(bon, je me lance)
En fait, je m'aperçois en commençant ce message que je n'ai jamais parlé ni écrit à propos de mon sexe, comme ça, à brûle-pourpoint.
. Mais dans le feu de l'action et dans l'intimité d'une rencontre, oui
... Il m'est arrivé d'écrire des textes érotiques où je parlais de sexes d'hommes et de femmes en toutes sortes de termes et d'images (on ne peut pas se contenter de "bite" et "chatte"
), mais parler de la mienne... Bon.
Ce que je préfère chez moi, au repos, ce sont les testicules, quand elles sont bien épilées. Parfois, je me laisse aller, il repousse environ un centimètre de fin duvet, mais quand je m'applique à l'entretenir un peu tous les jours, c'est le velouté de la peau que je préfère. Je mes soupèse, les dorlote comme j'aime qu'on me le fasse. Il a fallu des années de patiente épilation pour atrophier les bulbes pileux, et à présent, plus de forêt aux longs, drus et biscornus poils noirs. Et quand c'est lisse, doux, j'aime me regarder dans le miroir : mon sexe est au centre de mon corps, j'aime le tout qu'ils forment.
Pour ma part, je ne lui ai pas donné de petit nom, je le considère comme une extension de moi-même, non comme une prothèse ou un être autonome. S'en occuper, c'est comme soigner sa peau, se raser ou se shampooiner : c'est à la fois un geste d'hygiène, de paraître et de bien-être. J'imagine que c'est la même chose que lorsqu'une femme évalue la tenue et l'aspect de sa poitrine...
Alors comme le sujet était "pénis" et non "phallus" (notez la différence
), j'ai ajouté la photo suivante à celles déjà postées... (le gros plan était-il nécessaire ? J'ai jugé que non pour l'instant...) Voilà-voilà, à la prochaine !