Post coitum - Comment le vivez-vous ?

********ouam Homme
11 Contribution
Auteurs de sujet 
Post coitum - Comment le vivez-vous ?
Salut, je serais curieux d avoir vos témoignages au sujet de la baisse d excitation post orgasme. Dans mon cas c est très fort, encore pire si c est une soirée alcoolisée, bien sur ça revient après un moment, mais je trouve assez perturbant. J ai l impression d être une autre personne. Avec une chérie pour qui j ai des sentiments ça va, mais dans les cas de rencontres d une nuit, je trouve ça assez violent des fois. Si je pouvais disparaître par magie, je le ferais immédiatement, même si je veux que la personne soit bien, c est une blague, hein. Par exemple, je peux continuer sur du sexe oral si la fille a encore envie, mais personnellement c est plus pareil au niveau de mon plaisir de donner. Je dois ajouter que bien que la pénétration soit pas mon but, l érection revient plus lentement après les 40 ans. Vous le vivez comment vous? Hommes et femmes?
Je cherche pas de conseils genre, relache toi ca va revenir, je le sais, plus des ressentis personnels, des anecdotes.
J ai connu des copines qui me disaient la meme chose, apres le premier orgasme, plus envie, clope, un petit verre, mais rien tout de suite...
*****_ER Homme
120 Contribution
Salut Quamouamouam,

Avez-vous déjà abordé le sujet des "hormones" ?

Ceux-ci sont fabriqués à partir de protéines complexes et d'acides aminés individuels. Pour la production de toute hormone, il faut d'abord être génétiquement prédisposé. Il se peut que vous ne puissiez pas du tout accumuler certains précurseurs ou les décomposer trop rapidement et que trop peu d'hormones circulent dans le sang.
Ou les éléments de base nécessaires manquent dans l'alimentation quotidienne, comme c'est souvent le cas avec la mauvaise alimentation pre-fabriqué d'aujourd'hui du point de vue de l'apport en nutriments. La nourriture a bon goût, mais ne contient pas la quantité nécessaire de substances vitales pour passer la journée. Et cela a ses effets sur les hormones, les neurotransmetteurs.
Je pense que JC n'est pas le bon endroit pour approfondir ce sujet d'épigénétique ici, mais il existe de nombreux forums et sites Web informatifs. Beaucoup de chance!
****is Homme
1 018 Contribution
Il existe des plantes qui peuvent aider ! et qui sont naturelle

par contre prendre des hormones peut causer des lésions ou il faudra en prendre toutes ça vie
********ouam Homme
11 Contribution
Auteurs de sujet 
Merci beaucoup pour vos réponses. Je prends en compte bien sûr, mais je me suis peut-être mal exprimé, c était plus une curiosité de comment vous vivez les minutes après psychologiquement. J entends bien que les hormones jouent un rôle très important, j avais lu un peu là dessus les effets de la prolactine et ocytocine. J ai peut être noirci le tableau pour m expliquer! 😂 Je pensais plus à un échange de comment vous vous sentez. Merci en tout cas
*****_ER Homme
120 Contribution
Citation de ********ouam:
Je pensais plus à un échange de comment vous vous sentez.

Si facile? Après je suis fatigué et idéalement je m'endors. *kuschel*
*****e67 Femme
31 Contribution
Bonjour,
Personnellement pour l’après il faut continuer à être doux, pas besoin d’avoir du sexe, juste un contact où j’me sente bien et pas rejetée, pas utilisée juste pour le plaisir de monsieur. C’est déjà arrivé de nombreuses fois, la façon brutale. En général ça n’arrive qu’une fois, je ne revois pas une personne qui me traite comme ça.
****ef Homme
91 Contribution
Alors, ne sachant pas trop si on peut renvoyer un lien vers le post d'un autre forum, je copie ici ma réponse sur le forum "Après éjaculation, fin du rapport ?" qui est en lien avec ce sujet :

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Je témoigne en tant qu'homme, mais non au nom des hommes :
Une des raisons que je préfère le désir au plaisir, c'est parce que le plaisir masculin (majoritairement : l'éjaculation) tue justement tout désir. Je m'explique :
Lorsque je fais l'amour à une femme, c'est le désir que j'éprouve pour elle qui me fait apprécier ce moment : je me sens vivant, brûlant, conscient, attentif au moment, aux sensations, à l'échange, bref, à tout ce qui fait qu'il est si bon de faire l'amour.
Lorsque j'éjacule, toute cette somme de sensations et d'émotions retombe soudainement, l'énergie dont je brûlais à l'instant précédent disparaît d'un seul coup, et le pic de jouissance (très variable, voir*) laisse immédiatement place à une faiblesse généralisée, et une absence totale du désir, désir qui faisait quelques secondes auparavant tout l'attrait de cette activité. Physiologiquement, c'est un épuisement brutal. Psychologiquement, c'est la glissade vers un état hébétude qui, pour ma part, s'il n'est pas suivi très vite d'un endormissement, laisse place à un vague-à-l'âme, voire une déprime difficilement contenue, qui gâche franchement tout ce qu'il y a eu de bien avant.
Dans l'éjaculation, je trouve toujours frustrant le fait que mon pénis, quelques secondes auparavant vaillant phallus dispensateur et receveur de sensations, soit subitement insensible...
C'est pourquoi je n'aime que rarement éjaculer avant d'être sûr-sûr-sûr-certain que ma partenaire a "eu son compte", ou que je préfère finir sur une baisse de tonus sans éjaculation : parce que mon état après éjaculation (tant physiologique que psychologique) rend difficile (voire : artificiel ou forcé) tout geste envers ma partenaire. Je préfère m'occuper d'elle pour la faire "descendre" en étant encore désirant, plutôt qu'ayant eu mon plaisir mais " m'astreindre " à le faire alors que je ne suis pas disponible dans mon corps et ma tête.
Pour résumer :
• Si elle comprend que de mon côté "après le pic", c'est "rideau", et qu'il n'y a rien de personnel envers elle ni d'égoïste à l'arrêt brutal de mon attention vers elle, alors, c'est OK.
• Si elle souhaite " être accompagnée lors de sa descente ", il faut qu'elle soit sûre que l'absence d'éjaculation pour moi ne soit le signe pour elle ni d'un désintérêt de ma part, ni d'une absence de satisfaction.

