Elle
Bonsoir,
Une nouvelle pour le concours :
ELLE :
Toi et moi, cela fait 4 mois que nous nous croisons.
Nos enfants sont dans la même classe, ton fils est le meilleur ami du mien.
Devant l’école tes sourires sont rares, mais ils dégagent une lumière, font naitre en moi une chaleur… Et ta voix…
Mais ton attitude est froide et fermée, difficile de t’arracher un « bonjour », c’est à peine si tu me regarde.
Peut-importe après tout, je suis mariée. Et toi, surement occupé par une grande brune incendiaire…
4 ans plus tard, tu amène ton fils à l’anniversaire du mien, tu sembles me remarquer pour la première fois en franchissant le seuil de ma maison.
Tes yeux se posent sur moi et ton sourire s’illumine, ce sourire qui me réchauffe d’une manière qu’il ne devrait pas.
Ce jour-là, nous n’avons discuté que quelques minutes, mais quel trouble as-tu fait naître en moi…
Quel désir secret as-tu allumé ?
Que penserait ta brune incendiaire si elle savait ce que tu déclenche chez moi…
Bref, ni pensons plus… Vas retrouver ta brune et moi mon mari qui rentre de sa séance de sport…
3 mois plus tard, rentrées des classes, les deux mois de vacances m’ont fait t’oublié.
Je suis sereine pour cette rentrée. La vie suit son train-train, pas de surprise en vue.
Je te retrouve devant l’école en compagnie de ton fils, Tu lui souris…
Ce feu secret, que je croyais éteint s’embrasse à nouveau… Pourquoi ?
Nos regards se croisent un bref instant. Je rêve où ce sourire m’était destiné ?
En tout cas, je brûle plus fort…
Pas le temps de réfléchir, les enfants rentrent,
Nous nous retrouvons à la sortie, faisons quelques pas ensemble sur le trajet qui nous ramène à nos véhicules, échangeant des banalités.
Mais je sentirais toute la journée la brûlure de ta peau sur la mienne lorsque tu as effleuré mon bras pour prendre ton casque de moto…
Mais, tu m’avais caché que tu pouvais aligner plus de trois mots… Régulièrement nous nous croisons devant l’école et discutons…
A la fois pour mon plus grand plaisir, mais également à ma grande frustration, cela dure de plus en longtemps…
Plus je reste en ta compagnie, plus je brûle… Si tu savais l’effet que ta voix à sur moi…
Et le, trop…, rare contact de ta peau…
Dès que je peux, je rentre me soulager…
J’imagine tes mains sur moi, ton souffle dans mon cou… tes lèvres et ta langue me goûtant, me dévorant…
Tantôt, je t’imagine m’utilisant comme bon te semble, tantôt, je m’imagine te prendre en bouche, te faire perdre ton self-contrôle, devenir la déesse que tu supplie de te libérer…
Mais… Pince-moi, tu es célibataire !!
Comment se fait-il que je n’aie pas eu cette information plus tôt !
Et quelle est cette lueur qui s’allume dans tes yeux quand tu me regarde ? Est-ce un désir refoulé, secret que je vois dans ton regard ?
Arrête ! je te rappelle que je suis mariée…
Je ne sais pas si je vais résister longtemps…
Ni tenant plus, nous avons finalement franchis le cap !
Bien que se soit secret, discret, nous fleuretons avec toutes les lignes rouges, quittes à en dépasser quelques-unes…
On peut même dire que nous nous allumons carrément !
Discussions hots, mains baladeuses, regards aguicheurs… Je n’arrive pas à rester en ta compagnie plus de 5 min sans être trempée.
Je suis flattée lorsque je vois l’effet que je te fais
Te voir serré dans ton jean, mettre mes lèvres dans ton cou me donne de plus en plus l’envie de découvrir quel goût tu as…
Ce n’est qu’une question de temps avant que nous franchissions l’ultime barrière…
Aujourd’hui, j’ai décidé de te faire une surprise, je débarque à ton travail. J’ai envie de jouer un peu avec toi…
Jupe, talons, collants, petit haut sexy et le maquillage que tu aimes, rouge à lèvres et mascara…
Je frappe à ta salle de cours et suis accueillis par ta voix autoritaire. Ton « Entrez » me fait mouiller instantanément !
Tu verrais ta tête quand tu me vois rentrer dans ta classe.
Je capte immédiatement ton érection…
De cette voix qui m’excite, tu balance une excuse bidon à tes étudiants et tu m’emmène dans ton bureau…
Alors que tu refermes la porte de ton bureau, je viens me coller dans ton dos
Passe mes mains sous ton maillot, les amène sur ton torse
T’embrasse doucement dans le cou…
• Je ne te dérange pas ? tu as peut-être autre chose à faire ?
