Mois des fiertés 2023 !

****ap Femme
55 Contribution
Auteurs de sujet JOY-Team 
Mois des fiertés 2023 !
Le mois de l'inclusivité et de la fierté en France célèbre et promeut l'inclusion et la diversité pour les personnes LGBTQ+. C' est une occasion de lutter contre les discriminations, d'affirmer les droits et la visibilité des personnes LGBTQ+.

  • Tu participes à un défilé ? Lequel ?
  • Est-ce que tu souhaites partager des expériences pertinentes ?

******u67 Homme
473 Contribution
Bonjour, à toutes les communautés.

Moi, je me revendique d'une seule. La même que tout à chacun!
HUMAIN je suis, et accepte toutes personnes en tant que tel...

Respectons nous les uns les autres, même si cela reste de l'utopie.
Bel journée à toutes et tous....

Coquinement votre. *hutab* *blumenschenk*
*********Love Homme
58 Contribution
Hmm...
Je vais apporter une petite caution "nuance" dans le sujet, ça pourrait galvaniser un débat intéressant :

J'avais participé à la Pride de Lyon en juin 2021 en tant que soutien, avec 3 amies lesbiennes-bis et un autre soutien. On s'était pailleté et chacun avait une couleur de l'arc-en-ciel attitré (j'étais le rouge ; polo rouge, short rouge, casquette rouge).

On suivait le cortège tous ensemble, on dansait, on riait, tout se passait bien. Puis au moment où l'on dépassait la place Poncet, on entend soudainement dans notre direction :
"LES HÉTÉROS DERRIÈRE, ON RESPECT !", par une demoiselle, les sourcils froncés, avec au-dessus de sa tête une pancarte où on lisait "Gouinement misandre".

Hmm...

Depuis, et après d'autres expériences similaires, je ne participe plus, et ne m'intéresse plus, aux Prides ou aux autre évènement affiliés.
*****ria
219 Contribution
Merci pour ce poste !

Pour rappel, le mois des fierté et ponctué de plein d'actualité (dont j'aurai pus partager quelque truc, mais terrassé par la fatigue je l'es pas fait j'en suis désoler) comme des débats, des projections, des manifestations, des prides, des expositions, des soirées ect...
Souvent, chaque ville qui participe à un bon programme n'hésitez pas à vous renseigner.

Bien que ce qui est surtout visible sois la pride, de façon festive et joviale, elle a pour bute de manifester et de visibiliser les minorité.
Elle est, même si d'apparence on dirais pas, un moyen de milité en parallèle avec les équipes et assos au gains de droits, ou à la préservation des droits acquis.

Pour rappel les premières prides étaient des manifestations contre l'autorité et les violence policière.

Donc, oui, certaine personne prennent très au sérieux, ces manifestations, et plus encore, apprécie moyennement que des personnes non LGBT+ ne perturbe l'événement (chaque personne à des sensibilité différente, et il est à comprendre aussi, que chaque groupe travail très dure pour concrétiser ses projets, souvent en rencontrant de l'opposition).
Tout ça pour dire, que la compréhension et la tolérance et à mettre de tout les côté pour évite les tensions inutile.

Personnellement, j'ai pas fait beaucoup de marche, mais j'aime quand c'est possible agir dans les différents événement autour des questions lgbt+.
Il y a encore beaucoup de boulot, pour toute les commu pour garantir les droits inaliénable, et en finir avec la violence, la haine et la discrimination.

N'hésitez donc pas à participer, et aider les différentes assos ou groupes qui œuvres lors de ces événements !

PS : 24 juin, salon LGBT+ sur Lille !
*********Love Homme
58 Contribution
(erratum, c'était la marche de 2020, pas de 2021 ; avant que les organisateurs ne séparent les gens par cortèges..)

J'en déduis que le comportement de cette demoiselle est donc tout à fait normal, justifié, et donc admis ?

Hmhm...

Enfin bon, bon mois des fiertés à tous et toutes.
*****e67 Femme
31 Contribution
Citation de **********its_U:
(erratum, c'était la marche de 2020, pas de 2021 ; avant que les organisateurs ne séparent les gens par cortèges..)

J'en déduis que le comportement de cette demoiselle est donc tout à fait normal, justifié, et donc admis ?

Hmhm...

Enfin bon, bon mois des fiertés à tous et toutes.

Il y a aussi de l’heterophobie… j’y ai aussi eu droit (alors que je ne suis pas hetero, et mes amis ne l’étais pas non plus…) un workshop entre potes où on est arrivé en retard, on a eu droit à « c’est toujours les hetero qu’on attend »…
*****ria
219 Contribution
@**********its_U , @*****e67 , je connais ni la situation, ni ce qu'il c'est passé, je n'est que votre point de vue.
Visiblement, @*****e67 vous étiez en retard, et je ne sais pas si @**********its_U vous aviez fait ou non quelque chose pour mériter une réprimande.

Je vais me faire l'avocate du diable, et je vais pas être tendre désoler tout de suite, parce que, on entend souvent ça "l'heterophobie".

Alors non, l'hetero phobie, comme le racisme anti blanc n'existe pas.

Vous n'avez pas était harceler, violenté, ou discriminé, sortie de force du cortège, ou insulter parce que hetero.

Vous avez était rappeler à l'ordre, car les hetero, bien qu'accepter sans soucis, doivent respecter et ne pas s'imposer en ce jour.

C'est comme ci une réunions féministe, regroupant des femmes pour parler de problème féminin, accepter la présence masculine pour écouter et soutenir, alors il serai exigé d'eux, une tenue exemplaire.
Simplement parce que:

-Le mois de fierté concerne seulement les personnes LGBT+ invisibilisé toute l'année.
-parce que, comme à chaque fois, des personnes anti LGBT+ lutte contre la pride, parfois en s'infiltrant à l'intérieur pour créer le désordre.
-parce que beaucoup de personnes hetero se fiche des luttes LGBT+ et viennent juste faire la fête au millieu de la pride.

De ce faite, oui, quand toute l'année, les hetero mettent la pression au LGBT+, lors de ces jours particulier, certain propos, ou juste un ras le bole général, peux faire gonfler certain propos.

