joué avec des privation d'orgasmes et des mises au coin dans des positions difficile à tenir.
les lanière caressaient son corps doucement, presque tendrement. honte à elle, elle sent son excitation monter...
Le premier coup la surprit la déstabilisant presque.il lui fit venir les larmes aux yeux.
les coup se multiplièrent en nombre et en force: tour à tour les seins, les fesses, le sexe les cuisses...
Elle les supportait, elle commençait à aimer cette sensation brève de chacun des coups... cela l'excitait presque. Il s'arrêta net.
sans un mot il enlevait ses menottes et son bâillon.
"à 4 pattes chienne, et remercies ton Maître par deux aboiements à chaque coup."
Elle aurait tant aimé pouvoir se dégourdir, elle était presque ankylosée et pouvait difficilement changer de position. Il la pris par les cheveux pour qu'elle se mette plus vite à 4 pattes.
il caressât son corps longuement, son excitation devenait de plus en plus intense. et le premier coup tombât, cela la surprit tellement qu'elle en oubliât d'aboyer.
le verdict tomba comme un couperet: " chaque aboiement manqué double la punition!"

wouaf! wouaf!
smash!
wouaf! wouaf!

Finalement les coups s’arrêtèrent. Elle n'en pouvait plus. Elle a compris la leçon.
Elle sentit quelque chose s’enfoncer dans son anus et lui caresser l’arrière de ses cuisses. Il caressa ses fesses en lui disant:
"Bien une vrai chienne a une queue qu'elle remue quand elle est contente, j’espère qu'à partir de maintenant tu vas te comporter en vrai chienne sans faillir.
-wouaf! wouaf!" et remuât ses fesses pour remuer sa queue de contentement.
Elle se promit d'être la meilleure chienne qu'il puisse avoir car c'était ce qu'il désirait.
Il caressait ses seins. il enlevait les pinces de ses tétons et les caressait longuement... presque rêveusement.
*****olo Couple
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Bonne écriture
*****exe Femme
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Ôiselle (chap 1, 2éme partie)

Il l'avait caressée longuement très tendrement.
Elle était pelotonnée à ses pieds quand la sonnette de la porte d'entrée retentie. Il se leva et elle le regardait s'éloigner...
Il revint accompagné de deux hommes. Ils parlaient entre eux joyeusement bouteille de champagne à la main et autres paquets qui semblaient venir d'un traiteur.
L'un d'eux la désigna du menton en disant:
"Ta chienne est paralysée?"
Monsieur vint vers elle, la tire par le collier aux pieds de ses invités, met sa tête à terre et la maintient à terre et lui ordonne:
" Lèches leur chaussures en guise de bienvenue, chienne qui ne sait pas accueillir mes invités."

Pendant qu'ils discutaient debout, elle léchait les chaussures chacune leur tour.
Monsieur la chassa du pied et invita ses invités à s'assoir dur le divan.
Monsieur lui demanda de faire la belle en face de ses invités pour qu’ils admirent sa "chiennitude".
Heureuse de cette faveur, elle se mit en position immédiatement et se laissa regarder, elle avait à la fois honte et détestait d'être ainsi détaillée.
Ils en étaient à commenter sur ses grosses lèvres luisantes et ses énormes mamelles aux tétons insignifiants, quand Monsieur arriva avec une chaine dans ses mains...
Il se penchait sur elle mit une pince sur chaque téton et sur chacune de ses lèvres intimes, il tendit la chaine qui les reliait toutes entre elles. Il tira dessus pour la mettre à 4 pattes.
"Bien ôiselle, tu va jouer à la balle, ces Messieurs vont la lancer et tu leur rapportera.
Monsieur se retira la laissant avec ses invités. Tour à tour ils lançaient la balle et elle devait aller la chercher et la ramener dans sa bouche pour leur donner.
Au début, il la lançait gentiment, puis bientôt ils lui compliquèrent la tache en lançant la balle sous une chaise, sous un meuble... la chaine trop tendue tirait sur ses tétons et ses lèvres, elle gémissait de douleur...
Alors qu'elle redonnait la balle à l'un d'entre eux, Monsieur revint avec des verres à la main, et dit qu'il ne l'avait pas entendu aboyer depuis l'arrivée des invités.
Le Monsieur brun répondit qu'elle se comportait plus en meuble qu'en chienne. Monsieur acquiesçât décidât oui en tant que meuble elle ferait mieux l'affaire.
Il la prit par les cheveux pour la mettre debout, enlevait son corset, ses bas, ses chaussures, lui laissant juste les pinces là où il les avait mise. Il la mit à quatre pattes, et lui dit:
"Une table basse reste immobile et silencieuse, il en est de même pour tout objet que tu seras à partir de maintenant!"
Il posait les verres sur son dos et tira brutalement sur sa queue pour la lui retirer... Elle ne put s'empêcher de tressaillir.
Ces Messieurs prenaient l'apéritif et elle servait de table basse. Parfois elle sentait une chaussure se balader sur son corps... mais elle se sentait dégoulinante entre les cuisses à sa grande honte. Elle aimait cela, elle pourrait presque en jouir...
Parfois une main la caressait, des doigts la pinçait, une chaussure la frottait, douceur et douleur se mélangeait dans ses sensations, les pinces tiraient et faisaient si mal, et elle se sentait si excitée ... elle essayait de se concentrer à ne proférer aucun son à ne faire aucun mouvement... c'était si dur, elle avait mal partout et se sentait ankylosée...
"Bon passons à table"
Ces messieurs se levèrent et se préparaient à manger... elle se contint, elle avait faim aussi, elle devait rester table basse, ne pas oublier que le repas était pour les invités...
Monsieur vint vers elle, la prit par les cheveux à nouveau pour la lever. Lui menottait ses poignets sur son collier derrière la nuque. Lui mit une corde autour de la taille qui repassait entre les fesses et fit passer par devant sous la corde ceinture puis il tira comme pour une laisse et l'obligeait à avancer vers une chaise posée à un mètre de la table.
Il lui ordonna:
" Accroupie sur cette chaise.
Les reste d'apéritif était en désordre sur la table... un remarqua qu'il manquait la poubelle de table...

