Histoires érotiques

Bonjour,
Merci @******a89 pour ces succulentes et truculentes histoires
Je trouve les récits et romans érotiques beaucoup plus jouissives qu'un film ou une vidéo. Au fur et à mesure de la lecture, j'ai l'impression de rentrer dans l'histoire tantôt m'identiant à un des personnages masculins, ou parfois comme un voyeur.
Mes premières lectures érotiques ont été la série " Brigade Mondaine de Gérard de Villiers " plus tard chez des bouquinistes j'ai déniché des rééditions de romans érotiques écrits au 19ème siècle et oui !!! les récits sont comme les sextoys, cela ne datent pas du 20ème siècle
Je me rappelle d'un roman qui décrivait la vie dans une maison close à Paris fin 19ème siècle. Tout au long de l'histoire, une expression me faisait sourire, la fille après avoir fait son affaire avec monsieur, elle allait au cabinet de toilette pour se laver et faire ressortir " les enfants de monsieur ( le sperme ) "

Je dois avouer lire assez peu de littérature érotique, mais il faut que je m'y mette car j'en écris!
(et les auteurs le disent, n'écrivez pas sans lire!).

Et quelques chose me dit que mes textes seront prochainement disponible à la lecture ^^

Super

Oui la lecture offre l'avantage de faire fonctionner son imagination qui peut amplifier le récit ou le transposer sur les personnes qui nous plaisent...Les bons sont rares, mais quand on en trouve c'est top

Bonjour,
Aujourd'hui cela va être après midi cocooning.
Seul , confortablement installé dans le fauteuil, devant un feu crépitant, un verre de cognac " il faut que je précise comme à la télé : avec modération " et le tome 1 de la trilogie qu'on vient de m'offrir 50 nuances de Grey.

Bonne lecture

@*****e09 je serais curieuse d'avoir ton retour sur les 50 nuances de Grey. Je ne l'ai jamais lu, mais je n'en ai pas entendu beaucoup de bien !

Bonjour Eva,
Lecture en cours, pas de souci je ferais un retour de mon ressenti

Tu devrais vraiment le lire, j ai adoré, de plus ça ma donné des fantasmes, et donner conscience de ma libido enfuie en moi...

En tant que livre, c'est très mal écrit et peu agréable à lire ! Les idées sont sympas mais l'écriture de l'autrice est vraiment moyenne, la narration peu intéressante. En fait, c'est un porno en livre donc si on enlève l'histoire, la narration et la forme, c'est sympa !

Non et puis surtout c'est pas du tout bienveillant. Le consentement, comment dire...
Franchement, tu remplace le héros friqué par un mec lambda, c'est pas un livre érotique mais ça fini en livre policier pour agression sexuelle/viol, etc...
Bref, absolument pas un bon exemple!
Et niveau pratique BDSM pas safe, ça se pose là aussi...

C'est ce que j'avais cru comprendre pour 50 shades of grey @***76.

Sur un autre sujet, @****nta parlait de romans dark erotic, où le consentement n'était pas toujours au rdv.
Moi-même j'avais lu "les infortunes de la Belle au Bois Dormant", où, avec le recul, le manque de consentement qui est la base même de l'histoire, me pose problème...

Bonjour Eva,
À propos du livre tome 1, que dire...
Quand je me remémore toute la publicité qui a été faite sur le livre lorsque le film est sorti, je dirais presque le film est mieux que le livre, j'ai lu des livres érotiques avec des passages BDSM beaucoup plus captivant, je me suis un peu ennuyé, l'histoire c'est une secrétaire au service d'un homme d'affaires, la particularité dans son contrat est doit accepter une soumission à des jeux sexuels, mais l'imprévu c'est qu'elle tombe amoureuse de cet homme raffiné mais pervers.
Sincèrement Eva si tu ne le lis pas, tu ne perderas rien, mais bon ce n'est que mon avis et ressenti personnel.

Bonjour a tous je vous partage une petite histoire ( fiction ou réalité) que j'ai écrit / vécu...


Cunnilingus
Tu es en lingerie sur ton lit, les yeux bandés, on a rendez-vous.
Je vais t’offrir un cunnilingus comme promis.
J’arrive dans l’encadrement de la porte, je te regarde, mon sexe se dresse déjà juste en t’admirant. Te voir là en soutien-gorge et culotte me rend fou. Tes formes sont si belles...
Je m’approche de toi, me glisse sur ton corps. Je suis nu pour te faire sentir la chaleur de mon corps. Je glisse jusqu'à ton visage. J’approche ma bouche de ton cou et de ton oreille et te susurre doucement :

• Coucou beauté !

Je dépose un bisou au creux de ton cou.

• J’ai une folle envie de te dévorer mais je vais aller doucement,
je veux sentir ton corps prendre du plaisir. Tu es prête ?

Un "Oh oui..." sort de ta bouche doucement.
Ma bouche se pose dans ton cou pour le couvrir de bisous et de léchouilles. Ma main descend doucement le long de tes formes. Ton épaule… Ta bretelle de soutien-gorge… Ton sein couvert de ce tissu. Ma main se pose sur ton sein, je le pétris, le caresse, joue avec le tissu, je sens ton téton qui se dresse mais n'y prête pas attention. Je te retire ton soutien-gorge.

• Tes seins sont magnifiques !

Ma main revient sur ton sein, mes doigts tournent autour de ton aréole et de ton téton. Ma bouche vient sur ton autre sein, je le couvre de bisous en oubliant ton téton. Ta poitrine en veut plus. Tes tétons veulent des caresses. Ma bouche souffle sur ton téton, ma langue passe dessus, ma bouche l'aspire, je joue avec dans ma bouche ; ma main caresse maintenant ton autre téton, je le caresse, le titille, le pince même.
J’en veux plus, je veux ta mouille, ma main glisse sur ta culotte je le caresse joue avec. Je te la retire.
Je porte ta lingerie à la bouche, la sens, la lèche... Humm..!

• Tu mouilles déjà, coquine !

Ma main passe sur ta fente pour récupérer un peu de mouille, je lèche mes doigts... Humm !

• Ta mouille est un délice !

Je porte mes doigts à ta bouche pour te faire sentir ton liquide.
Mes main caressent tes cuisses, les écartent, ton corps est chaud de désir. Ma tête vient se glisser entre tes cuisses. J’embrasse l’intérieur de tes cuisses, ton mont de Vénus, tes fesses.

• Tu le veux ton cunnilingus ????

Avant même la réponse, ma tête s’engouffre entre tes cuisses, je lèche tes grande lèvres, je joue avec ta vulve. Ta mouille coule sur mon visage cela m’excite. Ma langue passe dans ta fente, je sens ton clito déjà dressé, je joue avec, ma langue le fait tourner, le lape, le lèche. Humm mm...
Ma langue glisse le long de ta fente à plusieurs reprises pour lécher ta mouille, ma main caresse ta vulve elle aussi, mes doigts se glissent doucement vers l’entrée de ton vagin. Je te pénètre doucement alors que ma langue a déjà repris son amusement avec ton clito, je te sens te tendre, j’accélère doucement le mouvement, mes doigts te fouillent le vagin, ma langue aspire ton clito, mon autre main se glisse entre tes fesses et joue avec ton anus. Je vais toujours plus vite, mes doigts et ma langue sont de plus en plus précis, tes fesses s’ouvrent, je te pénètre l’anus d’un doigt, tu es remplie. Je sens ton corps qui se tend, je continue mon cunni, je veux te sentir venir, ta mouille me coule dessus et ton plaisir commence à venir, je continue encore et encore. Tu soupires, cries, me supplies de continuer. Ton corps se tend, mes doigts et ma langue ne s’arrêtent plus, je te sens venir.

