descendant les marches vers ...
Monsieur m'avait reçu dans sa maison d'amis, des voix se faisait entendre dans la pièce au fond du couloir.il me sourit et prend mon foulard tout en me volant un baiser.
il me demandât d'enlever mon string et de lui donner
j'enlevais docilement mon string noir en dentelle et le lui tendit.
il en fit une boule et me le mit dans la bouche
il recouvrit ma bouche avec le foulard , me bâillonnant et m'empêchant de rejeter le string.
il me prit par la main et , à ma grande surprise, il m'entrainait devant une porte que je n'avais jamais ouverte auparavant
il ouvrit cette porte et me montra les escaliers qui descendaient plus bas, une cave semble -t-il
les flambeaux aidaient à indiquer le chemin à prendre.
en descendant, la lumière était de plus en plus tamisée …
c'était presque obscure
cela sentait l'humidité de la cave avec cette odeur de bougie …
enfin j'étais en bas des escaliers et un rails au plafond permettait de faire rouler des portes de grange
les porte roulantes en bois servait de rideaux et ne laissait rien deviner ce qui s'y cachait.
je lève la tête et regarde Monsieur
il fit rouler la première porte
un fauteuil en cuir rouge trônait sur une estrade.
il prit la badine du porte parapluie et souleva ma robe noire, me caressa l'intérieur de jambes légèrement écartées.
il passait le pointe de la badine sur mon pubis, pointant mon clitoris, descendant entre mes lèvres.
il posait la badine sur le fauteuil.
il vint derrière moi et remonta sa main du haut de mes cuisses vers les fesses relevant ma robe; de l'autre main il me maintenant avec son bras sur mon cou.
sa main monta des fesses vers le ventre puis sur les seins.
"enlève cette robe salope"
son ton était tendre et cela tranchait avec la dureté des mots
restant sur mes chaussure à haut talon, je levais la robe lentement par dessus ma tête, sentant son regard intense sur moi
il était assis , badine à la main et de la badine il fit signe en montrant ses pieds
je marchais vers LUI , balançant mes hanches jusqu'à un mètre du fauteuil
la je me mis à genou et me prosternais et restais prosternée.
au sol la température était vraiment plus basse.
je commençais à trembler d'inconfort, de froid, d'incertitude…
sa badine caressait mon dos et me faisait frissonner.
bizarrement , j'entendait toujours les voix.
sa badine montait dans la ligne des fesses en descendait , puis remontait et continuait sur mon dos, mes épaules, mon cou.
"à genou!"
je me relevais et vit ses yeux rieur et un collier cuir et métal dans ses mains.
il se pencha et me le mit.
y ajouta une laisse.
se leva.
commençait à marcher en tirant sur la laisse : j'étais obligée de le suivre à 4 pattes.
des rires et des éclats de voix à nouveau.
il fait rouler une autre porte de grange en bois.
là je vis étalés des jouets sexuels de toute sorte, et accrochés des outils BDSM.
je le regardais d'un air inquiet.
il prit un gant latex , l'enfila puis vint vers moi.
il s'agenouillait derrière moi.
il me pénétrait avec deux doigts.
il les faisait aller et venir si vite que je ne put pas résister à gémir et crier.
j'entendais ma mouille et elle éclaboussait mes cuisse chaque fois que ses doigts sortaient.
il s'arrêta.
puis recommençait mais avec d'autres doigts en plus.
cela allait si vite, je ne pouvais jouir mais je gémissait dans un état second, ne sachant plus où j'étais, ne sachant plus si je souffrais ou avait du plaisir.
il s'arrêta.
me caressait le dos , la tête, en me disant, tu es si belle en chienne ma soumise.
cela me détendis et me rassurais et je le regardais avec reconnaissance pour la chaleur qu'il m'apportait.
le bâillon m'empêchait de parler
il me caressait la tête une dernière fois et se releva
il fit rouler la dernière porte de grange.
là je vis une niche, une gamelle d'eau et une autre vide.
là encore il y avait des bougies ici et là qui donnait une lumière tamisée.
c'était très intime.
je levait la tête et là je compris d'où venais les voix.
il y avait un ovale dans le plafond qui laissait voir une tablée d'hommes et de femmes
j'était là, à 4 pates, en laisse, devant une niche de chien et des gamelle de chien et ces personnes était là comme au théâtre pour un spectacle.
Sa badine me caressait le dos.
il accrochait la laisse à la niche.
il levait la tête en demandant : que doit faire cette chienne pour gagner sa queue?
un seule voix s'exclama: vivre tout un week-end comme une chienne, ainsi elle gagnera sa queue.
vous êtes tous d'accord avec ce défi?
un grand mmmmmmmm de voix multiples se fit entendre, comme un roulement de tambour.
bien il en sera ainsi et elle pourra rejoindre notre chenil humain si elle gagne sa queue avec mérite.
fin de l'épisode
à suivre