Monsieur répondit, "un instant je l'installe"

il lui mit des pinces avec des anneaux sur chaque téton.
puis prenant chaque bout de le corde qui restait , il les passait dans les anneaux des pinces, les fit passer dans un crochet au plafond et les laissait pendre ainsi.

il revint avec une bassine à anses. il attachait chaque anse avec les cordes qui pendait et dit: " voilà notre poubelle de table!"

les cordes tirait sur les anneaux ... les pinces tiraient sur les tétons...
les deux invités vidèrent les restes de l'apéritif dans la bassine.
Mr. leur dit: " pour son manque de politesse , elle a droit à tout votre mépris et ressentiment!"
à chaque fois qu'ils passaient à coté d'elle , ils lui crachait dessus, la pinçait, la traitait en comme juste bonne à recevoir les déchets et ordures....
pendant le repas les déchets du repas s'accumulait dans la bassine. le poids augmentant , la corde rentrait de plus en plus entre ses lévres, tirait de plus en plus sur les pinces...
la position était pénible elle commençait vraiment à avoir mal et à ne plus la supporter...
son sexe la brulait...
Mr. la gifflat. le mouvement de déséquilibre provoqua un instant de douleur intense qui la fit crier et échapper une larme.
Mr. écarta la corde et enfilât deux doigts dans son vagin... il essuyait son doigt sur son visage en disant: de quoi tu te plains, à te voir si trempée, je sais que tu aimes cela.
néanmoins tu as crié et tu sera punie pour cela.
*****exe Femme
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oiselle- livre 1- chapitre 2
Cela faisait un mois qu'il la traitait en femme et épouse, lui faisait l'amour...
C'était doux, agréable, il l'aidait et la soutenait en tout, il relevait à peine ses erreurs et discutait sans élever la voix sur tout sujet de discorde ou projets…
Un mois est passé depuis qu'il avait invité ses amis où elle avait servi de poubelle de table, mangé leurs restes comme une chienne pendant qu'il savourait leur digestif, servi de tapis subi leurs pieds et leur sexe et leur sperme comme une serpillère ou un paillasson...
Ce soir là elle était dans un état effroyable, salie, courbaturée, emplie de douleur... et en même temps elle sentait un accomplissement bienfaiteur en elle...
Il la prit dans ses bras, l'embrassa fougueusement, la caressait tendrement en lui murmurant: "je vous aime" "maintenant je veux ma femme, mon épouse et mon amoureuse".
Il s'était levé et lui prépara un bain parfumé avec des bougies. la prit par la main et l'installa dans le bain avec un repose tête et la lava doucement avec une éponge douce.
Depuis il a été un ange de douceur, d'affection, de tendresse, de compréhension...
L'arrivée de ses règles la rends gourmande de sexe et de plaisirs. Elle devait s'avouer que son emprise dure et intransigeante lui manquait un peu.
Il avait dit qu'il ne salirait pas son épouse avec du sexe , il lui avait murmuré qu'il renoncerait à tout ce qui n'est pas lui faire l'amour, et qu'il la traiterait comme une femme adorée.
Le soir même, il lui fit l'amour tendrement. Mais elle voulait plus. elle sentait un besoin de sexe fougueux et intense.
Alors , elle l'embrassait en descendant vers son sexe, et là, le prit en bouche. Il la prit dans ses bras pour l'empêcher de continuer et lui murmurait: " Celle ci est la soumise salope, êtes vous sure que c'est ce que vous voulez redevenir?" Elle ne répondit rien et se laissa faire l'amour.
Au petit déjeuner du matin, il lui demandait si elle elle se masturbait pendant son absence... Elle lui avoua qu'elle en avait une envie de plus en plus forte, mais qu'elle n'osait le faire de peur de le décevoir.
"vous allez avoir vos règles, je crois?
-Oui
-Je respecte ce temps de ma femme et ne la souillerais pas pendant ce temps. Je voudrais juste que vous me disiez si vous vous masturbez et quels fantasmes vous ont amenée à jouir de cette masturbation... jusque là je reste votre amoureux fidèle et respectueux, mon amour.
-Bien , je vous promets d'être la femme aimante et fidèle et respectueuse que vous aimez."
Les règles sont arrivées. Les fantasmes les plus fous tourbillonnent dans sa tête. Les souvenirs de ce temps de chienne l'excite comme jamais. Elle résiste à son envie. ne pas le décevoir.
Quelques jours sont passés. La fin de ses règles. pendant ces quelques jours, il l'avait à peine effleurée, il l'avait remplit de baiser chaste et de douce caresse d'amour, mais était resté chaste et respectueux.
Elle n'en pouvait plus. Cela prenait toutes ses pensées, toute son énergie, il fallait qu'elle soit baisée, il fallait qu'on la traite en salope et la prenne par tous ses orifices encore et encore...
Quand il arriva ce vendredi soir, elle se détachait de son baiser et se déshabilla, puis se mis à genoux , le tête sur le sol, écartant ses fesses avec ses deux mains , lui demandant de la prendre comme une salope.
Il sourit , mit son pied sur sa tête et lui dit: " Bien, pour cela tu dois ramper et me supplier de telle façon que je finisse par accepter".
Elle hésitait, mais elle sentait qu'il fallait le faire, son besoin de sexe était trés fort.
Elle rampait en s'essoufflant, sentait la douleur grandissante de ses tétons durs qui frottaient sur le sol. Sa voix devenait inaudible à force.
Il mit son pied sur sa tête et lui dit: je veux vous entendre! je veux que vous suppliez haut et fort!"
Alors elle continue de ramper en lui demandant de la prendre par tous ses orifice. Elle avait mal. Il n'acceptait toujours pas. Et finalement n'y tenant plus elle lui demandait de la traiter en salope, en chienne en chaleur, en esclave du sexe. Plus elle répétait cela , plus fort elle le disait, mieux elle se sentait.
Finalement, il mit son pied sur sa tête et lui demandait: " c'est ce que tu veux?
Un "Oui" enthousiaste sortit de sa bouche malgré elle.
"Bien, à 4 pattes donc!"
Elle sentit quelque chose s'enfoncer dans son vagin , puis quelque chose d'autre dans son anus.
Bien , mets cette culotte. Elle l'enfila et il y mit un cadenas.
"à genou!"
Il sortit son sexe , prit sa tête de force et la faisait aller et venir brutalement, le sexe dans sa bouche entrait presque dans sa gorge et la faisait hoqueter par moment.
" A partir de cet instant, tu es une esclave sexuelle. Je suis le Maitre de tout tes plaisirs. Je t'utiliserait pour tous mes désirs et plaisirs. Tu devras ramper pour exprimer tes propres désirs, tu devras demander pour prendre une initiative de me donner du plaisir.
Tu n'auras aucun choix. Tu es interdite de tout plaisir sexuel que je n'ais pas désiré que tu ais.
Pour commencer, tu porteras cette ceinture de chasteté, et puisque tu as si envie que tu garderas les godes aussi longtemps que je l'ais décidé. Cela te calmera sans doute un peu de ton manque.
Autre chose: tu porteras ce qui m'excite, tu devra toujours être excitée, être trempée en ma présence et avoir les tétons durs. si la tenue n'est pas appropriée, tu devras obéir à mes pulsions et désirs et servir mon plaisir sexuel, en tout lieu et temps; si tu n'est pas suffisamment excitée en ma présence, si tu refuse de réaliser mes désirs , tu seras punie.
Est-ce compris?
-oui, dit-elle en ravalant sa salive.
-Bien tu dormiras ainsi harnachée et nue cette nuit. Tu me diras demain tes jouissances et pensées, fantasmes et autres..."
Elle partit pour la cuisine et commençait à préparer le repas.
Les pensées se bousculaient, elle n'avait pas prévu cela. Elle avait dit oui. Elle se sentait dégoulinante.
Il vint prés d'elle, caressait ses seins, roulait ses tétons dans ses doigts, et d'un coup sec tira ses tétons en les pinçant et les tordant.
Il murmurait durement dans son oreille, ne t'arrête pas dans tes taches ménagères esclave.
La soirée se déroulait comme à son habituel, sauf qu'elle a du faire plusieurs fellations. Une sous la table pendant le repas, une autre pendant les informations, une autre pour le remercier après avoir joui sans retenue, hurlant encore et encore.
Les godes et plugs commençaient à lui faire mal. Il défit la ceinture de chasteté uniquement pour aller aux toilettes avant de se coucher. Il lui fit remarquer qu'elle devra désormais lui demander l'autorisation pour qu'il la défasse , et qu'elle se lave et aille aux toilettes.
Puis ils se couchèrent. Là elle dut faire une fellation à genoux au pieds du lit. Il lui demanda de ne pas jouir en criant si elle jouit pendant la nuit, son sommeil devait être respecté.