Malgré tout, ils sont et seront très loin de la phobie, puisque, après tout, vous avez toujours était safe, et accepter malgré des remarques.

Le quotidiens LGBT+ pour rappel, c'est de vivre la phobies, au quotidiens.

Alors j'avoue que pour ma part, je trouve assez déplacer et très abuser de parler d'heterophobie, ou de vous plaindre, si vous avez simplement reçus des réprimande pour un comportement jugé non adéquat lors d'une pride.

Pour rappel, c'est un moyen de lutte et d'expression, beaucoup sont là sérieusement, pour faire passé des messages, pas pour s'amuser !
Vous avez le droit, mais respecter les personnes qui travailles dure lors de ces prides pour faire avancer les choses.
*********Love Homme
58 Contribution
@*****ria Hmm.

Je suis, à une vache près, à 60% - 70% en désaccord avec votre discours.
J'emplois toutes les forces de l'enfer et du ciel réunies pour ne pas pondre un pavé comme j'en ai l'habitude, histoire de ne pas scléroser le sujet de @****ap, et d'empêcher d'autres témoignages, plus à propos, de s'insérer.
A moins qu'elle ne nous accorde de continuer l'échange ici.

Autrement, je serais ravis d'en débattre bien plus profondément dans un Sujet plus dédié du Forum (si il y en a un). Bien qu'un débat demande de la nuance... Or vous semblée avoir déjà pris l'habit de juge et de jurée (à quand l'exécution ? eheh). N'allons pas dans l'accusatoire, s'il vous plaît. Pour vous citer :

La compréhension et la tolérance et à mettre de tout les côté pour évite les tensions inutile.

Photo de moi
****Joy Femme
2 125 Contribution
JOY-Team 
Bonjour à tous.tes,

Lors des débats, le ton utilisé doit être poli et objectif. Les attaques personnelles, la méchanceté ou la provocation n'ont pas leur place sur le forum JOYclub, pas plus que la discrimination ou la diffamation des autres membres, de leurs profils ou groupes sociaux. Différents points de vue peuvent coexister. Si vous voulez contredire d'autres messages, exprimez-vous avec respect et critiquez le contenu du message, mais n'attaquez pas l'auteur.autrice directement ou indirectement. Réglez les différends personnels via le courrier électronique du club privé et non au détriment de la discussion sur le forum.
******u67 Homme
473 Contribution
Bonjour tout.e.s. et tous.
@****Joy

Voilà ce que je souhaitais partager.
Mais n'étant pas modéra.teur.trice je ne pouvais intervenir de la sorte. MERCI

L'Homme a crée les différences. L'ETRE HUMAIN doit les rassembler. *hutab* *blumenschenk*
****is Homme
1 017 Contribution
Bonjour je veux pas relancer le débat, mais oui l'hétérophobie existe elle est juste non violente
quand au racisme anti blanc ça existe aussi le mots racisme veut juste dire préférer ça race avant

voila j'ai juste donner mon avis sur ces deux choses sans relancer le débat sur le sujet
*****ria
219 Contribution
J'avais écris tout un message pour montrer en quoi l'hetero phobie n'existe pas.

Puis je me suis rappeler, on est sur un poste sur la pride.

Pride qui sert en premier lieux à montrer et expliquer toute les violences, les discriminations, les difficulté quotidienne d'être LGBT+.

un mois dans l'année, les LGBT+ se réunissent ensemble pour lutter contre les difficultés, pour montrer au monde, que l'on existe.

Rappeler par exemple, quand dans la moitier des pays du monde, nous sommes interdit, où l'ont risque l'emprisonnement, l'assassinat.

Quand en France, on lutte encore, pour ne pas être viré de notre boulot, de notre familles.

Pour pouvoir avoir des enfants, des soins adapter.

Ou tout simplement, pour qu'on arrête d'être harceler, humilier, violenté au quotidiens.

Pour arrêter de compter les morts, du aux phobies diverse.

Au adultes, et aux enfants, tuer, ou ayant mis fin à leurs jours à cause de tout ça.

À la base, la pride, c'est pour commémoré la rébellion, les blessés, mort, d'une violence policière et societal abusive.

Et ce qui en sort, c'est, quelque personnes ayant mal vécus leurs pride parce qu'on leurs a fait une petite réprimande.

Je suis désolé, je comprend pas.

Je comprend pas, comment, dans ces conditions, on viens parler d'hetero phobie, de racisme anti blanc.

Vous êtes conscient de ce qu'est le racisme ? Les phobies ? Le sexisme ?

Parce que j'en doute.

Au millieu de personnes que vous avez côtoyé. Imaginé la violence et la souffrance de la majorité de ce qui marche.

J'ai beaucoup de mal, à comprendre comment on peux tout ramener à sois, dans ces conditions.

Quand ces un événement collaboratif, et surtout, LGBT+.
*********Love Homme
58 Contribution
Le pavé arrive *thème des Dents de la Mer* tuuh dum tuuh dum
Hmm..

Quand je parlais de « galvaniser un débat intéressant », je m’attendais à avoir des échanges plus cordiaux ; et non à lâcher une bombe.
Enfin… Allons au bout de l’idée.

Sur la remarque de @****is :

Le suffixe-phobis, du grec phóbos (peur) est utilisé d’une manière très inégale dans l’usage populaire, et a tendance, dans cet usage, à être systématiquement chargé d’émotion, et à colorer le discours d’une mélasse anxiogène dont chacun souhait s’extirper (ce qui en fait par ailleurs une arme rhétorique redoutable, dans la lignée du stratagème de « L’homonymie » de Schopenhauer).
Il en est de même pour le terme de racisme. La philosophe Aynd Rand le définit ainsi :

Dérive du collectivisme […] ; c’est le fait d’accorder une importance morale, sociale ou politique à la lignée génétique […] une évaluation automatique du caractère des hommes qui court-circuite la responsabilité d’exercer un jugement rationnel ou moral.
Rand, A., & Laurent, A. (2008). La vertu d’égoïsme , Belles Lettres, p85

Ce terme devient, dans l’usage, la mauvaise traduction d’une dynamique plus globale qui concerne tout groupe social, quel qu’il soit. Entendons que personne n’est épargné par les théories naïves, par la discrimination (pour ce qui est d’en souffrir comme de l’exercer), des croyances, inhérentes ou acquises, par, ou malgré, les groupes. Ces dynamiques se passent de la nécessité du caractère systémique ou de fondements institutionnels et étatiques (comme les Ricains en ont eu le secret durant les siècles derniers) pour s’appliquer. Se faisant, blanc(he)s et hétéros n’en sont pas dispensé(e)s. Mais il n’est pas question ici de faire une laborieuse analyse des dynamiques de groupe sur les deux derniers millénaires de l’humanité alors qu’on peinerait déjà à le faire sur les deux derniers jours d’une salle de classe.