• Crie ! Jouis ! Tu es belle...

Tu jouis en un cri. Je continue un peu doucement avant de me retirer et de déposer des baisers sur ta vulve, ma bouche remonte le long de ton corps en te couvrant de baisers. Je me glisse vers ton oreille.

• Tu es sublime et succulente quand tu prends du plaisir..!

Je me glisse hors du lit, te contemple et te laisse doucement te reposer.

Voici un petit récit écrit il y a quelques temps maintenant...

"Jules et Cathy arrivèrent devant cette porte.


Une petite pancarte dorée affichant le nom de l’endroit où ils étaient arrivés. « La Découverte ». Un peu perdus, Jules appuya sur le petit bouton de la sonnette juste au-dessous de la petite pancarte. Un ding sourd se fit entendre à l’intérieur. Quelques secondes plus tard, la porte s’ouvrit et ils entendirent une voix féminine leur souhaiter la bienvenue à « la Découverte ».


Elle se présenta, Apolline. Elle portait une tenue particulièrement sexy bien que très discrète. Elle leur demanda s’ils avaient bien réservé leur soirée et Cathy confirma en donnant leur nom. Apolline sourit en voyant leur nom sur la feuille de réservation et leur demanda si c’était leur première fois à « La Découverte ». Jules répondit que oui, que c’était d’ailleurs leur première fois tout court dans un club libertin, mais que des amis proches lui avaient fortement conseillé celui-ci. Apolline leur demanda qui, si ce n’était pas indiscret et Jules lui répondit que non ce n’était pas indiscret. Romane et Georges étaient leurs amis. Apolline sourit mais ne dit rien. Elle fit appeler Candie pour qu’elle aille accompagner Jules et Cathy aux vestiaires. Elle lui souffla un petit mot à l’oreille en vitesse, Candie regarda le couple et sourit à son tour.


Jules et Cathy se regardèrent. Candie prit la main de Cathy et l’entraîna vers les vestiaires. Elle leur expliqua les règles de la maison. Ils se préparèrent en vitesse, Jules, plus timoré garda son pantalon et sa chemise alors que Cathy se mit en nuisette en soie rose avec juste un string qui allait parfaitement avec. La présence de Candie avec eux ne la dérangea pas un instant.


Candie leur demanda s’ils étaient prêts et Cathy acquiesça. Candie leur fit faire un petit tour du club. Elle les emmena d’abord au bar où un serveur leur proposa quelque chose à boire. Candie, avant qu’ils aient le temps de répondre, leur donna un bracelet en soie. Le serveur sourit et leur redemanda ce qu’ils voulaient boire. Un peu stressé, Jules prit un
Ti’punch
comme il les aime. Cathy commanda un mojito. Une fois servis, le couple reprit la visite avec Candie. Elle leur montra toutes les salles, leur expliqua qu’il leur était possible d’avoir accès à toutes, mais que du fait qu’ils débutent, il vaudrait mieux qu’ils commencent progressivement. Cathy et Jules acquiescèrent.


Ils arrivèrent dans une petite alcôve où Candie les installa confortablement.
Ils se regardèrent un peu perdus mais ça ne dura pas longtemps. Une superbe métisse arriva et s’installa
juste
à côté de Cathy. Elle était accompagnée d’une rousse un peu plus petite. Elles ne portaient qu’un string l’une et l’autre. Si Cathy se sentait très attirée par cette métisse à la démarche féline, Jules, qui avait un faible pour les rousses, se senti inspiré par cette dernière.
Elles demandèrent si elles ne gênaient pas et Cathy répondit que non. Les deux femmes se présentèrent. La rousse s’appelait Astrid et la métisse
Simone, en référence à Nina SIMONE
expliqua-t-elle
. Jules
fredonna quelques airs de se
s chansons dans sa tête. Astrid glissa sa main dans le dos de Simone qui se retourna et l’embrassa. Elle se retourna vers Cathy et l’embrassa doucement.


Elle attendit un retour. Cathy h
ésita, Jules lui dit qu’ils étaient là pour ça. Qu’elle avait carte blanche. Cathy embrassa alors Simone
. Astrid se joint à elles deux. Jules sentait son sexe se gonfler à la vue de ces trois femmes mélangeant leurs langues. Les mains de Cathy glissèrent sur les bras de Simone, remontèrent jusqu’aux épaules pour finir par ses seins. Elle avait une magnifique poitrine. Des seins caramel avec des aréoles noires. Quant à Astrid, elle était blanche opaline, des seins très clairs avec des aréoles d’un rose très vif. Astrid et Simone étaient un peu un yin et yang de peau
x. Astrid et Cathy caressaient maintenant les seins de Simone, qui elle, glissa
ses mains entres leurs cuisses et commença à les caresser. Cathy eut un petit moment d’hésitation et Simone interrompit ses caresses entre ses cuisses. Cathy reprit sa main et lui fit comprendre que ça lui plaisait. En effet, ses cuisses étaient déjà bien humides.


Simone prit délicatement la main de Cathy pour l’accompagner sur le corps d’Astrid. Elles la caressèrent à mains unies. Simone guidait Cathy qui se laissait aller. Cathy retira sa main de celle de Simone et alla découvrir le corps offert d’Astrid seule. Cette dernière s’allongea sur le sofa sur lequel tout le monde était installé et
écarta ses cuisses. Simone qui continuait de lui caresser le sexe par-dessus son string fit glisser ses doigts dessous cette fois. Elles avaient l’air de bien se connaître. Astrid était trempée. Pendant que les doigts de Simone jouaient avec son sexe, Cathy vint effleurer son clitoris durci d’excitation avec son pouce. C’était la
première fois qu’elle en caressait un autre que le sien. Simone constata que ça lui plaisait énormément.
Cathy mouillait d’une excitation encore inconnue jusqu’à présent. A côté, Jules, qui avait sorti son sexe, commençait à se caresser. Son sexe dur perlait de
plaisir. Il avait envie de participer à cette aventure que vivait Cathy, mais se disait qu’il voulait la laisser profiter et qu’elle l’inviterait quand elle le souhaiterait.


Cathy, qui continuait de caresser le clitoris d’Astrid, voulut le goûter. Elle écarta un peu plus le string de la jeune rousse et vint déposer quel
ques baisers sur sa toison de
feu
puis après l’avoir embrassé, elle titilla son clitoris offert avec sa langue. Astrid gémit doucement sous la douce chaleur de cette langue. Simone retira ses doigts et laissa la place à Cathy. Elles s’embrassèrent en vitesse et Simone regarda Jules se caresser.


Elle se déplaça et se rapprocha de Jules. Elle engagea la conversation avec lui. Pendant qu’il lui expliquait leur venue dans ce lieu, Simone prit son sexe en main et la caressa à son tour.
Avec elle, tout était fluide. Sa présence et ses gestes étaient enivrants. Jules se laissa faire. Ils discutaient de tout, de rien pendant que Simone caressait son sexe. De temps en temps, quand Jules parlait un peu plus longtemps, elle prenait son sexe en bouche et le suçait. Elle aimait sentir son gland gonfler de plaisir dans sa bouche. Jules aimait beaucoup cette conversation improbable.
Simone sentit une main se poser sur ses fesses et les parcourir.