Il éteignit la lumière et s'endormit.
*****exe Femme
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oiselle - chapitre 3
la nuit avait été infernale: entre douleur et spasmes d'orgasmes elle avait réussit à s'endormir.
Une main la caressait, la réveillant petit à petit, la faisant ressurgir dans le monde réel. Elle se retournait vers lui pour l'enlacer et l'embrasser. Il lui saisit les cheveux et lui mit un billet à ordre devant les yeux et lui intima l'ordre de le lire à haute voix.
"Une bonne esclave sexuelle prends soin de l'érection matinale avec sa bouche dés le réveil de Monsieur."
La tirant par les cheveux, il la fit sortir tant bien que mal du lit et elle se retrouvait à genoux son sexe dans la bouche.
Elle essayait de s'appliquer, mais son esprit vagabondait malgré elle. Elle était encore entre rêve et réalité. Son sexe n'était que douleur. ses muscles était endolori. Il lui semblait qu'on lui avait fait enfilé une tenue de plomb qui compressait son corps entier.
Et elle était là à lui faire une fellation qu'il rythmait en la tenant par les cheveux.
Elle se sentait vaincue ainsi. son devoir fini elle se coucha comme une bonne chienne sur le sol.
Il tirait ses cheveux pour la relever et lui dit: " tu n'es pas une esclave totale, tu n'es pas une chienne, tu reste une maitresse de maison qui est l'esclave sexuelle du Maitre de maison. Alors comportes -toi normalement avec la seule différence que tu m'as donné tout pouvoir sur ta sexualité, que tu es devenu de la viande à baiser, une vide couille, qui n'a aucune décision de son plaisir, une esclave sexuelle est de la viande à faire jouir, qui doit savoir plaire et séduire, qui doit être experte à donner des orgasmes, et qui a du plaisir comme il est décidé pour elle. Compris?
-oui!
Alors léve toi que je te désharnache et va nous préparer le petit déjeuner comme d'habitude!"
Elle vivait cela dans un demi sommeil, toujours entre rêve et réalité...
Tout était prêt sur la table, elle commençait à avoir faim, quand il s'assit pour déjeuner.
Elle sentit sa main entre ses cuisse et sur ses seins. Il prit ses seins dans les ses mains, roula ses tétons, les étira puis les pinçait trés fort en les tordant. Faisant cela , il lui murmurait durement:
"une bonne esclave sexuelle est toujours excitée en ma présence, ses tétons sont durs et elle est dégoulinante! Répéte!"
Elle s'exécutait.
" Bien, ton éducation de viande à faire jouir commence maintenant!"
L'appellation de viande à baise le blessait profondément et pourtant elle sentait que c'était ce qu'elle était finalement.
Elle était encore nue, n'ayant pas osé enfiler une robe de chambre. il lui présentait un corset et des escarpins à hauts talons, si hauts... Elle dut les enfiler. Il lui mit une minerve. Il posait un gode ventouse sur le sol et lui dit:
"accroupis toi, les genoux écartés, et rentre le gode dans ton anus!
• Bien. Maintenant mets tes bras en croix!
• Bien. Tes tétons ne sont pas assez durs et visibles, si tu veux me plaire va falloir travailler cela. Il en est de même pour ton clito. Dés cet instant tu commences à travailler ton corps de façon à ce qu'il plaise et me plaise parfaitement. Le corset et la minerve te contraindront à avoir une jolie taille et un port de tête élégant. Les hauts talons à voir des jambes de rêve. le gode est là pour rappeler que tu es de la viande à baise. "
Il posait un livre sur chacune de ses mains. Il posait une pompe sur son clitoris, et des pinces avec des poids sur chacun de ses tétons.
"Monte et descends dix fois sur le gode sans qu'il sorte de ton anus!"
Elle s'éxécutait. le moindre mouvement était pénible et douloureux.
"Bien!
• Pourquoi tu es dans cette position?
• Parce que vous me punissez?
• Mauvaise réponse!"
et il lui mit un billet à ordre devant les yeux qu'elle lut à haute voix:
"Une bonne exclave sexuelle travaille dur à modeler son corps pour le plaisir"
Une fois lut, il lui dit de monter et descendre sur le gode 15 fois, et elle apprit que cela était une forme de punition pendant cet exercice d'apprentissage.
Un autre billet à ordre surgit devant ses yeux:
" Une bonne esclave sexuelle ne cache rien et se doit de répondre spontanément et honnêtement à tout questionnement et confesser abondemment et en détail ses pensées, ses fantasmes, toutes ses expériences , son vécu , ses sensations, ses envies..."
"On ne va perdre de temps, on commence maintenant pour ne pas rendre cet exercice de modelage improductif."
Alors commençait une série de questions auxquelles elle répondait rapidement... jusqu'au moment de raconter une masturbation, elle l'avait décrite en deux phrases. alors il dit: " es-tu maso?
• Non
• Alors pourquoi tu ne racontes pas en détails cette masturbation? je veux savoir tes pensées à ce moment là, comment ce ton fantasme t'excitait et à quel moment cela t'a fait jouir, viande à baiser! Pour ta peine , monte et descends 20 fois sur le gode, et comme tu n'es pas maso , tu vas surement mieux détailler ton fantasme aprés..."
Elle s'éxécutait.
Les question déferlaient les unes aprés les autres pendant une demi heure. les odeurs de café de pain grillé l'affamait.
Le questionnaire s'arrêtait finalement. Il retira les livres. Il retira les pinces à poids.
La douleur était tellement qu'elle faillit tomber à la renverse. Il lui demandait de masser ses seins puis il lui posait une pompe sur chaque téton. il était sérieux quand il parlait de modelage du corps. Son clito s'étirait dans la pompe et devenait douloureux. Heureusement , il enlevait la pompe du clito.
Il lui donnait un livre et lui dit de lire le chapitre sur le sexe oral, sur la masturbation, la sodomie, la pénétration et des pratiques plus BDSM comme le fist.
pendant ce temps , il l'écoutait en finissant son café et fumant sa cigarette... son regard était amusé , il semblait se délecter de ce qui se passait ...
AU bout d'une demi heure, il lui retirait le livre des mains et lui demandait de se lever...
" Tu dois avoir faim, tu liras le reste demain. Va déjeuner maintenant"
Elle s'aperçu qu'il lui avait préparé un plateau spécial. Dans son bol y'avait comme une grosse paille ou une sorte de gode qui lui servait de paille, dans son assiette elle crut discerner une vulve au milieu de laquelle y'avait un croissant déjà découpé en morceaux. Elle dut manger les mains derriére le dos suçant sa paille pour boire son café, léchant la vulve pour manger son croissant.
Quand elle eut fini, il dit:
"Bien, ton éducation prends forme, il va s'agir de progresser. cela donne envie de te récompenser pour ta docilité de ce début! et avant de commencer les taches ménagéres, tu vas pouvoir jouir une fois de l'anus, une fois du vagin tout en tripotant ton clito!
• Merci Monsieur!"
Il prit un balai, enfila un préservatif sur le manche, coinça la tête de balai contre une plinthe et l'informait que c'est ce qui allait lui servir de gode.
Elle se sentait humiliée de déhancher comme cela sur cet outil domestique, mais elle le faisait , elle y prenait plaisir, elle sentait les orgasmes monter et jaillir. Elle regardait sa ceinture en jouissant de l'anus, il bandait, puis rencontra son regard amusé presque heureux...
Obéissante elle enfilait le manche dans son vagin et sans retenue aucune allait et venait, caressant son clito avec ferveur, ouvrant les yeux elle vit qu'il se masturbait avec un regard goguenard presque salace mais toujours amusé... Elle montait, elle sentait l'orgasme venir, elle aurait tellement voulu son sexe à lui, il la provoquait en se masturbant pendant qu'elle n'avait droit qu'à ce manche à balai... il éjaculat sur elle en lui disant que c'était un vrai cadeau pour une viande à sperme. Cela l'humiliait encore plus mais cela la fit jouir intensément à sa grande honte.
Le salaud... le salaud... Comment il m'a fait jouir... et j'ai joui... j'ai joui humiliée , bafouée, sans retenue, comme une salope, malgré toute la douleur dans mon corps, meurtrie physiquement et moralement, j'ai jouis intensément.
Viande à jouir, viande à sperme, viande à donner du plaisir, ... Oui Elle sentait que cela commençait à la définir de façon assez juste...
Sur cette réflexion, elle allait commencer son ménage.
**********cal35 Homme
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Un vrai talent d'écriture pour décrire une relation fantasmagorique d'un monde qui n'est pas le mien.... *sexypo*
*****exe Femme
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Oiselle livre 1 chapitre 4