« L’environnement est trop important, trop complexe, et ses ramifications sont trop changeantes pour que nous en ayons une connaissance directe. » (Walter Lippmann [1922])

Ensuite, pour en revenir au sujet principal, et aussi en réponse à votre dernier poste @*****ria

Le mois et la marche des fiertés : institution LGBTQ d’importation américaine venue des rues de New York dans les années 70. Or par essence, le système américain ne fonctionnant pas de manière similaire au fonctionnement de la France, toute pensée importée des mouvements ricains est à prendre à travers le filtre des différences de contexte qui existent entre un pays européen comme le nôtre et les É.-U.. Les origines laïques-démocratiques-universalistes (et très bourgeoises) des lumières en France sont très différentes du fédéralisme hamiltonien encore proche du christianisme qu’on trouve aux États-Unis. C’est comme vouloir effectuer une rédaction sur Mac avec les mêmes protocoles que sur Windows : faut se lever tôt…

Soyons francs : je n’ai ni une bonne expérience ni une bonne opinion du mouvement politique LGBTQ actuel. Mouvement politique oui, car, malgré l’universalité que celui-ci essaye de maintenir, je peux encore croiser un couple homo sans penser à un arc-en-ciel. Je distingue le concept de l’orientation sexuelle de l’LGBT, autant que je distingue la spiritualité et le déisme de la religion.
Disons que je suis en désaccord avec bien des branches de ce mouvement. Branches tellement diverses que ce mouvement souffre aujourd’hui de ce que souffre une religion sans clergé : une forme de libéralisme de la pensée et des ressentits qui s’adapte à toute individualité, et qui fait preuve, « sur un fond de concepts rigides, d’une souplesse gênante » pour reprendre les mots de Simone de Beauvoir (dont la phrase « on ne naît pas f*, etc. » est décidément bien trop incomprise, et usée bien trop frauduleusement par ceux et celles qui n’ont manifestement pas lu ses écrits). Celui-ci cherche alors constamment à insérer toute exception et individualité dans sa globalité, au détriment de sa cohérence.
Si l’on compte avec cela que c’est un mouvement d’appartenance essentiellement formé sur l’opposition, sa ligne directrice n’est donc formée qu’en réponse à ce qu’il considère comme oppressif. Son existence entière est conditionnée par son opposant, et non par une volonté créatrice d'une éthique salutaire. Pour citer tonton Nietzsche :

La morale des esclaves oppose un « non » à ce qui ne fait pas partie d’elle-même, à ce qui est « différent » d’elle, à ce qui est son « non-moi » : et ce « non » est son acte créateur. Ce renversement du coup d’œil appréciateur […] appartient en propre au ressentiment : la morale des esclaves a toujours et avant tout besoin, pour prendre naissance, d’un monde opposé et extérieur : il lui faut, pour parler physiologiquement, des stimulants extérieurs pour agir ; son action est foncièrement une réaction. »
La généalogie de la Morale (3e édition)/Frédéric Nietzsche ; traduit par Henri Albert. (s. d.). p50 — 54 Gallica.

Du fait de son libéralisme arrangeant et de sa dynamique de construction par l’opposition, c’est un mouvement en proie à un large panel de contradictions.
Et il doit pouvoir les entendre, sous peine de tomber dans le moralisme (et à bientôt s’autodétruire).

Si l’aspect commémoratif et de revendication est toujours à saluer, on peut cependant avoir une opinion sur les théories et la pensée idéologique du mouvement, dès lors qu’elle s’inscrit dans une volonté d’altérer l’espace public et les institutions. Car si, certes, dans le privé, chacun s’occupe de son cul comme il l’entend, dans la sphère publique, le mouvement LGBTQ doit pouvoir souffrir du même niveau de critique que tout autre mouvement contestataire et politique. Or, il semble qu’une réhabilitation du blasphème trône autour de ce mouvement. À l’époque où l’on craignait le mot « hérétique » et « excommunié », c’est aujourd’hui les termes « transphobe », « homophobe » et autre -phóbos qui sont aujourd’hui les cadenas du débat, lorsqu'on en use sous le joug de l'interminable et abusive extension du libéralisme des ressentits.

La question n’est pas tant de savoir si ce mouvement et son combat sont légitimes : ils le sont, car les oppressions sont encore présentes, et même inhérentes a la structuration certains groupes sociaux, culturels et cultuels. La question à se poser est : quels sont ses partis qui accepteront d’en affronter ses contradictions, et la critique extérieure ?

Et pour le coup, je trouve votre discours et vos trois derniers postes sensiblement représentatifs de ce questionnement :
– « […] apprécie moyennement que des personnes non LGBT+ ne perturbe l’événement |…]. »
– « […] reçus des réprimande pour un comportement jugé non adéquat lors d’une pride. »
– « […] ayant mal vécus leurs pride parce qu’on leurs a fait une petite réprimande. »
Vous partiez du principe que j’étais fautif dans la situation décrite avec la demoiselle (envers laquelle vous n’avez, en revanche, à aucun moment émis de critique ou de doute pour son comportement) en ayant « perturbé l’évènement » ou en ayant eu un comportement « non adéquate ». Vous faites de même pour ce qui est de mon vécu en diminuant la situation en « petite réprimande », alors que vous disiez plus tôt que « chacun à des sensibilités différentes ». C’est une forme de sélectivité que je trouve récurrente dans le mouvement LGBTQ, et dont je peine à en trouver les antithèses.