C’était un grand homme blond avec un fort accent nordique. Simone présenta Sven qui salua tout le monde comme si de rien n’était. Sven embrassa Astrid sur la bouche, puis Cathy. Sven salua à nouveau tout le monde puis repartit. Simone dit qu’il aimait faire sa vie quand il venait ici, qu’en général, ils ne se voyaient quasiment pas de la soirée ou de la nuit, puis qu’elle retrouvait son homme au matin.
Astrid dit qu’elle non plus ne savait pas où était son partenaire de soirée. Simone proposa à Jules de s’allonger. Il retira sa chemise avant de le faire. Elle demanda à Cathy si elle pouvait disposer de son homme et celle-ci répondit que oui. Simone retira son string et le jeta sur le côté. Elle se posa sur Jules et commença à se caresser avec son sexe. Elle jouait avec ses lèvres sur le sexe dur du jeune homme et plus elle jouait, plus elle était excitée. Jules le sentait sans problème. Cathy qui continuait de jouer avec sa langue dans le sexe d’Astrid s’arrêta. Elle releva cette dernière et lui murmura quelque chose à l’oreille. Astrid rit et lui dit qu’elle était d’accord
.

Elle se leva,
retira elle
aussi son string et alla délicatement se poser au-dessus du visage de Jules et s’y accroupit. Elle offrait son sexe à la langue de Jules
. Elle était très excitée quand Cathy s’occupait d’elle. La langue de Jules avait l’air d’avoir beaucoup plus d’expérience
et découvrit avec douceur et plaisir tous les recoins du sexe d’Astrid
. Et que Cathy lui offre la langue de son homme, l’excitait encore plus. Elle se posa sur Jules et commença de légers mouvements de bassin sur sa bouche. Cathy
se déshabilla entièrement à son tour et se plaça derrière Simone. Elle
lui massa les seins pendant qu
e cette dernière
se caressait le sexe sur celui de Jules
. Cathy fit rouler les tétons de Simone sous ses doigts et visiblement, elles appréciaient toutes les deux. Cathy releva les cheveux de Simone et l’embrassa dans la nuque, le cou, puis la gorge. Elles coulaient de plaisir l’une et l’autre. Jules sentit une bouche venir sur son sexe. Il comprit que c’était
A
strid
qui s’était penchée en avant pour le prendre en bouche
après que Simone lui ait laissé accès au sexe de Jules
. Jules gémit sous les caresses de la langue d’Astrid qui la faisait aller à son tour partout sur le sexe de Jules. Sa langue découvrit les formes de son gland, allait le long des veines qui parcouraient le sexe dur de Jules, s’
aventurai
t vers ses bourses
.

Une voix masculine se fit entendre à ce moment. Le partenaire d’Astrid venait voir comment ça se passait pour elle et il comprit que tout allait
bien, très bien même. Il n’était pas très grand, brun avec une petite barbe de quelques jours et
entièrement nu
.
Astrid lui proposa de se joindre à eux. Il accepta sans problème. Il embrassa Astrid sur la bouche, Passa à Simone et Cathy qui étaient de plus en plus excitées. Il n’en fallut pas plus à Léonard pour qu
e son sexe devienne dur.

Simone lui dit de venir pour le présenter à Cathy. Léonard s’approcha des deux femmes et les caressa délicatement. Simone se retourna vers Cathy et s’installa sur le sexe bien dur de Jules au passage. Ce dernier gémit entre les cuisses de Simone. Il adorait ça. Astrid coulait sur sa bouche. Il laissa ses mains glisser le long du corps de la rousse qui le chevauchait. Il jouait avec ses fesses, puis un doigt vint se faufiler vers son petit trou qui s’offrait à lui. Simone prit le sexe de Léonard en bouche et le suça avec vigueur. Elle jeta un coup d’œil à Cathy et d’un regard lui fit comprendre qu’elle pouvait venir mêler sa langue à la sienne si elle le souhaitait. Cathy vint embrasser le sexe de Léonard. Puis Simone le libéra de sa bouche et Cathy le prit à son tour. Elle n’avait pas connu le gout d’un autre sexe d’homme dans sa bouche depuis Jules, et bien que ça ne lui avait pas manqué, ça lui faisait extrêmement plaisir de profiter de celui de Léonard en ce moment-là. Cathy le suça aussi vigoureusement que Simone l’avait fait quelques instants auparavant. Léonard était aux anges. Simone continuait ses mouvements de bassins sur le sexe de Jules. Jules s’occupait ardeur du sexe et du petit trou d’Astrid. Cathy et Simone, de Léonard, à tour de rôle. Parfois elles s’embrassaient.

Ce petit groupe était affairé, les autres passaient devant eux, les regardaient avec plaisir et excitation. Eux, ne voyaient pas instant toute l’agitation autour. Simone allongea Cathy sur le dos et vint découvrir son sexe avec sa langue cette fois. Elle découvrit tous ses trésors trempés d’excitation. Ses petites et grandes lèvres qu’elle suça, mordilla. Son clitoris durci d’excitation comme il ne l’avait jamais été. Cathy avait passé le stade au-dessus de trempée, elle était inondée. Simone pouvait la boire si elle l’avait souhaité. Pour ajouter à son excitation, Léonard se présenta devant elle et elle prit son sexe en bouche. Léonard allait dans la bouche de Cathy avec d’amples mouvements de bassin. Il la prenait par la bouche. Puissamment. Cathy adorait cette bestialité maîtrisée qu'avait Léonard. Elle le tenait par les hanches pour sentir ses mouvements en elle encore mieux. Son sexe allait et venait. Quel plaisir en elle. La moindre partie de son corps était en feu. Simone sur Jules ajoutait à son plaisir en titillant son sexe avec sa langue, avec ses doigts. Astrid avait le cul de Simone face à elle, Elle l'embrassa délicatement, puis avec sa langue elle vint jouer avec son petit trou. Simone gémit de plaisir. Jules Pouvait lui aussi boire Astrid tellement elle coulait de plaisir. Léonard n'allait pas tarder à exploser. Chaque mouvement dans la bouche de Cathy accélérait son envie de jouir et de remplir la bouche de la jeune femme.

Elle sentait qu'il ne tenait presque plus et lui enleva le sexe de la bouche quelques instants. Elle le branla avec une main puis reprit son sexe en bouche. Simone sentait ce que se passait, sentait le sexe de Jules gonfler au fur et à mesures qu'Astrid montait en plaisir elle aussi. Impossible de dire qui jouit en premier, une espèce d'extase et d'orgasme les prit tous en même temps. Léonard jouit dans la bouche de Cathy. Cathy jouit sous les assauts des doigts et de la langue de Simone. Simone jouit en sentant le sexe gonflé de Jules exploser en elle. Astrid jouit elle aussi en sentant la langue de Jules, ses doigts avaient été magiques avec son petit trou.

Quand tout le monde se relâcha, Cathy se releva la première et alla embrasser son homme. Instinctivement, elle ne sut pas pourquoi mais elle avait envie de l'embrasser. Astrid s'écroula sur le côté de Jules, Simone s'allongea à coté d'eux et Léonard les salua et repartit. Personne ne lui en tint rigueur.