Elle allait vaquer à son ménage quand il la retint par le bras.
"Un instant viande à jouir"
Il glissa sa main entre ses cuisses, la forçant à les écarter, puis mit 3 doigts profondément dans son sexe qu'il retira aussitôt. Il mit ses doigts devant son visage et lui dit: " c'est cela que tu appelles dégoulinante? Allez, allonge toi sur le dos sur le sol, replies tes jambes bien écartées et relève le bassin. Les bras le long de tes oreilles. Reste ainsi. "
Il la regardait dans cette position en souriant. Quand elle commençait à faiblir, il enfonçait 4 doigts qu'il fit venir très rapidement. Elle entendait le bruit de sa mouille. Elle sentait qu'elle montait et qu'elle allait jouir. Il s'arrêta. Elle se calmait un peu sous son œil amusé. Elle avait une forte respiration qui s'était accélérée, ses muscles avaient des spasmes.
Enfin elle était calme. La position était pénible.

Soudain il enfonçait 3 doigts qu'il fit venir à une vitesse qui l'affolait. Elle sentait la mouille qui éclaboussait ses cuisses, elle râlait, elle voulait jouir, elle allait jouir, oui il faut qu'elle jouisse... il retirait ses doigts, lui les présentait à sa bouche pour qu'elle nettoie sa main, et lui dit: " voilà ce que j'appelle être excitée.

Maintenant à genou, et nettoie ta mouille sur le sol avec tes seins. Après tu pourras aller faire le ménage."
Elle était tellement excitée qu'elle en tremblait, elle en suait. Elle semblait dans un autre monde, elle n'arrivait pas à localiser sa mouille, sa tête tournait... finalement elle la vit et prit ses seins pour essuyer le sol.
Faire le ménage la calmait, mais en même temps elle se perdait dans ses pensées. L’état dans le quel il l'avait mise l'avait complètement désarçonnée. Oui elle comprenait ce que c'était d'être excitée au point d'en perdre toute notion de temps, de décence, de morale, et de n'avoir que cette envie. Cette frustration d'orgasme lui avait servi de leçon. Ce début de journée a été très éprouvant, et physiquement et sexuellement et mentalement... et on en est qu'en milieu de matinée.