Si le terme d’hétérophobie vous retourne trop l’estomac, changez-en si besoin. Mais il est la traduction (maladroite, certes, mal venue, peut-être) d’une dynamique existante, et inhérente à tous les groupes sociaux. Et s’il est à bannir et à affronter dans certains groupes, pourquoi en serait-il autrement avec d’autres ? Et est-ce que le statut de militant ou de personne oppressée est-il suffisant pour excuser ou justifier ces dérives ?
Faute d’être concerné, ce sont des questions ouvertes et récurrentes que je trouve auprès de mon entourage, pro, amical, familial, hétéro, homo, et bi confondu.
Et pour l’exemple : l’année dernière, le directeur du forum Gay et Lesbien de Lyon avait démissionné suite à de forts désaccords sur la ligne directrice de la Pride (notamment la séparation et le non-mixage des cortèges, symptomatique du libéralisme que je décrivais plus haut). Ces questions se brassent aussi au sein du mouvement lui même. Elles sont là, et il va bien falloir y répondre de manière raisonnée.


Pfiou ! Bon c’était un exercice de pensée intéressant. Déso pour le pavé haha

J’espère que cette édition de la Pride 2023 se passera néanmoins pour le mieux, et que ce mois des fiertés sera marqué par de belles initiatives et progrès auprès de ceux et celles qui en ont besoin.
*****ria
219 Contribution
Pour commencer :
La pride est l'exemple même des contradictions, les paradoxes, et des évolutions des différents mouvements.

En effet, j'aime beaucoup qu'on rappel tout ça. En faisant comme si c'était taboo, étrangement, ça ne l'es absolument pas de la part de la commu, qui en a conscience et en discute beaucoup.
Ou que la pride est un modèle américain exporté qui ne fonctionnerais plus, quand les plus grosse pride se font à travers le monde comme en Europe, en Amérique du Sud, ou en Asie. Mais à part cela, c'est sur ça ne fonctionne pas.

Oui, certaine démission sont à noté, justement du a des désaccord. Notament sur les thèmes à abordé et à défendre, sur la façon dont elle dois se déroulé.

Tout les ans, de grande discution avec les diverse mouvement on lieux partout, avec des prides différentes, aux messages et au fonctionnement différents.

Non, il n'y a pas de taboo sur ce sujet au contraire, c'est assumer.
Mieux, la commu LGBT+ est sûrement celle qui gère le mieux toute ces question contradictoire, en les acceptant, et en y réfléchissant.

La pride, et plus exactment le mois des fierté, est un moment d'intense réflexion où les plus grande avancé se font, parfois avec fracas. Chaque pride prend alors des direction est des formes différentes.

Ensuite :
Si l'homophobie, la transphobie, ou autre phobies LGBT+ sont interdite par la lois (même si la lois est très défaillante à ce sujet sur l'application de cette dite lois), et strictement définie.
C'est pour rappel, ça fait jamais de mal.

Troisièmement :
Encore une énième façon de montrer les LGBT+ comme ne pouvant discuter en arguant transphobie et l'homophobie comme flambo.
Sauf qu'ici, personne n'a était traité de transphobe ou d'homophobe.
Ironie de la situation, par contre, c'est heterophobe qui est revenue à plusieurs reprise.

Quatrièmement :
Quand le débat consiste à dire que t'a sexualité est déviante, a nier ton genre ou ton sexe, ce n'est pas un débat.
Et bien souvent c' est de ça qu'il est question dans ces dit débats.
Je suis désoler, en effet, je ne débat pas quand on nie mon existante ou qu'on m'insulte, et là, ça tombe sous l'effet de la lois, ce sont des propos homophobes ou transphobes.

Tout comme le racisme ou le sexisme, il est parfaitement observable et parfaitement définie.

Donc non, les personnes LGBT+ ne refuse pas le débat ou les avis contraire tant que ceux ci sont respectueux ou tolérant.

Cinquièmement :
La "religion" LGBT+.
en faite, c'est juste ne rien comprendre à ce qu'est être LGBT+ ne serai ce qu'en France, pays où l'on est quand même privilégié.
Aujourd'hui, être LGBT+, c'est risquer d'être isolé, seul, et rejeté. C'est risquer de se faire agresser parce qu'on a embrasser dans la rue quelqu'un du même sexe.
C'est se faire insulter dans la rue parce que tu as une barbe, ou un me allure trop masculine en portant une robe.
C'est se faire insulté de monstre, de pédophile, de violeur, de personnes qui détruisent la société, de malade mental.
C' est, devoir faire ton coming out régulièrement, histoire de pas avoir de problème. C'est les coming out forcé, qui te mettent en danger.
C'est des manifestations de personnes qui luttent contre toi, contre ce que tu es !
Et tout ça je l'es vécu, et tout ça n'est rien comparais à ce que vivent beaucoup d'autres, en bien pire !

Donc, oui, quand t'es LGBT+, tu cherche des groupe de personne comme toi, pour être rassuré, compris, protéger. Mais aussi, pour te comprendre, savoir ce que tu es, pouvoir mettre des mots sur t'es maux.

On ne va pas à prier, on va voir tout les propos intolérable balancer pendant la nuit sur nos réseaux.
On ne va pas à l'église, mais voir des personnes qui ne nous insulteront pas quand on embrasse quelqu'un du même sexe que sois.
On ne lit pas la bible, mais les forum, les articles, et les pages qui nous concernes, pour mettre des mots, et trouver d'autre comme nous.
On ne fait pas pèlerinage. On fait un coming out.

Bref, appeler ça religion si ça vous plaie, mais si y avait pas autant de violence, y aurai pas besoin de tout ça.