Cathy qui était morte de soif après ces ébats, proposa à tout le monde de boire quelque chose, Simone lui sourit en lui disant que si c'était eux et leurs bracelets roses, alors elle acceptait volontiers. Jules et Cathy ne comprirent pas sa remarque. Simone les regarda et leur expliqua que les bracelets roses étaient des marques de prestige dans ce club libertin et que les gens qui en portaient, avaient accès à des options que ceux qui n'en portaient pas n'avaient pas. Notamment, boissons à volonté. Le reste, elle ne leur dévoilerait pas et leur laisserait la possibilité de découvrir par eux-mêmes. Jules et Cathy ne comprirent toujours pas pourquoi ils avaient ses bracelets vu qu'ils étaient nouveaux et néophytes dans le libertinage.

Au final, Cathy reprit son string, le remit et alla chercher des rafraîchissements pour tout le monde. Elle revint avec les boissons de chacun. Ils parlèrent un petit peu de ce qui les avaient toutes et tous amenés au libertinage. Astrid et Simone ne se connaissaient que depuis la soirée, mais elles admirent que quand elles s'étaient vues, une attirance électrique les avaient réunies. Simone était là avec Sven, ils étaient un couple très ouvert et chacun avait le droit d'avoir ses maîtresses et/ou amants. Astrid expliqua qu'elle était là avec Léonard, ils étaient meilleurs amis et amants, mais n'étaient pas en couple. Ils l'avaient été, mais leurs caractères étaient complètement incompatibles au quotidien. Donc au final, ils en étaient arrivés à cette relation qui leur convenait parfaitement. Cathy expliqua aux autres que Jules et elle avaient enfin sauté le pas suite à une conversation avec des amis très proches qui leur avaient conseillés de venir ici. Selon leurs amis c’était un très bon club. Cathy sourit de bon cœur à Simone et Astrid et reconnut qu'ils avaient eu raison de leur conseiller de venir ici.


Candie vint les voir pour leur demander si Jules et Cathy étaient disponibles. On les avait invités à boire une coupe avec d'autres bracelets roses. Simone et Astrid leur dirent d'en profiter. Les trois femmes s'embrassèrent. Astrid et Simone récupérèrent leurs strings, et les remirent. Les deux femmes partirent en leur assurant qu'elles reviendraient les voir avant la fin pour se dire au revoir comme il se devait.

Jules et Cathy suivirent Candie jusqu'à une table où un couple était installé et parlait tranquillement. Quelle ne fut pas la surprise de Jules et Cathy quand ils découvrirent Romane et Georges. Cathy demande si eux aussi avaient réservé leur soirée ici, parce que c'était un drôle de hasard. Romane et Georges rirent de bon cœur. Ils expliquèrent à Cathy qu'ils étaient là tous les soirs. Le club leur appartenait. Jules fut abasourdi de cette révélation. Ils s’assirent avec leurs amis et Candie revint avec des flûtes de Champagne qu'ils burent tout en discutant.

Il était presque deux heures du matin, et les bracelets roses étaient conviés pour un "Spectacle des Sens" dans le boudoir. Candie prit Jules par la main et les conduisit au boudoir. Il y avait quelque fauteuils autour d'une scène circulaire. Un table où étaient disposés divers sex-toys, pour hommes comme pour femmes. Ils étaient en libre utilisation. Candie leur conseilla une place de choix puis tendit un gode vibrant à Cathy en lui disant que d'ici peu, elle en aurait besoin. Cathy fut interdite devant cette affirmation. D'autres bracelets roses arrivèrent.

Au total avec Cathy et Jules, ils étaient sept. Quatre hommes et trois femmes. Quand tout le monde fut installé, la lumière se tamisa et une douce musique de fit entendre dans la salle. Des jeux de lumières se dirigèrent vers une porte et là, une jeune femme entra dans la salle. Elle était entièrement nue. Elle était suivie d'un homme entièrement nu lui aussi. Ils se placèrent sur la scène au milieu. Saluèrent leur public et leur expliquèrent qu'ils allaient assister à une spectacle pornographique. Que si des personnes ne le souhaitaient pas, elles pouvaient sortir avant que le spectacle ne commence. Cathy voulut rester mais Jules lui dit qu'il préférait profiter de découvrir d'autres plaisirs. Il embrassa Cathy, s'excusa auprès des artistes, et sortit. Cathy prit son gode contre elle et lui souffla d'un air coquin qu'il allait lui être très utile. Le spectacle commença. Les deux artistes s'installèrent sur scène et la jeune femme embrassa son partenaire. Elle prit son sexe en main pendant ce temps et commença à le branler légèrement. Puis quand il fut bien dur, elle se mit à genoux et le suça. Elle avait glissé une main entre ses cuisses et se caressait le sexe en même temps. Elle jouait avec son clitoris pendant qu'elle suçait son partenaire qui lui tenait la tête et les cheveux. Puis quand il fut bien dur, elle l'allongea sur le dos et s'installa sur lui dans un soixante-neuf enflammé.

Elle suçait le sexe dur de l'homme, il jouait avec sa langue dans son sexe. C'était puissant et bestial. La jeune femme se redressa de cette position et s'accroupit sur l'homme et lui baisa la bouche avec son sexe. Elle le tenait par les cheveux. Sa langue allait en elle. dans son sexe, dans son trou. Elle le branlait en même temps. Puis elle se leva et se dirigea vers son sexe tendu sur lequel elle s'empala fougueusement. Les artistes enchaînaient les positions.

Cathy ne s'en était pas rendue compte tout de suite, mais son gode allait et venait en elle. Elle était tellement absorbée par la représentation qu'elle s'était abandonnée à ce gode qui allait et venait en elle. Certains autres bracelets roses étaient très occupés maintenant dans des positions qui n'avaient rien à envier à celles que montraient les artistes. Le plaisir montait en elle. Elle gémissait de plus en plus. Les groupes à côté aussi. Un homme jouit un peu plus tard, suivi par d'autres gémissements d'orgasmes féminins et masculins. Cathy les entendait à peine. Toujours focalisée sur les artistes, elle jouit peu après avoir vu la femme du couple le faire. Son orgasme avait déclenché une vague de plaisir en Cathy qui l'avait submergée. Tellement qu'elle se mit à couler, puis explosa encore.

Elle jouit si fort qu'elle inonda le fauteuil sur lequel elle était installée. C'était la première fois que ça lui arrivait. Elle avait adoré et se promit de réessayer avec Jules. Elle se leva un peu avant les autres et sortit pour essayer de trouver son homme. Elle le fit vite et l'aperçut en compagnie d'un couple qu'elle n'avait pas encore rencontré. Jules était en train de prendre une femme pendant que son homme allongé sous elle, la prenait aussi. Cathy vint le voir et lui raconta son expérience. Jules l'embrassa d'une passion qu'elle seule provoquait en lui. Elle lui dit qu'elle le laissait à ses affaires et qu'elle l'attendrait là où ils avaient été installés en arrivant. Elle commençait à éprouver des signes de fatigue.

Jules la rejoint quelques instants plus tard. Il avait rencontré ce charmant couple peu après l'avoir laissée au spectacle.Ils avaient parlé quelques minutes et la femme du couple lui avait avoué qu'elle l'avait trouvé très désirable. Ensuite, ils s'étaient retrouvés nus et avaient commencé à faire l'amour tous les trois.