Mais bon, le ménage. La chambre est faite, la salle à manger aussi, dans la cuisine tout est propre et prêt pour préparer le repas de midi, le bureau est presque fini.
Elle sortait du bureau et se dirigeait vers la salle de bain. Il se postait devant elle et dit: "tu ne vas pas nettoyer la salle de bain alors que tu n'as pas encore fait tes soins du corps?
Oui en effet" dit-elle en rougissant.
Lui même avait dut prendre son bain: ses cheveux était humide, il sentait la vanille de son bain douche, il était rasé de prés, et sa sortie de bain était encore humide au col.
Il lui présentait un autre billet à ordre, qu'elle lut, bien sur à haute voix:
" une bonne esclave sexuelle entretient son corps par hygiène, pour plaire, en prenant soin de ses dents, en nettoyant son corps longuement et en faisant un gommage, en s'épilant complètement le corps, en entretenant ses cheveux et en se coiffant de manière à ce que ses cheveux ne gène pas son activité d'esclave, se mets en valeur par un maquillage simple et glamour, prends soin de ses pieds et ses mains, et s'habille de manière à plaire et mettre en valeur sa sensualité ou selon les ordres émis."

oh se dit-elle, je me suis sacrément négligée depuis un mois.
Elle rangeait ses outils de nettoyage et se mit nue dans la salle de bains.
Il la fit monter sur un tabouret. En mit un deuxième à coté, sur lequel elle dut poser un pied. Elle était là les jambes écartées devant lui. Il prit son épilateur électrique, le branchait et commençait à l'épiler. Sous les bras d'abord. Puis il descendît sur les orteils. Oui y'a toujours quelques poils là. Puis il remontait le long des jambes. Il tendait sa peau de manière qu'elle ne se coince pas dans l'appareil mais cela était douloureux. Cela lui apprendra de se négliger.
Il s'attaquait au pubis maintenant. Et petit à petit il se rapprochait des lèvres intimes et donc du clitoris. Là c'était horrible. Extrêmement douloureux avec cet épilateur. Il allait très prêt des lèvres.

Puis prit de la crème et l'étalait sur son sexe, ouf je ne vais pas subir l'épilateur à cet endroit. Il la regardait et comme lisant dans ses pensées, il dit: "La crème ce n'est que pour aujourd’hui, dés demain ce sera l'épilateur électrique! Il prit des gants de massage et un pot de savon noir, avec les gants il étalait le savon noir sur tout son corps, sauf sur son sexe bien entendu. La crème commençait à faire son effet, il la fit descendre des tabourets et le mit debout dans la baignoire; il enlevait la crème épilatoire et elle se sentait devenir fraiche entre les jambes. Il complétait cela avec un jet d'eau tiède.
Il lui tendit les gants de massage qu'elle enfila et la regardait se frotter avec sur tout le corps même sur les partie intimes.il la mit sous la douche tiède, et elle devait continuer à se frotter jusqu'à ce tout savon ait disparu. Puis elle se lavait les cheveux, se rinçait à nouveau.
Il lui tendit une grande serviette de bain elle dut s'enrouler dedans après s'être séchée avec.

Après elle dut prendre soin de ses dents, fil dentaire, bâton de Siwa, brossage et nettoyage de bouche.
Oufa, il ne veut pas faire les choses à moitié lui.
Puis vint le tour des pieds, des mains... la coiffure, une queue de cheval. Maquillage. Habillage.
Il me fit mettre un corset, une mini-jupe et des escarpins hauts talons.
Le corset était volontairement mis sous les seins comme pour ce matin. Il la voulait ainsi aujourd'hui pour son programme. Mais les autres jours les seins devront être dans le corset et la jupe sera plus longue, des dessous seront à mettre.

La salle de bain était emplie de rognure d'ongle, de peau, et de poils de toutes longueur, elle se mit donc à l'ouvrage pour la rendre propre.
Elle dut prendre des gants car sinon le vernis s'écaillait.
Elle allait préparer le repas quand il était juste devant elle. Il mit ses doigts dans son entre jambe, sur ses tétons, et lui dit: " c'est ainsi que tu es excitée? Alors à 4 pattes et fait aller venir ce mini gode alternativement dans l'anus et dans le vagin aussi longtemps que je n'ais pas dit d'arrêter!"
Elle avait oublié ce détail... l'excitation!
La tête sur le sol elle se concentrait, une fois l’anus, une fois le vagin une fois... elle devenait dégoulinante, elle aurait bien voulu jouir mais l'alternance rendait cela impossible...
" C'est bon maintenant lèches tes mains et le mini gode et va préparer le repas, il est presque midi, tu es en retard! "
Elle titubait tant qu'elle était excitée et quelque peu exténuée... Elle réussit à se ressaisir et préparait le repas.
Régulièrement il venait prés d'elle, roulant ses tétons, mettant un doigt dans l'anus ou dans son vagin, caressant son clito... et elle ne devait continuer sa tache comme si rien n'était. Finalement l'heure de passer à table.
Elle servait l'entrée.
A sa place, sur la chaise y'avais un Plug et un gode. Elle comprit. Elle se les enfilait et s'assied ainsi. Il me se mit derrière elle et menotta ses mains. Elle vit alors qu'il avait confisqué ses couverts. Il dit: "oui, une bon moyen d'apprendre à te servir de ta bouche, ainsi tu sauras lécher, sucer aspirer..."
Il la caressait et l'embrassait. Il léchait ses seins, les mordillait, les roulait entre ses doigts, il l'embrassait dans son cou, le léchait, ses mains glissaient sur son clitoris parfois, elle adorait cela, cela la mit dans un état d'excitation intense. Elle aimait cela. Elle ne voulait pas que cela s'arrête
" Bien viande à jouir, maintenant tu peux manger ton entrée".