Sixièmement:
Juste pour info, nos luttent pour notre genre, sexe, sexualité, c'est pour nous, c'est nous que ça concerne, pas vous.
Mieux, en faite nos victoire ne sont que des améliorations pour vous.
Que les hommes cis peuvent de plus en plus se maquillé et porter n'importe quels vetments, ou que les femmes sois de moins en moins victimes de discta, ça découle grandement des luttent LGBT+.
En quoi ça vous impacte vous ?
Oh, d'apprendre un pronoms de plus et de respecter comment chaque personne s'identifie ?
C'est si compliquer ?
Ou alors c'est parce que l'homme cis hetero blanc est moins présent à l'écran ou dans la littérature ? (pour info, minoritaire sur la planète).
Ou alors c'est de voir des gens bien plus heureux et avec une meilleurs santé mental en pouvant pleinement exprimé leurs identité qui vous déplais ?

Les luttes LGBT+ ne vous impacte pas négativement, donc, pourquoi vous opposé à ça ?

Encore une fois ironiquement, vous parliez des LGBT+ constamment en opposition.
Ici c'est bien vous qui vous vous opposé.

Dernier point :
Je ne défend pas vriament, les personnes qui vous on réprimandé.
Il y a une petite dimension à ne pas oublier, vous êtes là, vous pouvez vous défendre, les personnes dont vous parlez non. On ne sais ni pourquoi, ni comment, on en est arrivé là.
C'est assez facile de dire qu'un tel m'a mal parlé. Mais pourquoi ? Car là aussi est la question, qu'elle est la raison qui a poussé ces personnes à dire de tel choses ?
Nous n'avons qu'une version de l'histoire, incomplète qui plus es.
Voilà pourquoi, j'ai pris ce partie, celui, de contrebalancer une accusation (d'hetero phobie, quand même, dans un des deux cas), car les personnes ne pouvaient se défendre elle même.

Pour finir :
Ce message beaucoup, beaucoup trop long pour pas grand chose.
Je ne comprend toujours pas, comment, lors d'un événement qui regroupe des personnes qui prennent très chère dans la tronche, dire "j'ai mal vécu ma pride parce qu'on m'a fait une réflexion", a côté de gens qui au quotidiens prennent tellement pire que ça. Et à aucun moment se dire, ben je vais lutter pour que c'est personnes n'ai plus à être autant sur la defensive, autant agressé.

Parce que si cette simple petite chose vous met dans cette état, imaginez ce que récent quelqu'un qui le vie en permanence.
Juste ça.
****is Homme
1 017 Contribution
Euh j'ai juste confirmer que oui l'hétérophobie existe tout comme le racisme anti-blanc sans lancer un débat avec des arguments que je connais déjà

Et c'est pas parce que je suis hétéro que je connais rien sur le monde lgtbqia+ !
*********Love Homme
58 Contribution
A sa décharge, cher @****is, vous avez affirmé plutôt que confirmé/démontré ce que vous soutenez ^^" ... Un peu de démonstration ou d'illustration serait le bienvenu eheh


A nous cher @*****ria

Passons sur le ton un peu rustre de vos messages ; je comprend votre amertume et vous vous sentez très certainement attaqué ou ciblé. Ce n'est pas le but de mes démonstrations, et rassurez vous, ce que j'expose n'est pas dirigé vers vous directement. Nul besoin d'être mordant dans vos réponses.
Cela étant dit ;
beaucoup de phrases à part et à l'emporte-pièce, ça facilite pas la semoule.. Je vais tenter de ne rebondir *boing boing * que sur l'essentiel de mes accords et désaccords :

"La pride est l'exemple même des contradictions, les paradoxes, et des évolutions des différents mouvements."
Vous m'enlevez les mots de la bouche, je n'aurais pas dit mieux.
Tout dépend ensuite de ce que vous appelez "fonctionner" ; ce n'est pas parce qu'un évènement a lieu qu'il est nécessairement efficacement entreprit (parole d'ancien président d'assos). Et cela ne veux pas dire non plus qu'il est salutaire. Certains et certaines sont même très peu réceptif, pour y revenir, à la nouvelle ligne directrice de la pride de Lyon, et considèrent que le message transmis par cette non-mixité assumée va à contre-sens du message d'ouverture et de tolérance qu'est (et je le crois aussi) censé renvoyer la Pride.

• Ce qui me surprend le plus dans votre discours, c'est que vous parlez de la communauté LGBT comme d'un(e) seul(e) homme/femme, et dites que celle-ci "gère le mieux toute ces question contradictoire, en les acceptant, et en y réfléchissant.".
Si, comme vous semblez le penser, la communauté LGBT gère parfaitement sa pensée et sa philosophie, alors nous confrontons à un autre problème : l'hermétisme.
Si les membres intérieur à cette communauté sont, comme vous le dite, soudés comme un seul parti (et ce malgré l'infini extension de ses combats et l'incroyable multiplicité de ses exceptions), par expérimentation, et avec un peu de recherche, nous voyons bien que celui-ci semble bien imperméable aux avis extérieurs. Si une personne extérieur transmet son avis, quelques soit ses intentions et son attitude, elle se confronte toujours à la plus solide des barricades et à la plus ferventes contre-attaque. Là n'est pas le soucis, une contre attaque est toujours la bienvenu dans un débat (si tant est que cela se fasse sur les idées...). Mais c'est que nous ne comptons plus le nombre de débat télévisés, par réseau, in vivo, qui sont cadenassés par l'accusation -phobos (de nouveau Schopenhauer serait fière). Cet hermétisme aux discours extérieurs donne une image de sectarisme à ce mouvement qui ne joue guère en sa faveur.
C'est un peu le ressenti que j'ai pour ce débat-ci à la vue de vos réponse véhémentes. En tout cas, il transparait de votre discours que la communauté LGBT est admirable en tout point et ne souffre aucune tard quoi qu'elle entreprenne. Je m'attendais à plus de nuance.
Cela me fait très ironiquement penser au serpent Chouai Jen de Sun Tzu :

"Si vous voulez tirer un bon parti de votre armée, si vous voulez qu’elle soit invincible, faites qu’elle ressemble au Chouai Jen. Le Chouai Jen est une espèce de gros serpent qui se trouve dans la montagne de Tchang Chan. Si l’on frappe sur la tête de ce serpent, à l’instant sa queue va au secours, et se recourbe jusqu’à la tête ; qu’on le frappe sur la queue, la tête s’y trouve dans le moment pour la défendre ; qu’on le frappe sur le milieu ou sur quelque autre partie de son corps, sa tête et sa queue s’y trouvent d’abord réunies. Mais cela peut-il être pratiqué par une armée ? dira peut-être quelqu’un. Oui, cela se peut, cela se doit, et il le faut."
Zi, S. (2015). L’art de la guerre, treizième article

