Suite de la petite nouvelle "pré-érotique".

Suite de la petite nouvelle "pré-érotique".
Bonjour à toustes, je profite d'un confinement forcé pour vous proposer la suite de la nouvelle que j'avais publié mi-avril.
Pour celleux qui n'aurait pas lu la première partie c'est un récit à la première personne, pas nécessairement auto-biographie ni fantasme, d'une personne qui attend la visite d'une autre personne... Ici on prend le récit au moment où la sonnette vient de retentir. Voilà. Faites en ce que vous voulez ! J'ai tenté des relectures aurtografiks mais je suis clairement pas expert donc si vous voulez me corriger (hum...) je ne me formaliserai pas.
Joli printemps à toustes !

« C’était bien toi. Tu n’as pas eu besoin de m’écrire ou de m’appeler pour trouver l’immeuble, l’escalier, la porte… Il faut dire que mon message était clair, la route totalement balisée pour que tu arrives pour la première fois chez moi sans hésiter ni chercher.
Tu voulais arriver déterminée comme une tueuse et préparée comme une espionne. Objectif réussi. Ta cible en vue tu ne l’as plus quitté des yeux et moi j’ai eu toutes les peines du monde à maintenir ton regard.
Magnétiques et brulants tes yeux ont eu vite fait de renvoyer mon aplomb à la porte alors que tu franchissais le seuil de l’appartement sans dire un mot.
« Tu peux enlever tes chaussures si tu veux…
• Et si je veux pas ?
• Je trouverai un autre moyen.
Après avoir parcouru le salon du regard, tes yeux reviennent vers moi avec une expression plus douce, tu me dis que ça ne te dérange pas de te mettre pied nu.
• Non vraiment c’est comme tu veux, les chaussures ne me dérangent pas. Et ça ne devrait pas t’empêcher de boire un verre ?
À peine ma question posée tu t’approches de moi. Je retrouve la détermination qui habitait ton regard juste avant de t’assurer que je sois à l’aise.
Ton visage est maintenant très près du mien. Je ne bouge pas d’un centimètre comme en présence d’un grand prédateur. Je sens ton souffle. La chaleur envahit mon torse nu. Je suis parcouru d’un frisson que je parviens tout juste à contrôler. Mon sexe sous mon jean enfle et se durcit irrémédiablement. Ton corps magnétique l’attire comme un aimant.
Tu passes d’abord ta main dans mes cheveux. Ton regard s’attendrit, tu sais que ce geste me calme. Tu sais malgré tout que je bouillonne, que j’essaie de contrôler mes bras pour qu’ils restent le long de mon corps, impassibles.
Une deuxième main dans mes cheveux et mes yeux se ferment. Comme sous hypnose. Tes doigts savent trouver ces endroits qui contrôlent mon corps et mon esprit.
Je sens une des mains quitter mon crâne. Je garde mes yeux fermés.
Très doucement je te sens effleurer ma bite au travers du jean. Décollage immédiat. La combinaison tête/teub m’envoie directement en orbite.
Je prends une grande inspiration de plaisir et j’ouvre les yeux sur ton visage plongé dans le mien.
Je suis encore hypnotisé par tes mains et mon corps ne bouge pas. Il n’y a qu’un seul membre qui semble être animé par sa propre volonté et tu sais l’emprise qu’il a sur moi.
Sans détourner le regard tu le libère de sa prison de coton. Déjà en érection, déjà humide, déjà contre toi. Sans enlever ta main de mes cheveux tu recouvre mon sexe avec ta robe et continue de me caresser sous ton propre vêtement.
Nos intimités se frôlent tandis que mes jambes immobilisées par mon jean à moitié descendu tremblent irrémédiablement.
La main qui caressait mes cheveux se raidit autour de ma nuque et ma tête bascule. Tu rapproche tes lèvres de mon cou. Elles effleurent. Je sens ton souffle. Je sens ta poitrine. Je sens ta langue qui remonte jusqu’à mon oreille. Frisson incontrôlable. Je gémis. Le son qui sort de ma bouche nous fait rire tous les deux. Puis tu reprends ton sérieux pour me glisser à l’oreille :
« Je mouillais déjà en bas de ton immeuble. Je vais prendre froid si tu ne t’occupe pas immédiatement de moi. »
Mes yeux roulent dans leurs orbites comme les rouleaux d’une machine à sous. Mes bras inanimés se réveillent et attrapent ta taille fermement. Mes poumons se remplissent de ton air. Mes lèvres vont chercher les tiennent et je t’embrasse furieusement.
Tu t’abandonne alors et mon corps devient le moteur. Je te retourne et te serre contre moi. Mon sexe par miracle toujours sous ta robe se pose à la naissance de tes reins. Pratiquement entre tes fesses. Alors que mes mains parcourent ton corps je le sens se cambrer en va et vient contre moi.
Ma main droite sur ta cuisse, mon bras gauche entre tes seins pour que mon autre main attrape ta gorge. Je mords tout ce que je trouve. Ma main droite remonte sous ta robe, sur ta culotte. Mes doigts frottent la soie chaude qui protège encore ta chatte.
« Est-ce que je peux… »
Tu ne me laisse pas terminer ma phrase, tu attrape ma tête et contorsionne la tienne pour m’embrasser en opinant du chef.
Mes doigts s’engouffrent par le bas sous ta culotte. Je sens une chaleur incroyable. Puis en écartant très légèrement tes lèvres je libère le témoin de ton excitation. Mes doigts s’en imprègnent immédiatement. Nous sommes tous les deux inondés. Mon majeur, mon index et bientôt toute ma main nage au milieu de tes poils, tes lèvres, ton clitoris, tout ton entrejambe.
Je bande si dur que ma bite maintenant calée entre tes fesses t’empêche de te retourner.
Je suis totalement concentré sur ton plaisir et le mien n’en est que plus ardent. Je vois tes bras se débattre pour attraper mes testicules, ma nuque, mes poignets, mes jambes, mes fesses.
Tu attrapes enfin mes cheveux fermement en m’implorant de te prendre immédiatement.
« Je te veux en moi. »
J’avais le plan secret de t’installer sur le fauteuil pour te lécher comme une reine mais j’étais obligé de me rendre à l’évidence. Mon sexe avait déjà fait un travail de teasing intense et je bandais si fort qu’il fallait tu le sentes. Tout était si beau.
Toujours contre toi mon étreinte se resserre et je mords la base de ton cou pendant que mes bras s’affairent à enlever totalement mon jean. Enlever ta culotte. Nous étions à ce stade de notre relation où nous avions déjà convenu qu’il était possible pour nous de faire l’amour sans préservatif. Je ne pouvais pas m’empêcher de me réjouir à l’idée de pouvoir poursuivre mon geste sans interruption.
C’était la première fois que l’on s’accordait ce privilège.
L’excitation à son paroxysme, tu me guidais vers la table qui séparait le salon de la cuisine comme si tu avais déjà tout repéré. Ta main m’attrape tendrement et me dirige en toi lentement.
En te pénétrant pour la première fois nous avons tous les deux étés parcouru d’un frisson monumental qui résonna en éclat de voix à l’unisson :
« Oh ce que c’est bon… »
*******ives Couple
2 Contribution
Très sympas à lire ! *schwitz*
J'espère que tu continueras à écrire !
Merci @*******ives !
*****ond Femme
684 Contribution
*schwitz* 🥵🥵🥵🥵🥵

Merci @*******ndM !
Magnifiquement écrit et ultra torride!
Une fois de plus j’y étais!
À quand un autre récit ?
Photo de moi
****Joy Femme
2 125 Contribution
JOY-Team 
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