Le repas fut ainsi tout du long entre plaisir et frustration, tout en douceur, mais si pénible. Elle devait finir son assiette et la rendre propre pour chaque plat. Elle ne savait plus si elle avait faim ou pas si c'était bon ou pas, Elle léchait aspirait les morceaux, et avait envie de jouir. Et il la regardait en souriant. Il s'amusait tout simplement. Il savait où il allait. Il savait qu'elle en viendrait là. Il savait qu'elle ignorait tout de son futur, qu'elle avait accepté de vivre cela dans la complète ignorance de ce futur qu'elle désire et craint. Il s'amusait de la voir espérer qu'il y aurait une trêve. Elle ne le sait pas encore mais ce week-end sera ainsi tout du long. Son éducation commence maintenant ou jamais.
A la fin du repas, il la délivra de ses contraintes pour qu'elle aille ranger et nettoyer.
Après le repas encore le rituel des dents et toilette rapide du visage, des mains et de son sexe. Il observait chacun de ses gestes. Elle se sentait littéralement nue sans intimité, il donnait l'impression de lire ses moindres pensées.
On est samedi, lui rappela-t-il, le jour des courses pour la semaine. Oups elle en avait oublié la réalité du temps.
*****exe Femme
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Oiselle livre 1 chapitre 5

Il lui avait rappelé que c'était l'après-midi des courses puis il s'était dirigé la chambre.
Quand il revint, Il avait les bras chargés. Il lui ordonnait de se déshabiller de manière sensuelle de garder les talons hauts.
En la regardant en souriant, il constatait qu'elle avait encore beaucoup à progresser en matière d'effeuillage.
La tenue était une simple robe en coton léger qu'il ceinturait avec un serre taille. Il avait choisi des dessous en dentelle assortis en couleur à sa robe. Il avait prit soin que ses tétons soit bien droit sous les de soutien-gorge. Cela les compressait et les excitait. Son string un peu trop serré entrait dans entre ses lèvres. Avant de la vêtir, il lui avait inséré lui même un œuf dans l'anus, un autre vaginalement... Ils étaient suffisamment petits pour qu'elle contrôle son corps et son désir de jouir.

Elle préparait la liste et les sacs des courses quand ses orifices se mirent à vibrer ensemble... d'un coup, elle était dans un état de désir de jouir... elle ne savait plus ce qu'elle faisait, elle dut faire un effort incommensurable pour finir la liste et rassembler ses sacs.
Arrivée à la porte, elle était essoufflée de cet effort. Pour descendre les escaliers il augmentait la vibration des œufs... La présence des voisins qui rentraient, la calmait aussitôt.
La route vers la grande surface était sans vibration. Mais les cahots de la route suffisaient à faire bouger les œufs. Cet instant de calme la surprit. Mais elle sentit son vagin palpiter de plus en plus vite, la faisant monter vers l'orgasme.
On était arrivé, poussant le caddy entre les rayons, elle sentait une légère vibration. Le bruit était faible. Elle avait horreur de tout ce qui est publique. Elle avait horreur de l'exhibe. Et il le savait, le salaud!

Finalement la liste des courses était complète et tout était dans le caddy. Ils faisaient la queue à la caisse. Le caissier, un jeune étudiant surement, commençait à scanner leur achat quand Monsieur se penchait à son oreille et lui dit qu'on a oublié deux concombres et une boite de préservatifs. Il l'attendrait pendant qu'elle allait les chercher. Elle se dépêchait dans les rayons pour arriver à la caisse avant que le caissier ait fini de scanner le caddy.
Quand elle arrivait à la caisse, elle vit son mari en peu en retrait avec le caddy qui l'attendait. Elle eut un moment de panique, elle devait faire la queue, déposer les préservatifs et les concombres sur le tapis de caisse et lui paierait.
Dés qu'elle mit la marchandise sur le tapis de caisse, elle avait l'impression qu'il avait mit les vibrations au maximum, son corps commençait à trembler d'excitation. Il lui tendit le porte feuille pour qu'elle paie. Elle n'arrivait plus à contrôler ses mains, et faisait tout tomber. Il souriait et souriait d'un air complice au caissier, et payait lui même.
Arrivés à la sorti, il se tournait vers elle et lui demandait d'aller aux toilettes pour enlever les œufs, les nettoyer et lui rapporter pour les lui donner.
Dans les toilettes, elle se calfeutra dans une cabine. Elle dut y mettre les doigts pour les enlever. Les œufs étaient pleins d'excrément et de sécrétion. Elle prit du papier toilette et les lavait dans l'eau de la toilette. Elle n'avait plus qu'à sortir et aller se laver les mains. Pas de poches à sa robe.
Moment de panique: réfléchir vite. Elle mit les œufs dans son string, et sortit se laver les mains. Elle prit son temps car deux femmes papotait et elle devait sortir les œufs du string avant se sortir des toilettes. Finalement les deux amis décidèrent d'aller à la cafétéria et sortirent.
Elle souleva sa robe, prit les œufs et sortit elle même.
En la voyant arrivé, il lui tendait un sac qu'il tenait fermé enserré dans sa main tout en discutant avec une femme d'une classe majestueuse.
Elle prit le sac et l'œuf tombe sur le sol. Elle entendit la femme dire à son mari: " Ta viande à jouir semble délicieuse mais bien maladroite.
-oui, c'est son premier jour de préapprentissage, n'est-ce pas, viande à jouir?
-Alors j'ai hâte de voir son évolution!" Dit cette dame en partant.

Il regardait oiselle qui ramassait son œuf pour le ranger. Elle était rouge, tremblante et les larmes aux yeux. Le retour à la voiture était silencieux. A sa grande surprise, elle semblait craquer dés le premier jour. Il avait pensé au bout d'une semaine. C’était de bon augure, mais trop tôt.
Une fois dans la voiture assis l'un à coté de l'autre, il l'embrassa fougueusement, lui donnant de petits baisers sur le visage, caressant ses cheveux et son visage, il lui murmurait qu'il l'aimait et qu'il aimerait bien savoir ce qu'elle ressentait et la mettait dans un tel état. Elle n'avait rien dit de ce qu'elle lui disait d'habitude. Elle avait le droit de lui parler, cela n'a jamais été interdit. Elle avait toute liberté de s'exprimer... plus il était doux plus elle sanglotait. Et tout un coup les mots jaillir de sa bouche avec violence:
" salaud, manipulateur, j'ai horreur de l'exhibe, j'ai trop peur et trop honte, l'excitation est trop forte, je ne me contrôle plus, je fais trop d'erreur, je ne vais jamais être à la hauteur de ce vous voulez que je sois, j'aime pas la douleur, j'aime pas les pinces, je vous hais, j'ai soif de sexe , c'est vrai je suis une chienne en chaleur, une salope , de la viande à jouir mais vous en profitez pour me faire faire ce qui me fait horreur!"
Ses larmes s'étaient taries. Il arrêta de la bercer et caressait son cou tendrement d'une main et de l'autre son genou.
Il essayait de synthétiser ce qu'elle venait de dire.
" Si je comprends bien ton état d'esclave sexuelle est une évidence pour toi mais ce qui est difficile c'est l'apprentissage... Je suis désolé pour l’exhibe, ce n'est pas ce qui était prévu. La rencontre avec cette Domina est le pur fruit du hasard. Je voulais juste que tu vives une excitation intense dans un lieu publique... je choisirais un endroit plus intime une autre fois...
Je sais que l'éducation que tu vas recevoir est un peu lourde, tes tétons et ton clito ont besoin d'être améliorés, Ton corps se doit être modelé pour le sexe, tout comme ton esprit... mais je peux moduler l’expression, il faut souffrir pour être belle. Mais je te promets que tu n'auras pas d’autres douleurs que les pinces, les pompes, les courbatures, ou des dilatations. Tu verras qu'avec le temps cette douleur disparaitra.
-Merci, dit-elle en hoquetant.
-Bien! Regarde ton entrejambe, tu es trempée. C’est l'heure du concombre!"