"Si l'homophobie, la transphobie, ou autre phobies LGBT+ sont interdite par la lois (même si la lois est très défaillante à ce sujet sur l'application de cette dite lois), et strictement définie."
Elle n'a jamais été aussi bien défini en effet ahah. Il n'y à qu'à voir l'évolution de l'article L1132-1 du code du travail depuis mai 2008 à mars 2022. Cette multiplicité des cas n'est pas dénuée d'un certain comique.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006072050/LEGISCTA000006160704/2022-09-01/

• Pour ce qui est "d'hétérophobie" je me suis contenté d'une précision, ce n'est pas un terme que j'utilise, pour les raisons que j'ai cité tantôt. Si je devais l'utiliser, ce serait pour des cas manifestes qui justifient l'emplois du suffixe -phobos.
Du reste, j'ai déjà beaucoup parlé de l'abus du -phobos comme arme rhétorique, et maintien ma position sur ce sujet faute d'argument contraire.

"je ne débat pas quand on nie mon existante ou qu'on m'insulte, et là, ça tombe sous l'effet de la lois, ce sont des propos homophobes ou transphobes."
En deux points:
J'ai récemment eu une discussion avec une camarade libertine qui tenait des mots semblables : nier l'existence, manquer de respect etc. C'est un point qui est récurent dans bien des débat dont je parlais plus haut ; et vous le dite d'ailleurs vous-même : "Et bien souvent c' est de ça qu'il est question dans ces dit débats.".
Or, la question à 1 million est bien entendu : à partir de quand parle-t-on de transphobie ? A partir de quel moment "nie-t-on l'existence" d'une personne ? Ces question sont, je crois, la clef de voute de bien des dissentions et de bien des divergences.
Il est d'ailleurs intéressant de voir que le débat se dirige naturellement vers la question particulière de la transidentité. Cela en dit pas mal sur la place que le transitivisme à pris dans le combat LGBT.
Nous pouvons nous en référer à la loi, comme vous en parliez. Pour ce qui est de l'insulte, en effet, si vous êtes injurié, diffamé, ou s'il y a provocation à la haine en raison de votre orientation ou de votre identifié de genre, vous pouvez vous en remettre à la loi.
En revanche, "nier l'existence" ne renvoi à aucun texte de loi. Il y a, à la rigueur, un texte sur "LES PRATIQUES VISANT A MODIFIER L'ORIENTATION OU L'IDENTITE DE GENRE D'UNE PERSONNE"
"Les pratiques, les comportements ou les propos répétés visant à modifier ou à réprimer l'orientation sexuelle ou l'identité de genre, vraie ou supposée, d'une personne et ayant pour effet une altération de sa santé physique ou mentale sont punis de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende."
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000045098545/#LEGISCTA000045098545
Cela étant, cet alinéa ne prend effet que dans 5 cas définis, et est suivi par :
"L'infraction prévue au premier alinéa n'est pas constituée lorsque les propos répétés invitent seulement à la prudence et à la réflexion, eu égard notamment à son jeune âge, la personne qui s'interroge sur son identité de genre ou qui envisage un parcours médical tendant au changement de sexe."

Et maintenant, attention écartez vous un peu, j'enfonce une porte ouverte : discuter les termes, interroger, questionner, remettre en cause, démontrer un contraire ou pointer des zones d'ombres ou des contresens, montre un désaccord, n'est pas de la transphobie, et n'est pas un appel à la haine. Or, dans les débat dont nous parlions, ce sont ces cas de figures qui sont d'offices qualifiés de transphobe, ou qui sont reliés à la "négation de l'existence". C'est une chose, à mon avis, particulièrement problématique.
(Pour ce qui est des lois, n'étant pas un spécialiste en la matière, je m'en remet à vous, qui faites parti d'une association, et devez être plus au fait de ses questions, pour corriger, en toute bonne foi, mes propos.)

• Relisez mon poste précédent.
Je ne crois pas avoir énoncé que la mouvance LGBT était une religion...
Et je ne pensais pas que vous prendriez mon analogie du religieux et du blasphème au sens propre...
Enfin.

• Je crois que c'est à votre sixième point que vous avez été le plus caustique... Passons.
"c'est nous que ça concerne, pas vous."
Pour reprendre mon poste précédent, il faut distinguer la sphère privée de la sphère publique. Dés lors qu'un mouvement entreprend une action d'évolution ou de modification dans le fonctionnement des institutions, de structures, dans le sport, dans les conventions sociales, et qu'elle va jusqu'à impacter les protocoles de recherche universitaire, je pense être en bonne partie concerné.

"Les luttes LGBT+ ne vous impacte pas négativement, donc, pourquoi vous opposé à ça ?"
Le choix (ou non) de la forme affirmative est de nouveau interessant et très révélateur. Vous auriez pu simplement me demander "en quoi les luttes LGBT+ vous impact négativement ?"
Or, n'ayant pas gardé les cochons ensemble, ahah, je ne vois pas sur quoi repose votre affirmation.
Par ailleurs je ne crois pas que mon désintérêt, que j'exprimais dans mon premier poste, soit une opposition à la cause LGBT... De nouveau, le débat et le questionnement semble sonner comme une attaque ou une opposition ferme pour vous. Il me semble avoir, dans mon second poste, souligné que le mouvement LGBT et son combat restaient légitimes.

Voilà pourquoi, j'ai pris ce partie, celui, de contrebalancer une accusation
Je vous remercie de reconnaitre que vous avez préféré prendre le parti de la contre-accusation plutôt que de chercher à rester neutre.
"d'hetero phobie, quand même, dans un des deux cas"
Vous utilisez donc le terme d'hétérophobie ?