Ils s'embrassèrent puis essayèrent de retrouver Romane et Georges, mais ils n'étaient plus là leur annonça Candie qui n'était jamais loin d'eux. Cathy voulut aller dire au revoir à Simone et Astrid, ils les trouvèrent très occupées avec un trio d'hommes très consciencieux de leur plaisir.

Ils retournèrent au vestiaire et se rhabillèrent. Cathy ne savait plus ce qu'elle avait fait de l'ensemble qu'elle portait en arrivant, mais elle s'en fichait.

Ils remercièrent Candie pour son service auprès d'eux, saluèrent Apolline et se dirigèrent vers leur voiture.

En repartant, Jules alluma la radio où une chanson se fit entendre.. "It's a new dawn, It's a new day, It's a new life, For me, And I'm feeling good""

Voici un autre récit que j'ai écrit il y a quelque temps..

"Andréa voulait faire plaisir à son homme pour son anniversaire. Elle lui avait mijoté une soirée qu’il n’oublierait pas de sitôt. Charles avait eu 40 ans mercredi et elle se disait qu’une soirée en amoureux ne leur ferait pas de mal. Elle avait déposé les enfants chez ses parents. Andréa avait dit à Charles qu’elle le sortait pour la soirée mais qu’il ne saurait pas où ils iraient. Elle ne lui donna pour consigne que de s’habiller classe. Il s’éxécuta.


Andréa s’habilla de son côté, mais elle prit beaucoup plus de temps qu’à son habitude. Elle ressortit de la salle de bain avec une superbe robe. Enfin prêts, Andréa donna un bandeau pour que Charles le mette sur ses yeux quand il serait dans la voiture. Il le mit et Andréa démarra la voiture. Charles aimait les surprises, mais il était perturbé par le bandeau sur les yeux. Le trajet dura plus d’une demie heure, il le savait grâce à la radio qui diffusait de la musique jazz. La voiture s’arrêta une bonne fois pour toute et Andréa annonça à Charles qu’ils étaient arrivés à destination. Elle lui souffla doucement à l’oreille : « Quoi qu’il arrive... Laisse-toi faire ! ».



Charles était très perplexe quant à cette situation. La portière s’ouvrit et une voix féminine se fit entendre. « Andréa, Charles, bienvenue à vous deux, j’espère que votre route s’est bien passée. Je me présente, je me nomme Shiva » Andréa répondit par l’affirmative et la main de la voix se glissa en dessous du bras de Charles. « Maintenant Charles, je vais vous amener, laissez-moi vous guider. Quant à vous Andréa, je vous laisse avec Dana qui s’occupera de tout pour vous ! » La main fit comprendre à Charles qu’il pouvait se lever en toute sécurité. Charles était vraiment perdu et ne savait que faire. La voix et la présence de la main de Shiva étaient rassurantes malgré tout. Charles se laissa guider. Le parfum que dégageait Shiva était envoutant. Charles entendit Andréa parler avec Anubis. Puis se senti attiré par Shiva qui l’emmena. Shiva lui dit que sa femme avait contacté sa « société d’événements particulièrement divins » dans le cadre de son anniversaire et qu’elle espérait que ça lui plairait. Elle dit à Charles de s’installer dans un canapé derrière lui. Il s’y assit. Charles sentit les mains de Shiva lui enlever sa veste. Tous ses mouvements étaient calculés pour que Charles se sente en confiance. Le parfum de Shiva était de plus en plus enivrant. Il sentait son corps contre lui et crut qu’elle était nue. Puis d’autres mains se joignirent à celles de Shiva et certaines d’entre elles défirent délicatement les premiers boutons de sa chemise. Une autre voix se présenta, Aphrodite, et lui annonça qu’il allait avoir les yeux bandés encore quelques instants et qu’était venu le temps d’une petite collation. Elle porta à sa bouche une nourriture, très agréable et douce. Charles commençait à ressentir de légers picotements de plaisir dans son bas ventre. Etrangement, il aimait cette situation.



Les mises en bouche que lui proposait Aphrodite étaient délicieuses. Elle les accompagnait d’un peu de vin extrêmement suave. Les voix de Shiva et Aphrodite se mélangeaient, les odeurs de leurs parfums enivraient les sens de Charles qui lui était de plus en plus excité par la situation. Shiva releva ce fait à haute voix et annonça que les festivités pouvaient enfin commencer. La musique d’ambiance diminua puis une musique plus sensuelle se fit entendre. Les mains de Shiva et Aphrodite glissèrent sur le corps de Charles. D’abord le torse et les épaules. Shiva déboutonna complètement sa chemise et la lui enleva. Shiva et Aphrodite commencèrent à embrasser son corps. Charles était maintenant très excité. Elles étaient autour de lui, partout à la fois. Puis Aphrodite défit les chaussures et chaussettes de Charles puis desserra sa ceinture et lui dit que maintenant il allait devoir se lever. Il obéit à la demande. Elle lui ôta son pantalon tout en laissant ses mains glisser le long du sexe tendu sous le boxer. Elle caressa le sexe de Charles à travers son boxer qui au contact de cette main eut la respiration qui s’accéléra. Shiva était dans son dos et l’embrassait pendant qu’Aphrodite s’occupait de son sexe. Charles sentait la poitrine de Shiva dans son dos. Il sentit son bandeau se défaire et tomber. Il lui fallut quelques instant pour se remettre de cette obscurité et aperçut enfin les deux déesses qui s’occupaient de lui. Aphrodite était grande et blonde, la peau claire, une taille fine, de petits seins fermes et ne portait qu’un string. Quant à Shiva, elle était un peu plus petite, une poitrine plus grosse que celle d’Aphrodite, une peau mate et de magnifiques courbes. Elle aussi ne portait qu’un string. Charles ne savait plus où il était. Aphrodite retira le boxer de Charles dont le sexe tendu ne tenait quasiment plus. Elle se mit à genoux devant lui et le prit en bouche. Elle suça son sexe délicatement. Shiva qui lui caressait le dos et les fesses passa ses mains sur le torse de Charles et par des ondulations parfaitement maitrisées caressait son sexe contre ses fesses. Charles n’avait pas remarqué une petite scène centrale qui était entourée de longs rideaux en satin. Aphrodite laissa le sexe de Charles et se releva tout en embrassant la moindre partie de son corps nu, puis mêla ses caresses à celles de Shiva. Les deux femmes mélangeaient leurs baisers à ceux de Charles. Les 3 corps presque nus allaient à l’unisson des ondulations du bassin de Shiva. Charles était là et ailleurs en même temps.