(bon, j'ai essayé de faire clair, j'espère que je l'ai été...)

Et pour mon renvoi :
• oui, le plaisir ressenti lors de l'éjaculation est très variable en nature et en intensité. ça peut être une "libération" lente, qui soulage (souvent le cas lors d'une éjaculation interne) ; parfois violente et spasmodique (plutôt avec une "finition" manuelle, avec forte stimulation du gland). Quelques très rares fois j'ai expérimenté une perte totale de conscience de plusieurs secondes (dans ces moments, ça semble très long, rétrospectivement). Mais ça a toujours été qu'avec la même partenaire...
(K, si tu lis ces lignes... Fais-moi signe, tu me manques... *love3* )
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********ouam Homme
11 Contribution
Auteurs de sujet 
Citation de ****ef:
Alors, ne sachant pas trop si on peut renvoyer un lien vers le post d'un autre forum, je copie ici ma réponse sur le forum "Après éjaculation, fin du rapport ?" qui est en lien avec ce sujet :

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Je témoigne en tant qu'homme, mais non au nom des hommes :
Une des raisons que je préfère le désir au plaisir, c'est parce que le plaisir masculin (majoritairement : l'éjaculation) tue justement tout désir. Je m'explique :
Lorsque je fais l'amour à une femme, c'est le désir que j'éprouve pour elle qui me fait apprécier ce moment : je me sens vivant, brûlant, conscient, attentif au moment, aux sensations, à l'échange, bref, à tout ce qui fait qu'il est si bon de faire l'amour.
Lorsque j'éjacule, toute cette somme de sensations et d'émotions retombe soudainement, l'énergie dont je brûlais à l'instant précédent disparaît d'un seul coup, et le pic de jouissance (très variable, voir*) laisse immédiatement place à une faiblesse généralisée, et une absence totale du désir, désir qui faisait quelques secondes auparavant tout l'attrait de cette activité. Physiologiquement, c'est un épuisement brutal. Psychologiquement, c'est la glissade vers un état hébétude qui, pour ma part, s'il n'est pas suivi très vite d'un endormissement, laisse place à un vague-à-l'âme, voire une déprime difficilement contenue, qui gâche franchement tout ce qu'il y a eu de bien avant.
Dans l'éjaculation, je trouve toujours frustrant le fait que mon pénis, quelques secondes auparavant vaillant phallus dispensateur et receveur de sensations, soit subitement insensible...
C'est pourquoi je n'aime que rarement éjaculer avant d'être sûr-sûr-sûr-certain que ma partenaire a "eu son compte", ou que je préfère finir sur une baisse de tonus sans éjaculation : parce que mon état après éjaculation (tant physiologique que psychologique) rend difficile (voire : artificiel ou forcé) tout geste envers ma partenaire. Je préfère m'occuper d'elle pour la faire "descendre" en étant encore désirant, plutôt qu'ayant eu mon plaisir mais " m'astreindre " à le faire alors que je ne suis pas disponible dans mon corps et ma tête.
Pour résumer :
• Si elle comprend que de mon côté "après le pic", c'est "rideau", et qu'il n'y a rien de personnel envers elle ni d'égoïste à l'arrêt brutal de mon attention vers elle, alors, c'est OK.
• Si elle souhaite " être accompagnée lors de sa descente ", il faut qu'elle soit sûre que l'absence d'éjaculation pour moi ne soit le signe pour elle ni d'un désintérêt de ma part, ni d'une absence de satisfaction.

(bon, j'ai essayé de faire clair, j'espère que je l'ai été...)

Et pour mon renvoi :
• oui, le plaisir ressenti lors de l'éjaculation est très variable en nature et en intensité. ça peut être une "libération" lente, qui soulage (souvent le cas lors d'une éjaculation interne) ; parfois violente et spasmodique (plutôt avec une "finition" manuelle, avec forte stimulation du gland). Quelques très rares fois j'ai expérimenté une perte totale de conscience de plusieurs secondes (dans ces moments, ça semble très long, rétrospectivement). Mais ça a toujours été qu'avec la même partenaire...
(K, si tu lis ces lignes... Fais-moi signe, tu me manques... *love3* )
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Merci pour ton témoignage ! C est super de partager ton intimité.
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