Je n'ai pas l'ambition de vous convaincre sur les différents points abordés à la suite de ses débats, vos avis semblent particulièrement orientés et trop cristallisés (et remplit d'animosité) pour en espérer autant.
Mais cela reste un exercice de pensé, d'introspection et d'écriture qui me plait assez. Quelle souffrance de ne pas pouvoir échanger de vive voix.
****is Homme
1 017 Contribution
@**********its_U
euh j'ai dit que j'avais pas envie de créer un débat, j'ai juste répondu a une remarque

et je vois pas pourquoi on doit toujours justifier ces propos si je le dit c'est que c'est du vécu je m'invente pas une vie pour pouvoir participer au forum
désoler pour le racisme a chaque fois soit le gsm existait pas ou sur le moment j'ai pas eue l'idée de demander a la personne d'attendre que je l'enregistre ou me le mette par écrit

quand a l'hétérophobie suffit de voir certaine réaction !!!

mais bon pour l'avenir et pouvoir justifier mes propos je vais faire des capture d'écran de tout ce que j'écrit et filmer ce qui se passe en extérieur pour faire plaisir *haumichwech*
*****ria
219 Contribution
@**********its_U , je n'ai rien contre vous, mais contre des arguments que vous pouvez tenir, ou qui sont similaire à ceux que vous pouvez tenir.

Oui je suis mordante comme vous dite.
Tout simplement parce que c'est aussi fatiguant de devoir se battre s'en arrêt.

Ce n'est pas vous particulièrement qui m'agace, mais ces propos, trop longtemps entendu (ou du moins, bien moins respectueusement énoncer que les votres).

Et surtout, des compréhension de surface qui oublis souvent que non, ce qu'on vois n'est pas la totalité de l' événement.

Loin de là, et que souvent, des critiques oublis facilement de prendre en compte pas mal de points important.

Pour commencer, j'ai bien précisé à plusieurs reprise que la commu LGBT+ vis avec ses contradictions et paradoxe.

Et non, ce n'est pas la perfection, et non cela ne se fait pas sans heurt ou sans violence.
Par contre, il existe peu de manifestation capable de lier des groupes aussi disparates que les prides pour défiler et lutter ensemble.
C'est en cela que je la salut.
Les heures conséquentes à parler et trouver des compromis pour essayer (pas toujours avec succès) de lier les attentent de chaque personnes.

Reprenons la pride de Lyon, histoire de rester dans le thème.
Les choses changes et évolue, la pride a tenté des choses, c'est mal passé. Il y a eu des discutions avant, pendant et après. Des conclusions, et des idées, a voir ce qu'il en ressortira.
L'intérêt ? Tout simplement tester et essayer. Si ce planté pour certain et mal, on apprend aussi beaucoup de ses erreurs.

Ce que je dis, c'est que des personnes différentes sont capable malgré tout, de discuter ensemble, malgré les difficulté, pour avancer ensemble, ou parfois pas.
Mais cela n'empêche pas de réessayé l'année d'après.

Beaucoup de personne sont déçus de Lyon, oui, et après, elles vont allé dans d'autre pride.

Et je suis moi même profondément déçus d'une pride qui avait mis au devant, un groupe de TERF (féministe extrémiste anti trans) qui on scandé des propos transphobes sans même que les orga n'interviennent.

Il y en as des très grosses, d'autre petite. Pour tout les goût, des plus festives au plus militantes.
Chaque pride choisie aussi ses thématiques, les choses qu'elles mettent en avant.

Et peut être que de l'extérieur ça ne représente rien.

Pourtant, ces mouvement on un impacte énorme sur des politiques des villes où région, voir pays. Cela permet de montrer le nombre, ou d'appuyer des demandes posé toute l'année et mis en attente par des structures, d'états ou non, et faire pression en montrant l'importance de la communauté.

Comme déjà dit, la pride, n'est qu'un des évènement du mois des fierté, elle sert à appuyé et à visibiliser sur bon nombre de projets ou de demande faite à côté.

Donc, peut être que pour vous, le fonctionnement de certaine pride est défaillant ou peu fonctionnel.
Peut être en apparence. Mais pas en pratique.
Les prides on permis de grosses avancées, et ceci, partout dans le monde où elles ont pus être lancé.
Elles permettent aussi, une visibilité qui diminue les violences et les agressions la ou elles ont lieux.

-vite digression sur la non mixité. Si la non mixité existe, et pas que dans le mouvement LGBT+, c'est justement pour donner la parole et la puissance à des minorité qui galère à l'optenir au millieu des autres (je pense à la non mixité dans le millieu féministe, ou au groupe ace, intersex par exemple qui ne sont pas assez écouté). Et même si ce cortège fut critiqué, il a le mérite d'avoir essayé. A voir si, oui ou non, ce cortège a atteint ses objectifs et si il est intéressant d'en refaire ou non.

La non mixité n'est amen aucun cas une atteinte à la tolérance, bien au contraire.
C'est de faire en sorte de rendre plus claire la voix de personnes qui ne sont pas entendue.

Bien que cette non mixité n'est pas toujours mis en place de façon optimum.

-oui je parle de la commu LGBT + comme un groupe seul, malgré les nombreux groupes différent. Les différentes buttes, et même si les groupes sont parfois en oppositions les uns au autres.
Parce que malgré tout, c'est comme une famille, soumis au même problème, au même discriminations, au même violences.
Des personnes qui partages des points commun, et qui luttent aussi dans la même direction.

Oui, la commu LGBT+ est une fractal de gens différents, qui parfois même ne s'entendent pas.
Et donc ? Lors d'événement, comme la pride, nous sommes capable de marcher ensemble.

Donc, pourquoi je parlerais pas d'un organisme qui lutte ensemble, ou pas, mais qui reste un organisme énorme et COMPLEXE.

-vous voulez parlez des débats télévisé.
Allons y, on arrive à une petite dizaine de débat sur la transidentité sur les chaîne public. (mais cela marche avec tout, et malgré ça on entend peux parler de personne intersex, ace, pan, par exemple à defaut de la transidentité, homosexualité).
Dans la moitier d'entre eux, il n'y avait même pas de personnes trans.
Dans la quasi-totalité, ont était invité l'observatoire de la petite sirène, qui lutte activement contre la transidentité, a coup d'études condamner par la communauté scientifique car fallacieuse et terriblement mal faite. Qui utilise de fake news, ou déforme des faits, use de propos insultant et transphobe (je reviendrais la dessus) pour créer la peur et le degoux.