Une autre musique se fit entendre et les rideaux qui entouraient la scène se retirèrent. Une ombre informe était en plein milieu de cette scène. Une lumière tamisée l’éclaira et Charles vit les traits de sa femme. Nue. Entourée d’une femme rousse, cheveux bouclés ainsi que deux hommes Odin et Susanoo. Tout trois étaient aussi nus sur la scène. Andréa regarda son homme dans les bras des deux déesses. Elle avait tout suivi depuis le début et si ça lui avait fait bizarre de voir ces femmes s’occuper de son homme, elle était maintenant très excitée par ce qu’elle voyait. Dana lui procurait un massage très sensuel. Ses mains de déesse celte s’occupaient de son corps à la perfection et les deux dieux jouaient sur le corps de Dana. Leurs mains la caressaient de partout, ils s’embrassaient tous les trois. Dana retourna Andréa sur le dos et Odin commença à prendre ses seins en main. L’autre se glissa entre ses cuisses inondées et glissa une langue sur son sexe. Charles la regardait, et s’il était jaloux, il n’en laissa rien transparaitre. Dana prit le sexe de Susanoo en bouche et le suça. Il avait l’air asiatique, assez fin et musclé tandis que l’autre était un grand blond très charpenté. Andréa elle prit le sexe d’Odin en main et commença à la caresser. Il était tendu par les caresses qu’Andréa lui faisait. Puis Dana laissa le sexe de Susanoo et vint embrasser Andréa toujours allongée sur le dos. Susanoo vint se mettre derrière elle et fit glisser son sexe entre ses cuisses. Il la prit en levrette pendant qu’elle embrassait Andréa qui lâcha le sexe d’Odin. Ce dernier en profita pour venir le glisser entre les cuisses d’Andréa qui gémit de plaisir. Shiva entraina Charles et Aphrodite vers le groupe de 4 et ils joignirent à eux. Shiva allongea Charles sur le dis et enleva son string. Elle se positionna délicatement au-dessus de lui et vint s’empaler sur son sexe tendu. Aphrodite vint positionner son sexe au-dessus de la bouche de Charles et les deux déesses s’embrassèrent pendant que Charles leur était offert.



Les assauts d’Odin entre les cuisses d’Andréa commençaient à faire leur effet. Elle était tellement excitée en voyant son mari offert à ces superbes déesses qu’Odin n’avait aucun problème à la faire monter d’excitation. La langue suave et douce de Dana accentuait son excitation. Odin sortit son sexe d’Andréa et lui proposa sans lui parler de se mettre comme Dana. Elle se plaça face à cette dernière et l’embrassa pendant qu’Odin la pénétra. Andréa gémit. Elle adorait ça. Elle voyait son mari occupé entres les cuisses de Shiva ainsi que celles d’Aphrodite et cette vision l’excita d’autant plus. Elle sentit son sexe couler sur celui du dieu nordique. Les draps en-dessous étaient complètement trempés de leurs sueurs mêlées. Charles n’en pouvait plus, il était sur le point de céder à toute cette excitation agrippa les hanches de Shiva et éjacula puissamment en elle. Elle en gémit de plaisir et laissa l’orgasme la submerger. La communion des corps fut contagieuse. Aphrodite les accompagna dans la jouissance. Andréa qui n’en pouvait déjà plus entendit son homme exploser et cette décharge supplémentaire de plaisir eut raison de sa résistance. Elle jouit fort. Complètement contractée Odin qui était derrière elle explosa sans plus tarder. Susanoo et Dana ne tardèrent à rejoindre les autres dans l’orgasme et la jouissance.



Ce fut une telle vague de jouissance telle que le temps paru se figer pour tout les sept. Les corps se relâchèrent au fur à mesure. Puis tous se retrouvèrent nus sur la scène.


Charles se faufila jusqu’à sa femme et l’embrassa fougueusement et la remercia pour ce superbe anniversaire. Andréa qui se remettait encore de ses émotions lui rendit son baiser. Elle était vraiment fière du cadeau qu’elle avait offert à son homme.


Plus tard quand tout le monde fut remis, un petit homme qui se faisait appeler Lucifer vint voir Andréa et Charles. Il leur demanda comment ils avaient vécu ce moment. Les deux dirent qu'ils n'oublieraient jamais ce moment. Lucifer leur affirma que oui, puis tendit une petite boite en plastique au couple. Elle contenait un cd sur lequel Lucifer leur annonça que tout avait été filmé seulement à leur intention et que si un jour ils voulaient faire à nouveau appel à ses services il serait enchanté de travailler à nouveau pour eux. "

J'en ai d'autres en réserve.. 😉

Mon dieu la température est à son haut niveau cest juste chaud...

Oui,oui! Encore!

Je suis d accord
J adore

Ce soir je te masse . Chambre interdite
Voilà le seul message que tu reçois au travail , tu finis a 19h comme tout les jours , on ne s’est pas vu depuis hier j’ai attaqué le travail tôt .
19h tu rentres du travail le repas est prêt ,un petit cocktail t’attend. Un bisou est nous voilà sur l’îlot tranquille à discuter, débrifer de notre journée autour de ce cocktail. Aucune allusion à ce seul message , une soirée banale d’un couple banal .
Il est déjà 21h ,tu me regardes et me demandes comment tu fais pour prendre ta douche sans aucun vêtement lors de la sortie. Tout est prêt tu peux y aller juste chambre interdite .
Tu montes les escaliers , toutes les portes sont fermées . Tu entres dans la salle de bain et découvres quelques bougies qui éclairent doucement la douche, seulement une serviette et une culotte sont posées sur le sèche serviette afin de les tenir chaud pour après la douche . Tu souris au vu de ce sous vêtement car tu sais que je ne l’ai pas choisi au hasard. Cette culotte est ma préférée, une culotte haute rouge , échancré à souhait , qui ressemble plus à un tanga qu’à une simple culotte .
J’écoute la douche qui s’allume et en profite pour finir la préparation de la chambre .
Je me mets en pantalon de pyjama pour être à l’aise et m’assois en attendant .
La douche se stoppe je t’écoute sortir de la douche j’ai hate.
Tu ouvres la porte de la salle de bain, je te vois en culotte sans rien d’autre ,tu es divine, belle, excitante, cette vision augmente les envies de parcourir ton corps . Ton sourire en dit long .
Des pétales de rose sont disposés de la porte de la salle de bain jusqu’au lit, tu les suis
La chambre est éclairée de bougies, une douce senteur de monoï émane du brûle parfum ( je sais que tu adores cette odeur) ,le lit est couvert d’un plaid blanc recouvert de pétale de rose, seulement au centre se trouve plusieurs huiles de massage afin que tu choisisses.
Tu attrapes l’huile de massage au silicone idéal pour tout le corps, tu t'installes confortablement sur le ventre afin de laisser ton dos exposé à mes caresses. La seule parole que tu prononces est: je suis à toi .
Enfin à moi , enfin ce corps prêt à être massé, caressé, enfin mes mains vont se glisser sur ta peau .
Je passe à califourchon sur toi, m'installe assis sur tes fesses. J’enduit mes main d’huile et en laisse couler sur ton dos .
Mes mains glissent doucement de ta nuque à l élastique de ta culotte , je masse tes épaules, ta nuque, ton dos doucement de toute mes mains . Plus je descends le long de ta culotte et plus elle me gène, plus je la roule pour faire descendre ce tanga au ras de tes fesses et ainsi laisser champ libre à mes mains.
Ton dos huilé est détendu, mes ongles viennent glisser de ta nuque au creux de ton scrotum en suivant ta colonne mais je m’arrête avant de descendre dans ton sillon fessiers , je me lève et vient déposer de l’huile sur tes pieds . Hum tu t’attendais a un massage des fesses faudra patienter .
Mes mains massent tes pieds ,chaque point est appuyé et massé pour contribuer à détendre tout ton corps , assez vite mes mains remontent sur tes chevilles et tes mollets. D’abord une jambe puis l’autre. Je dépose de douces caresses en te massant . Je te fait écarter doucement les jambes en te massant les cuisses .
Tu est maintenant allongée les jambes grandes ouvertes, ton fessier réclamant son massage .
Mes mains massent l’intérieur de tes cuisses et remontent sur tes fesses, je les pétris, les pince, les masse les griffe doucement. Le massage monte en température et ma main se glisse sur ton entre cuisse, je glisse de l’huile à l’aide du creux de ma main sur tout ton mont de venus à peine recouvert de ton tanga que je m'empresse de te retirer légèrement. Je me glisse entre tes jambes, mes genoux bloquent tes cuisses pour les ouvrir au plus grand possible .
Mes deux mains viennent se poser autour de ta vulve et glissent plusieurs fois autour de tes lèvres . Tu as deviné, un doux massage du Yoni commence. Mes mains enduisent tes lèvres d huile et les massent, chacune avec une main elle glisse sous mes doigts je sents ta vulve s ouvrir. Je glisse mes doigts sur tes nymphes si belles, si douces. Chacune de tes petites lèvres glisse entre les pouces et index, je sents ta mouille couler doucement me montrer le chemin de ton plaisir. Ton clitoris est dressé et à chaque passage de mes doigts mes pouces se retrouvent à tourner autour. Tu bouges déjà tes fesses et soupires sensuellement. Ma main droite vient se poser de tout son long sur ta fente, seul un doigt pénètre cette douce vulve pour glisser sur ton clitoris . Ma main ne bouge pas, seul ton corps ondule dessus cette main. De mon autre main je fait couler de l’huile sur le haut de ta raie , ces gouttes ruissellent le long de ton fessier sur ton anus et viennent se jeter dans ma main. Je retire ma main et vient glisser deux doigt directement en toi à la recherche de ton point g. Les doigts pliés en toi direction du lit, je caresse ton vagin par l’intérieur de longs va et vient appuyés, mon autre main glisse entre tes fesses. Je sais que tu n'aimes pas la sodomie mais là, juste une main qui caresse ton anus cela te fait soupirer encore plus . Tu es à genoux, relevé autour de mes doigts pour cadencer mes caresses, je ne change pas le rythme juste je te laisse gérer pour te mener là où tu es en train d’aller.
Je sent ta vulve se contracter doucement puis comme une explosion tes cris ne sont plus camouflés, ta vulve s abandonne dans des contractions violentes autour de mes doigts un peu de mouille coule sur ma main , je ne bouge plus, te laisse jouir comme tu désires.
Tu t’effondre sur le lit, je retire doucement ma main dans une dernière caresse. Tu te loves dans le plaid et me remercie d un grand sourire.
La soirée fut divine un simple massage qui remplit de bonheur une massée et un masseur .