Elle vit sa jupe remontée et son sexe luisant. Sans qu'elle s'en aperçoive, il l'avait tout simplement excitée. Il lui tendait le concombre et un préservatif, et lui demandait d'enfiler cela et de se goder sans retenue jusqu'à ce qu'il arrive chez eux. Jouis autant que tu veux, mais ne t'arrête pas de te goder. Puis il démarrait la voiture.
Elle se godait timidement au début, pis accélérant de plus en plus elle jouit. Continuer, accélérer et jouir, continuer, jouir... elle en transpirait, haletait, râlait et continuait. Les jouissance était de plus en plus intense, incontrôlable, et elle en voulait plus.
Il l'embrassait sur le visage et lui prit le concombre des mains. Oh ils étaient déjà arrivés chez eux... et elle était à nouveau au bord de l'orgasme.

Bien lui murmurait-il à l'oreille, on va ranger les course et tu te feras belle, on va manger au restaurant comme un couple normale, tu reste ma viande à jouir, mais ton éducation reprendra dés le lever.
Elle lui fut reconnaissante de cette trêve éducative même si elle restait sa viande à le faire jouir, lui donner du plaisir, cela elle aimait!
*****exe Femme
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Oiselle livre 1 chapitre 6

Elle se réveillait... Ses membres endoloris, ses muscles courbaturés lui rappelaient sa nouvelle condition. Ses tétons étaient encore douloureux. Tiens lui aussi se réveillait...
Elle se levait avec difficulté, aperçu le jour au travers des volets, se mis à genou, glissait sa main sous le drap pour chercher son sexe. Sa bouche était pâteuse. Il était déjà en érection, érection qu'elle léchait à grand coup de langue.
Sa voix encore endormie, mais ferme lui recommandait de faire l'exercice de tirer sur ses tétons tout en les roulant et la pinçant pendant la fellation. Elle le fit. Oups il était résistant aujourd'hui, il lui semblait que la fellation n'en finissait plus. Elle dégoulinait.

Il la fit se prosterner sur le lit lui présentant son anus. Il la sodomisait sans ménagement, elle sentait son sexe forcer son anus à s'ouvrir. Il fit quelques aller et retour brutaux, puis suivit son rythme. Elle jouissait très vite de l'anus d'habitude. Il entrait complètement en elle et en ressortait complètement aussi. Cela l'excitait et la faisait monter très vite... Il continuait ainsi et elle fut au bord de l'orgasme anal. Il se retira puis s'enfonçait brutalement dans son vagin et jouit.
Il claqua ses fesses et lui demandait de préparer le petit déjeuner pour lui et ses exercices pour elle. Elle se sentait un peu comme dans un nuage l'excitation lui donnait une impression d'irréalité, ses muscles courbaturés rendait ses mouvements robotiques et mécaniques.
Quand il arrivait pour prendre son petit déjeuner, il vit avec satisfaction que tout était sur la table. Au pied de la table, était ouvert le coffre à jouets de leur pratique. Elle se tenait accroupie, genoux écartés, mains sur la tête, elle avait même enfilé le corset et les hauts talons et ses seins étaient sortis.
"Commence, ne perds pas de temps. Confesses toutes tes pratiques du passé, avec partenaires ou seules, confesses tes fantasmes les plus fous. A partir de maintenant ce temps est d'un quart d'heure"
Elle mit les pinces à poids de 150 gr, elle enfilait le gode en elle, prit un livre sans chaque main et mit les bras en croix.
Elle se rappelait de la douleur de la veille quand elle devait monter et descendre sur le gode... Alors, elle commençait à débiter, parlant vite, revenant en arrière car elle avait oublié un détail, s'était trompée de personne ou de lieu ou de date. Elle ne pouvait plus se retenir, elle donnait des détails sordides, des détails salaces. Elle semblait vouloir étaler combien elle était perverse et vicieuse, elle voulait prouver qu'elle n'était qu'une viande à jouir.
Il a été obligé de l’arrêter, elle avait perdu la notion du temps. Demain, elle mettrait en marche un minuteur. Et c'est ce qu'elle fit pour l'exercice suivant.
Elle posait les pompes sur chacun de ses tétons et sur son clito. Elle prit son livre d'éducations sexuelle et recommençait sa lecture là où elle l'avait commencée. Le minuteur était programmé pour une demi-heure.
Pendant la lecture, elle bégayait, ou sa voix devenait inaudible. À chaque faute de lecture, il la faisait monter et descendre plusieurs fois, puis reprendre au début du chapitre en cours.
Le minuteur sonnait finalement, un son désagréable, strident, presque menaçant. Elle se levait comme la veille avec l'idée d'aller se sustenter. Il la retint, lui indiquant que les exercices physiques n’étaient pas terminés.

Il mit un gode ventouse sur un siège, la plaçait à califourchon, les mains sur la tête, elle devait monter et descendre 50 fois comme si elle se faisait baiser. Elle comprenait maintenant comment il allait la muscler et la faire devenir experte en sexe.
Ensuite, il prit un siège roulant sans bras qui tournait à 360°. le petit gode ventouse en anal, le plus gros en vaginal, elle devait s'y asseoir, se tenir à la table placée derrière elle, tendre les jambes en avant et tourner de droite à gauche , à 180° , le plus vite possible pendant 6 minutes.
L’autre exercice lui musclait les cuisses, celui là était plus orienté abdos.
Oh un troisième: à plat ventre, repliant les jambes, montant le bassin elle devait se goder 50 fois sur le gode ventouse fixé au mur. Aie mes fesses.
Le quatrième était visiblement pour travailler les écarts: un pieds sur la table, l'autre sur le sol elle allait et venait 50 fois sur le gode fixé sur la table. Elle faisait cela d'une jambe puis de l'autre.
Elle se retrouvait accroupie, une gode entre ses jambes et un gode ventouse au mur à hauteur de sa bouche. Le message était clair. Elle avalait le gode ainsi 50 fois.
Et finalement le dernier, juste à 4 pattes, 50 aller et retour sur le gode ventouse au mur. C’était l'exercice de détente.
Elle apprit qu'il allait augmenter petit à petit le nombre d'aller et retour jusqu'à 120, tout le long de son préapprentissage.