Donc, bon, quand au final, seul deux débats sur cette dizaine a vue un expert de la transidentité, une personne trans, et une opposition, perso J'appel pas ça du débat, pour commencer, et surtout, la "sure présentation" des LGBT+ (souvent énoncé) ne viens pas de la commu LGBT+ mais de personne opposé, qui créer un lieu, les média, pour balancer toute les conneries sans oppositions.

Donc, oui, là c'est carrement LGBTPHOBE.

J'en profite, beaucoup de représentation LGBT+ sur l'écran sont dénoncé par la commu LGBT+ elle même car fait sans leurs conseil, de façon stéréotypé ou fausse.

Bref,je dérive !

-parlons phobies:
Qu'est ce que nier l'existance de quelqu'un ?
Commençons avec la lois et la constitution:
Dans la constitution est noté le droit à l'autodétermination, et ce même pour les mineur.
C'est à dire, que seul nous même pouvons nous définir et définir nos orientations amoureuses ou sexuel.
Et ça implique d'autre truc sans rapport avec le genre et la sexualité.

C'est un droit inaliénable (et régulièrement bafoué).

À rajouté avec la lois précédemment cité par @**********its_U , et les lois sur l'appel à la haine, la lois sur les discrimination (de genre, de sexe, ou de sexualité).
C'est un mélange de lois, certaine, encore trop rare, définissant les phobies, et celle plus général sur les violences et la liberté d'expression par exemple.

La discrimination et la façon régulièrement la plus simple façon de voir de la phobie.
Prenons mon cas.
Le mégenrage : le mégenrage accidentel n'est pas transphobe. Le mégenrage volontaire l'es, car elle démontre déjà, qu'on nie le genre de la personne et qu'on décide pour elle (en opposition au droit à l'autodétermination) et, discriminante dans le sens où, une femme cis se verra correctement genré, et une personne trans non. Donc, une différence de comportement entre une personne et une autre avec comme raison, son genre (ou sa sexualité) est de la discrimination.

Bref, dire à une personne bi, qu'elle est une lesbienne ou une hetero qui a pas choisie, pour les même raisons, et de la biphobie.

Et ce, les émissions qui ne respect pas les pronoms, font preuves de transphobie.

Bien que le mégenrage, ne sois pas punis en France, comme beaucoup de chose qui le devrais, les plaintes pour discrimination pour ce motifs son conséquente.

Comment voir de la phobie :
Tout simplement quand on dit ou sous entend que notre existance et contre nature, de l'ordre du crime, dangereuse pour la jeunesse ect... On est dans le domaine de l'incitation à la haine, et par exemple, de la diffamation, ou simplement de l'insulte, si la personne ciblé par ces propos serai de couleur on parlerais de racisme.

On entend aussi régulièrement que les personnes LGBT+ sont tous des pédophiles.
Voilà.

Quand on sous entend que l'on n'a pas choisie sois même, qu'on est endoctriné est compagnie, et que la personne qui ne nous connais généralement même pas, viens nous expliquer que non, on est pas bi, trans, homo, que c'est juste une phase, que ça passera.

C'est nier ce que l'on est, en plus d'infantilisation, et de nous prendre pour des débiles.
Bref, oui, c'est aussi de la phobie.

Dire à quelqu'un que transidentité, bisexualité, intersexalité, ect... N'existe pas c'est carrément nier la réalité. Et nier l'existence de la personne.
C'est de la phobie.

Je pourrais continuer longtemps mais, ça serai très long.

Bref, généralement, il y a une des choses qui tombes lors des "débats" autour des LGBT+.
Donc, oui, c'est souvent assez irespectueux, dégradant, et humiliant de débattre,quand on est LGBT+.

(et je parle en connaissance de cause).

Voilà pourquoi, les personnes LGBT+ sont souvent sur les dents quand on viens "débattre".

PAR CONTRE : j'ai moi même était accuser de transphobie, ou de pas être trans par des personnes trans.
En effet, oui, il y a des abus, et des accusation non fondé. J'ai même défendue des personnes qui était accusé de transphobie de façon injuste.
Mais cela reste mineur, et assez rare.
Mais je comprend, que ça existe, et comment on le ressent !
Et je condamne les accusations gratuites et non fondé.

-vous avez en effet souligné l'intérêt nécessaire et les réelles souffrances et discrimination, en cela, je vous remercie !

Bien que mon passage sur le faite que les droits LGBT+ ne vous impacte pas, c'était absolument pas contre vous, mais généraliste, puisque ça fait partie des arguments régulièrement énoncé dans les "débats" avec LGBT+, le faite que les non LGBT+ ne veulent pas changé au profit des personnes LGBT+.

Vous n'étiez absolument pas ciblé la dessus, je salut même votre message !

-oui j'ai pris au sens strict votre partie sur la religion, car c'est un reproche (qui dans des cas particulier, que la commu elle même dénonce) régulièrement fait de façon sérieuse.
Oui, je me la suis prise en pleine figure déjà.
Donc, oui, je l'es pris comme je l'entend habituellement.

-Ah, et oui, on peux débattre de transidentité, sans soucis, si on reste respectueux, et surtout, qu'on écoute les concerné, et les proffessionel de la question, tout comme les autres choses.

Par contre venir et dire que c'est comme ça pas autrement, que c'est contre nature, et que c'est nous le problème (ce qui est la majorité du temps ainsi que ça se passe) ben oui, désoler on le tolére pas. C'est pas plus compliquer.

Voilà.
J'espère que cela clarifie et modère une partie de mes propos.

Et surtout, que cela explique aussi que je sert les dents quand je répond à ce genre de poste.

Puisqu'on devrais se focaliser sur les raisons, le besoin et les conséquences des prides, plutôt que sur ce qu'il ne va pas.

Aucune attaque personnel de ma part sur personne, je ne cible que les arguments, je ne vous connais pas, et par écris on manque aussi de compréhension (notament sur l'ironie), désoler si je n'ai pas compris certaine tournure.
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