Une bibliothèrotique

Un peu de littérature érotiques de mon cru j'espère que vous aimerez
Bonne lecture

je suis bibliothécaire. Je travaille dans la même bibliothèque depuis 17 ans. J'ai trois collègues : Hugo, qui lui est là depuis 21 ans, la mémoire vivante du lieu, il a 58 ans ; Hélène, petit bout de femme de 41 ans, là depuis 15 ans ; Émilie, 32 ans, la dernière arrivée, ici depuis 7 ans.

Je me caresse souvent, sans forcement me faire jouir, mais j'adore me caresser en conduisant, en lisant et en travaillant. Tous mes collègues le savent bien sûr, même si je suis discrète, ils l'ont remarqué à un moment ou un autre, et avec eux, je ne m'en cache plus. Ce qui a amené à certaines situations cocasses, mais ça, c'est une autre histoire.

je m'habille très souvent de la même façon. Jupe ou robe, jarretelles et bas, ou bas autoportants, mes Converses Chucks (j'en ai 12 paires de couleurs différentes), je suis bien dedans, et étant grande (1 m 84) c'est rare que je mette des talons ou des escarpins (des bottes des fois, mais rares aussi). J'aime être belle, et dessous aussi, je suis très dentelles... j'ai toujours peur d'avoir un accident, et de ne pas être belle si quelqu'un me retire mes vêtements... enfin, un truc de fille, une phobie bien à nous que la plupart ne comprennent pas.

Dans dans ce lieu magique entre mes livres que j'aime tant ! Je ne suis pas une allumeuse, comme dit plus haut, je m'habille de façon très féminine, mais jamais vulgaire, je déteste ça ! c'est très rare, mais j'ai eu sept aventures avec des clients et clientes, chacune étant très spécifique, je m'en vais vous en conter conter.

4 janvier 2020

— Bonjour, je vous ramène ça !
— Bonjour, meilleurs vœux, Madame Suhard, de jolies choses pour cette année.

Madame Suhard est une habituée, cela fait bien 4 ans qu'elle fréquente nos rayons et vient régulièrement lire ici, emprunter des livres et des CDs.

— Merci Géraldine, meilleurs vœux à vous et à vos proches, vous allez peut-être m'aider, c'est un peu gênant, mais, auriez-vous des romans érotiques lesbiens dans vos murs ?
— Ne soyez pas gênée, Madame Suhard, venez, je vais vous montrer.

Nous montions à l'étage, en effet, un peu troublée j'étais ! Elle ne m'avait pas habituée à ça ! Elle avait des lectures très classiques, c'est la première fois qu'elle me demandait ou empruntait ce genre de littérature. Je la regardai autrement en montant à l'étage. Grande aussi, élancée, très « BCBG » on dira ! un peu style Laborde. La 50aine comme moi.
Arrivant près des rayons, je saisis dans l'étagère le roman de Radclyffe Hall, Le Puits De Solitude, magnifique roman de 1928, très bien traduit.
« Je vous conseille celui-ci pour commencer ce genre de littérature.

— Merci beaucoup, Géraldine, et encore désolée de la gêne...

Je l'interrompais.

— Ne vous inquiétez surtout pas, ils ont été écrits, c'est pour être lus, vous savez. De plus, c'est très agréable à lire, et aucune gêne ou honte à avoir, c'est normal, c'est ne pas en lire, quel que soit le type de littérature qui est anormal. Juste, je suis curieuse, vous n'êtes pas obligée de répondre. C'est assez rare que l'on me demande des romans lesbiens, vous êtes lesbienne vous-même ?
— Non, mais j'ai envie de découvrir ce que l'amour entre deux femmes pouvait être simplement.
— Alors, c'est le livre parfait, je crois aussi que vous avez lu du Dickinson si je me souviens bien. Relisez certains poèmes, en sachant qu'elle avait une relation avec sa belle-sœur, Susan Gilbert...
— Merci encore, Géraldine, bonne journée à vous... »

19 janvier 2020

J'étais en pause, petit thé, ma main entre mes cuisses, j'avais écarté mon shorty, je caressai mes grosses lèvres et mon petit bouton quand Émilie rentrait :

— Désolée de te déranger durant ta pause qui a l'air bien agréable ma belle, me dit-elle avec un petit sourire, mais il y a Madame Suhard qui semble avoir besoin de tes services !
— Dis-lui que j'arrive tout de suite, dis-je en me rajustant, je me lavais les mains et je la rejoignais. Elle était là, debout, toujours aussi belle, distinguée, je ne pouvais m'empêcher de regarder ses jambes de soie vêtues que sa petite robe noire (non pas le parfum, le sien semble être du Trésor de Lancôme). Je la trouvais très désirable, j'avais toujours des papillons dans mon ventre.
— Bonjour Géraldine, je vous ramène mon dû !
— Bonjour Madame Suhard...
— Aline, s'il vous plaît ! merci pour le conseil, c'était très beau, la fin un peu...
—... Triste, la coupais-je. En effet, mais à cette époque, les romans de cette nature devaient mal se terminer de façon à pouvoir être édités. Faire une apologie du sexe qui se finit bien, et encore plus lesbien était inconcevable à cette époque, ce livre a été censuré en Angleterre. Vous avez aimé alors, cela donne une belle idée que ce que peut-être une idylle entre deux femmes...
— Tout à fait, elle ouvrait le livre en me montrant un passage, cette partie ne m'a pas laissée indifférente...