• Absolument pas, j’ai tout mon temps pour toi
• Tant mieux, sinon j’aurais du repartir
Tu penche ta tête en avant, j’en profite pour t’embrasser de plus belle, plaquant ma poitrine dans ton dos
Mes main montant et descendant le long de ton torse, jouant avec mes ongles.
Tu frissonne, j’adore ça… L’effet que j’ai sur toi m’excite…
J’enlève ton T-shirt, mes mains jouant avec ton corps, s’arrêtant à la limite de ton jean, mes lèvres dans ton cou, alternant bisous, mordillements…
Je sens ton souffle s’accélérer…
Je finis par déboutonner ton jean, le fait glisser le long de tes jambes, te mords franchement le cou…
Je passe devant toi et t’embrasse langoureusement pendant que mes mains descendent sur ton boxer.
Je quitte ta bouche, descends le long de ton cou, te mordille, mes mains ont glissés dans ton boxer,
Je continue de descendre, embrassant ton torse, mes mains entrainant ton boxer…
Je me retrouve à genoux devant toi, je capte ton regard…
• Qu’est-ce que tu veux ?
• Ta bouche
Si tu savais comme ça m’excite !
Je la prends en mains, fais glisser mes doigts lentement…
Tout en te regardant droit dans les yeux, j’approche ma bouche, te laissant sentir mon souffle, pendant que j’augmente la pression avec mes doigts.
Puis un coup de langue… J’aime ta réaction
Encore un autre, un gémissement de ta part.
J’ouvre plus grand la bouche et je la rentre lentement…
Au moment où je referme les lèvres sur ta bite, tu lâche ton plus beau
• Ho Putain…
je commence à faire de petit vas et viens en jouant avec ma langue…
Tes gémissements m’encouragent à aller plus loin, plus vite,
J’enlève ma main, je la mets plus profondément à chaque aller-retour
j’accélère.
Tes mains se pose sur ma tête, ton bassin commence à bouger…
Je sens que tu n’es pas loin de craquer, je ralentis, capte ton regard.
Tu t’aperçois que j’ai glisser une main sous ma jupe.
Tout en me caressant, je lâche un gémissement…
• Où veux tu jouir ?
• Dans ta bouche !
J’aime ça !
Je rouvre la bouche, la reprends lentement… Pour refaire monter la pression
J’accélère le rythme petit à petit
Ta bite étouffant mes gémissements
Ta main agrippe mes cheveux, tu pousses ma tête, me force à la prendre tout au fond de ma gorge,
Les larmes commencent à couler,
Je sens ta bite gonflée, prête à exploser,
je m’arrête net, laisse redescendre la pression pendant que je reprends mon souffle
Je joue avec ma langue, fait monter ta frustration
• Je te déteste
• Tu aimes me détester
D’un coup, je la reprends au fond de ma gorge
• Ho putain !
Je fait des vas et viens sur toute la longueur de ta bite, ma main sous ma jupe accélère, mes gémissements toujours étouffés…
Je cale le rythme de ma bouche sur celui de ma main,
Je sens ta bite se gonfler, je te vois cambrer le dos
Tes gémissements sont de plus en plus rapides…
D’un ton autoritaire et chargé d’excitation tu m’ordonne :
• Ne t’arrête pas !
Aucune chance
Je sens mon orgasme arrivé, je sens ton plaisir au maximum
Je me mets à trembler au moment où je sens que tu lâche prise
Je jouis au moment ou tu plaque ma tête contre ton bassin, te vidant complètement dans ma bouche
Je fait encore quelques vas et viens pour tout avaler, profiter de chacun de tes spasmes de plaisirs.
Je me relève, viens t’embrasser
Réajuste légèrement ma tenue, a peine mon maquillage, je veux pousser le jeu jusqu’au bout…
A quel point est-tu prêt à assumer ?
Tu me souris de ce sourire en coin si particulier tout en me raccompagnant à ma voiture, tu m’embrasse une dernière fois…
Tu murmures à mon oreille, de cette voix suave et envoutante :
• J’aurais ma revanche
Voilà… j’ai de nouveau un problème…J’ai encore envie de toi…
Je te tire la langue et te réplique :
• Je te déteste
Nous, ce fût brulant, incendiaire… Nous avons réchauffé l’hiver…
Nous aurions pu continuer comme ça encore longtemps, nous aurions même dû finir ensemble,
Mais c’est sans compter l'ironie de la vie…
La vie en à décider autrement.
La vie ensemble aurait été tellement excitante, tellement imprévisible, tellement belle, sensuelle…
Maintenant, sans toi pour me réchauffer, j’ai froid dans ma cage dorée, pourtant tu allumes toujours ce feu en moi quand je t’aperçois au loin…
Toujours ce besoin de toi en moi…
Un jour peut-être…
En attendant, tu reste mon plus grand et beau secret…