Il la relevait, l'embrassant fougueusement et la pénétrant rapidement et jouissant en elle avant même qu'elle puisse jouir.
Pourtant tous ces exercices l'avait excitée au plus au point. Mais compter chacun de ses aller et venue l'obligeait à se concentrer sur autre chose que son plaisir. Elle était dégoulinante, épuisée, l'effort qu'elle avait dut faire faisait trembler tous ses muscles. Ila caressait en lui disant: " va prendre une rapide douche chaude et lave toi en te frictionnant, cela te décontractera."
Elle était en train de remettre son corset et ses hauts talons quand il surgit dans la salle de bain, et lui demandait:
"As-tu besoin de plus de sommeil?
-Non
• bien alors va déjeuner puis tu pourras vaquer à ton quotidien dominical."
**********cal35 Homme
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on s'y croirait...
*****exe Femme
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Oiselle livre 1 chapitre 7 - fin du livre 1

Elle était couchée et pensait à ce dimanche. Elle écoutait sa respiration profonde, et se disait qu'il avait été parfait aujourd'hui. Il a su jongler entre l'amoureux et le possesseur, tenant ses promesses, lui inspirant sécurité et confiance, sa fermeté devenait douceur et provoquait une envie d'obéissance inconditionnelle.
Elle a réalisé que les exercices était un apprentissage... en fait elle n'était que pré-apprentie... Cela a été plus facile aujourd'hui. Il a aimé et adopté la position d'attente cuisses ouvertes accroupie, mains sur la nuque.
Pour la féliciter il lui avait accordé une tenue corset et jupe mi-cuisse avec des hauts talons ainsi qu'un petit déjeuner calme et reposant.
Il la laissée vaquer au ménage et à la préparation du repas. De temps en temps, elle sentait sa main dans son giron. Cela semblait le satisfaire.
Elle s'apprêtait à mettre la table, heureuse de tout ce calme mais perplexe qu'une routine puisse s'installer.
Elle le vit arriver avec son fouet de cuisine en plastique... qu'avait-elle oublié?
Il rentra brusquement le fouet dans son sexe, léchait son cou, stimulait son clito, lui murmurant, gode toi avec jusqu'à ce que je te dise d'arrêter.
Elle se godait de plus en plus vite, jouissant, elle continuer, jouissant encore. Le bruit de sa mouille était humiliant. Elle jouissait de plus en plus fort jusqu'au moment où la force du spasmes de son orgasme, éjecta le fouet hors de son vagin et un liquide jaillit en gerbe d'eau qui retombait sur le sol.
Il sourit d'une manière qui signifiait " Je m'en doutais!". Elle dut lécher le fouet avec s langue avant de la laver et le ranger. Elle dut essuyer le sol avec ses seins dénudé avant de le serpiller. Puis continua à mettre la table et servit l'entrée.
Pendant qu'il la servait il mit sa main entre ses cuisses. Constatant qu'elle n'était plus excitée, elle dut encore une fois utiliser le mini gode en alternance anale et vaginale jusqu'à ce qu'elle dégouline.
Il retira sa chaise pour le repas et dut manger debout les jambes écartées. Aucune bouchée ne devait atteindre sa bouche si elle n'était pas passée par son sexe et enduite du jus de son excitation. Elle essayait de s’appliquer, mais l'excitation d'une part, l'exercice dans une position inconfortable, la rendait maladroite et laissait tomber quelques bouchées qu'elle récupérait à 4 pattes avec sa langue.
Au déjeuner, il était très excité lui aussi, et lui demandait de passer sous la table pour bien utiliser sa bouche et ses mains pour son plaisir.
Elle s'appliquait sous la table, elle sentait sa chaussure la caresser entre ses jambes, l'excitant encore plus. Elle était tellement excitée qu'elle avait vraiment envie de le sucer comme une folle. C’est alors qu'il jouit dans ses cheveux.
Elle sortit de dessous la table et sentit qu'elle ne tenait plus, il fallait qu'il la prenne. Elle avait d'elle même retiré sa jupe, se prosternant les fesses en l'air, les écartant avec les mains. Il lui demandait alors de ramper en suppliant pour que son plaisir lui soit accordé.
Elle rampait donc, elle suppliait donc jusqu'à ce qu'il décide de le lui accorder quand elle aurait fini les taches ménagères de l'après repas.
Elle s'empressait de les faire, puis quand elle eut terminé, le rejoint dans le salon. Il était assis et regardait les directs sportifs.
Il lui demanda de se masturber à 4 pattes devant la télé mais de rester suffisamment basse pour ne pas le gêner dans la vue du programme et de ne pas gémir trop fort pour qu'il puisse écouter.
Elle s'exécutait, trop heureuse de l'occasion.
Il l'arrêtait à son premier orgasme. Il posait sur le sol une sorte plateau de lit, y déposait un cahier et plusieurs crayons, un gode. Elle devait s'empaler sur le gode et écrire le journal de son vécu depuis vendredi soir pendant qu'il regardait son émission.
Position inconfortable que d'écrire à cheval sur un plateau de lit, difficile de se pencher avec le corset, le gode l’excitait. Elle y arrivait tant bien que mal.
L'émission se terminait, c'était l'heure du gouter. Elle le lui apportait. Elle dut lui servir de table basse pour le gouter tout en lisant son journal à voix haute.
Il l'avait frustrée en ne lui accordant qu'un maigre orgasme en se masturbant mais elle appréciait qu'il joue ainsi avec elle. En fait elle raffolait de cette journée.
Demain elle se lèverait avant lui, prendrait un yaourt et un jus d'orange, se laverait les dents, prendra une douche rapide en se savonnant avec les mains, puis le réveillera en douceur avec sa bouche. C’est ce qu’ils avaient convenu. Puis les exercices devenus rituel ... le reste de la journée sans lui où elle sera chaste... et son retour le soir, qu'elle accueillera avec enthousiasme. Son préapprentissage commençait vraiment, Elle ne savait pas comment cela allait continuer mais là, elle avait vraiment choisi de le commencer et avait vraiment envie d'aller jusqu'au bout. Son corps en payait le prix mais elle était heureuse de devenir belle et désirable à ses yeux, elle était heureuse d'apprendre à le satisfaire comme, amante, comme femme, et comme esclave.
*****olo Couple
8 Contribution
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