Comme je prenais le livre, je vis ses doigts légèrement humides, il sentait encore la cyprine. Je lisais en diagonale (moment de premières caresses charnelles entre Stephen et Mary Llewellyn). Son odeur amplifiait la situation.

— je sens ça oui... ses mots sortirent de ma bouche comme ça, brut de coffrage ! la mettant très mal à l'aise. Ne vous inquiétez pas Aline, je comprends... difficile de résister à ce genre de caresses que les mots vous font ressentir des fois...
— je suis gênée, je ne pensais pas que...
— nul besoin d'épiloguer Aline, ne vous inquiétez pas. Vous désirez autre chose, continuer ce genre de littérature ?
— j'en serais charmée oui, vous être de bons conseils.
— Alors, allez dans le rayon de l'autre jour, dans les « H, je vous conseille, Carol - Les Eaux dérobées de Patricia Highsmith. Celui-là va énormément vous plaire, je crois.
— Ce n'est pas le titre d'un film ça ! Carol ?
— oui, en effet, qui date d'il y a 5 ans environ, avec Cate Blanchett et Rooney Mara, très beau film, mais je vous conseille le livre, même si le film est très bien fait »

Quand elle revint, Le Prix du Sel dans la main (c'est le titre original du livre, en anglais, il est encore plus beau) elle me dit au revoir gentiment et me susurra à l'oreille : « Encore désolée pour tout à l'heure, mais j'avais trop envie...

— De vous caresser, je comprends, moi-même c'est ce que j'étais en train de faire lorsque vous me cherchiez tout à l'heure. C'est humain Aline, il n'y a aucun mal à se faire du bien.
— Vous m'avez demandé si j'étais lesbienne la dernière fois, puis-je vous demander à mon tour ?
— Bi, Aline, je suis bisexuelle, mais une préférence pour la gent féminine.
— Merci encore, Géraldine ! bises.
— Bonne lecture Aline. »

Dès son départ, je retournai me caresser, sa présence, savoir qu'elle s'était caressée dans le parking avant de me rendre le livre, son charme, son odeur encore présente, mes sens en émoi, mes pensées allaient vers elles quand mes doigts me fouillaient et que j'atteignais un orgasme doux et d'une grande plénitude.

26 janvier 2020

— Bonjour Géraldine !

Toute pimpante, Aline Suhard se trouvait devant moi, le livre Carol dans la main, son manteau au col de fourrure sur le bras, une petite robe verte, laissant apparaître la naissance de sa poitrine. Belle, charmante, il n'y avait pas d'autres mots... je sursautai
« Bonjour Aline, de bonne humeur aujourd'hui ! dis-je machinalement un peu surprise...

— Je vous ai fait peur, j'en suis désolée.
— Ce n'est rien ! je regardais son sourire.
— Magnifique ce livre, j'ai loué le film en VOD, je l'ai regardé cinq fois en deux jours, j'ai encore lu le livre cette nuit pour la troisième fois.
— Je suis heureuse qu'il vous ait plu.

Je me levai, alors qu'elle me tendait le livre, je luis pris des mains, et nous nous dirigeâmes vers le rayon pour le ranger et que je luis donne un autre.
« Incroyable cette rencontre Géraldine ! Ce livre m'a envoûtée.

— N'est-ce pas, quel bel amour ! les choses arrivent pour une raison...
— Carol dit cela...
— Entre autres oui, c'est une belle rencontre.
— Que j'aimerais vivre cela...
— Je vous le souhaite de tout cœur Aline. » dis-je en remettant le livre et en cherchant un nouveau titre qui pourrait lui plaire.

Elle rougit :
« Une belle rencontre, comme la nôtre... on est un peu comme Carol et Thérèse...
Je me retournai.
« Aline, je... » ne me laissant finir ma phrase, elle posa ses lèvres sur les miennes... et se retourna et commençait à partir
Je restai là, sans bouger, bouche bée, bête !
Je lui courrais après, lui attrapai le bras, la retournai, la plaquai contre l’étagère de livres qui faillit basculer, ma bouche contre la sienne, je l’embrassai à mon tour...

— Géraldine, je suis désolée, j'ai tellement envie...
— De vivre ça ?
Je mis ma langue dans sa bouche, nos langues commençaient leur danse quelques secondes.
— Oui, de caresses...
Elle m'embrassa à son tour, je caressai ses bras, elle mon ventre.

Plus rien n'existait, elle me désirait, et moi de mon côté, j'avais envie d'elle, je me souvenais de mes caresses de la semaine précédente, je l'enlaçais en la caressant
Elle caressait mon dos et ma chatte de reins, une étreinte...
• Géraldine, je... - je lui mis mon doigt sur la bouche - Chut ! Ne dites rien Aline
Je me mis à genoux, et caressant ses chevilles, je remontai mes mains le long de ses jambes jusqu'à ses fesses...

— Remontez votre robe Aline
Elle s'exécuta, j'embrassais ses cuisses à la limite des jarretières de ses bas. Une de mes mains quitta ses fesses pour écarter ses dessous de dentelles aussi vertes que sa robe, ma bouche embrassa son sexe velu, je redécouvris son odeur.

Ma main gisait sur sa jambe au pli de son genou, l'attira pour lui faire comprendre que je voulais qu'elle passe sa jambe sur mon épaule, sa main caressa mes cheveux aussi argentés que les siens.

Alors que ma langue commençait à s'aventurer entre ses grands pétales, la peau chaude de sa cuisse frotta le long de ma joue et je sentis le cuir froid de ses bottes contre mon dos, j'embrassai sa cuisse en tournant un peu la tête. Des papillons plein le ventre, je caressai ses fesses douces alors que ses ongles étaient de plus en plus présents sur mon cuir chevelu.

Je découvris ses petits pétales roses, et m'empressais de continuer mes caresses du bout de ma langue entre ses pétales humides. Son bouton n'était pas en reste, ma langue, ainsi que mon doigt, les caressaient lui aussi, et je le sentais grossir sous mes lèvres.

Je fis glisser sa jambe sur le côté, me relève. Le haut de sa robe avait glissé sur ses épaules, je posai mes mains sur elles, et caressai doucement ses bras et ses épaules. Mes lèvres s'approchaient de nouveau des siennes pour l'embraser. Nos langues commencent leur danse dans nos bouches, un baiser langoureux nous serrant l'une contre l'autre. Je la regardai, à la fin de notre baiser, elle se mordillait les lèvres de plaisir.

-« Géraldine, je...
De nouveau, je lui mis mon doigt sur la bouche, chut ! Ne dites rien Aline... oui c'est une belle rencontre...

— Venez chez moi ce soir...

Bien sûr, j'acceptai l'invitation...

@********ur42 Quelle plume !! 🔥🔥🔥